Décès Ines PINA
Gerard VOLATIER, son fils
Geneviève VOLATIER, sa belle fille
Eloine PINA-VIALET et ses enfants,soeur et neveux
ont la profonde tristesse de vous faire-part du décès de
Madame Ines PINA
Survenu le 18 Mars 2017 à l'âge de 88 ans
La cérémonie religieuse aura lieu le vendredi 24 Mars à 12Heures
au crématorium de CANNES
Chemin de Laval
06150 CANNES
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Gérard et Geneviève VOLATIER, son fils et sa belle-fille,
Eloïne VIALLET - PINA,
Lionel et Sylvie VIALLET, Kévin et Emmanuelle, leurs enfants,
Sylvie VIALLET, Benoît et Thomas, ses fils, Emie sa petite-fille,
Du fond du cœur nous vous disons Merci.
A vous qui, par quelques mots réconfortants,
Par une présence, une pensée, une fleur, une prière,
Avez voulu témoigner votre sympathie pour le décès de
Inès PINA
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24 mars 2017
Homélie Sylvie et Lionel Vialet - Pina
« La vie ne se compte pas en respirations, mais par les moments qui t’ont coupé le souffle. »
Qui étais-tu Inès ?
La joie de vivre, un rayon de soleil où que tu sois.
Quand tu venais chez nous, nous savions tous que nous allions rire, connaître toutes tes péripéties, tes récits de voyages, tout en exubérance et sans exagération.
Nous n’oublierons jamais le regard de notre grand-mère heureuse de te voir jouer du piano car tu nous enchantais quand tes petits doigts boudinés couraient sur le clavier.
Tu étais généreuse, rieuse, une amoureuse de la vie, mais surtout tu portais un amour inconditionnel pour ton fils Gérard, et sa femme Geneviève que tu considérais comme ta propre fille.
Tu étais la troisième enfant de la famille PINA, première fille, et l’aînée de 22 mois de ta sœur Eloïne, notre mère, que ta disparition attriste profondément.
Nous te savons auprès de tes parents, de tes frères et de René, notre père. Nous savons tous qu’ils veillent sur nous comme tu sauras le faire toi-même.
Tu resteras la tante que toute famille aimerait avoir, celle qui nous aura surpris, fait rêver, fait rire, fait rire nos enfants. N’aie crainte, Emie ma petite-fille, et les petits enfants à venir te connaitront au travers du souvenir de toi que nous saurons perpétuer.
Croyons ce qu’a écrit le poète :
« Ne pleure pas celle que tu as perdue au contraire, réjouis-toi de l’avoir connue. »
JE SUIS JUSTE DE L’AUTRE COTE DU CHEMIN
La mort n’est rien,
Je suis seulement passé, dans la pièce à côté.
Je suis moi. Vous êtes-vous.
Ce que j’étais pour vous, je le suis toujours.
Donnez-moi le nom que vous m’avez toujours donné,
Parlez-moi comme vous l’avez toujours fait.
N’employez pas un ton différent, ne prenez pas un air
Solennel ou triste.
Continuez à rire de ce qui nous faisait rire ensemble.
Priez, souriez, pensez à moi, priez pour moi.
Que mon nom soit prononcé à la maison
Comme il l’a toujours été,
Sans emphase d’aucune sorte,
Sans une trace d’ombre.
La vie signifie tout ce qu’elle a toujours été.
Le fil n’est pas coupé.
Pourquoi serais-je hors de vos pensées,
Simplement parce que je suis hors de votre vue ?
Je ne suis pas loin, juste de l’autre côté du chemin.
Vous voyez, tout est bien.
Henry SCOTT - HOLLAND

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