Le nom serait issu de l'arabe algérien « sania » (campagne, jardin) [2],[3]. Le mot « sénia » lui-même viendrait du dispositif, ou « Noria » , destiné à tirer l'eau des puits en Espagne et en Italie
Blason de La Senia. La noria, point de rassemblement des animaux venus s'y désaltérer, rappelle l'étymologie du nom de la commune. Le nuage en forme d'avion rappelle que La Sénia était l'aéroport d'Oran, non loin de la Sebka que l'on voit évoquée au fond
L'origine de ce mot est employé par les arabes ayant occupé l'Est de cette commune avant 1844. Chaque nouvel habitant creusait un puits pas très profond (environ 2 m ) lui permettant d' exploiter un lopin de terre pour ses propres besoins appelé « jardin potager » Traduit en arabe littéraire « es-senia » .
La colonisation du pays est appliquée presque continûment depuis 1830, par divers moyens unitaires ou collectifs. Des dépenses considérables sont consenties par la France pour structurer et organiser le pays, notamment médicalement. Il y a de grandes souffrances chez les colons, chez les indigènes, chez les militaires. Tous payent au passage, un tribut énorme aux épidémies successives de choléra et de paludisme.
Pendant ce temps, l'infrastructure lourde du pays financée de bout en bout par la France avance à grands pas. Le choix des options économiques de développement se révèle être une réussite. Le pays découvre les vertus de la trilogie des cultures méditerranéennes : l'olivier, le blé et le vin.
L'implantation des moyens de communication demande des études puis des budgets colossaux. Tout est décidé et réalisé avec une méthode exemplaire. A partir de ce moment date une expansion économique méritée, mais porteuse de problèmes qui rejailliront un siècle après.
A l'arrivée, les colons baptisent « La Sénia » et occupent la partie Ouest du douar, construisent la première école et le premier dispensaire.
En effet l'arrivée des français en Algérie s'accompagne de la mise en place de structures sanitaires propres à prévenir sinon à guérir les maladies endémiques du pays. C'est ainsi que naissent et se développent des institutions médicales comme les dispensaires contre la propagation de la syphilis et des MST et contre la variole.
Commune de plein exercice
Le village est créé en 1844 par le Génie militaire, tracé de la commune, fontaines, puits, travaux de route, plantation d'arbres etc.
Avec l'existence sur la commune de l'Hippodrome du figuier, de très belles propriétés rurales et de plusieurs usines qui contribueront à faire de ce charmant village une agglomération importante.
Aérodrome
On installe un terrain d'aviation dans des conditions particulièrement favorables, le terrain est d'une horizontabilité parfaite ; Aucune forêt voisine ne constitue, pour les avions en exercice, de danger permanent ; L'immensité de la plaine sans ondulation, la ventilation est régulière et comporte bien moins de remous dangereux qu'ailleurs. La Sénia a naturellement été choisie par l'autorité militaire pour siège de plusieurs escadrilles, les alentours constituant un excellent champ d'entrainement aérien. La présence du personnel, que l'utilisation et l'entretien de ces escadrilles nécessitent, constitue pour la région un fort appréciable élément de prospérité.
1909 : 14 décembre, sur un terrain de La Sénia, Julien Serviès effectue le premier vol retentissant en Oranie, avec un monoplan Sommer. Le 9 janvier suivant, un grand meeting rassemble quarante mille personnes, toujours à La Senia, en présence de Lyautey.
LA SÉNIA (ou LA NORIA, son synonyme utilisé aussi bien en Espagnol qu'en Arabe, est une machine hydraulique formée de seaux attachés à une chaîne sans fin, plongeant renversés et remontant pleins) est situé au sud d'ORAN à 7 kilomètres de la Préfecture.
À l'origine sa vocation fut agricole, viticole et maraîchére. Au cours du temps, plusieurs usines s'y installérent, spécialisées en savonnerie, engrais chimiques, miroiterie 'Saint Gobain", Faiencerie Nord-Africaine et autres...! La gare fut l'une des gares de triage les plus importantes des Départements d'Algérie.
Le village est composé de quatre grands rectangles séparés par deux plus petits. D'un côté, la Mairie et la Place Publique et de l'autre l'église Saint Félix (fin XIXeme/début XXeme siècles) et le Monument aux Morts. Le valeureux "Bouyouyou" (tramway) effectuant le trajet aller-retour ORAN / HAMMAM-BOU-HADJAR, traverse le village.
Au début, comme tant d'autres villages, le bourg fut administré par un "Délégué Spécial" dépendant de la ville d'ORAN. L'érection de LA SÉNIA en commune de plein exercice date du 26 janvier 1874.
L'existence sur la commune de l'Hippodrome du Figuier, de forts belles propriétés maraîchères et viticoles ainsi que des usines citées plus haut contribuera à faire de ce charmant village...une agglomération importante.
Le premier Maire fut Louis MERCERON puis parmi les plus récents, Monsieur PIETRI, Maire pendant la "GRANDE GUERRE", ayant eu la tâche ingrate de prévenir les familles dont les fils étaient "MORTS POUR LA FRANCE" (dix-huit enfants du village dont Pascal ANTON, tué en août 1914 à la "Première Bataille de la Marne" ainsi que deux fils ABADIE). Puis se fut Candide AYALA et Michel AZORIN, vaillants Combattants de 1914/1918 jusqu'en 1945. Jean POUPART "France Combattante"de 1945 à 1947. Le bon Docteur PARRÉS assura son rôle de Maire jusqu'en 1959 et son premier adjoint, Louis CHÉZE, fut son successeur jusqu'en juillet 1962.
À notre départ, la population de la commune était bien supérieure à 5000 habitants.
Comme ORAN et bien des agglomérations du Département d'Oranie, le village fut jusqu'en 1962 à majorité européenne, composée de descendants de Métropolitains dont les Familles LONG, CHÉZE, TRENEREL, MERCERON, CHANUT, ICHE, le Président SICARD et CASTAGNIER dont l'une des filles, Alice Henriette contracta mariage avec Vincent AZORIN. Leur fils René épousa Renée, fille du Directeur de l'École Primaire du village, et d'autre part, des descendants d'Espagnols qui occupérent ORAN fort longtemps, les AZORIN, GUILLEN, BROTONS, PINA, PREFUME, MARTINEZ, AYALA, CARA (tous alliés), RUIZ SANCHEZ et PEREZ venant principalement de la région d'ALICANTE avec leur langue le "valenciano" que tout le monde parlait ou comprenait, ainsi que de MURCIE pour les GUILLEN (MULA exactement).
Durant la "Seconde Guerre Mondiale" entre 1939 et 1945, la population ayant augmenté, le nombre de Sénialais "mobilisés", dès l'âge de dix-huit ans, fut plus important et participa à la LIBÉRATION de la TUNISIE, de l'ITALIE avec le Maréchal JUIN et au "DÉBARQUEMENT DE PROVENCE" (donc de la FRANCE) avec le Général de LATTRE de TASSIGNY.
L'aérodrome accueillit le 14 décembre 1909, Julien SERVIÈS effectuant le premier vol retentissant en ORANIE, avec un monoplan "SOMMER" puis devint aéroport. Le terrain d'aviation fut tout d'abord occupé par la "MARINE" en 1917 qui installa des "ballons dirigeables" servant à la surveillance en mer...avec une attention particulière pour les sous-marins. Quand les marins reprirent la mer, "l'AVIATION" s'installa. L'autorité militaire choisit ce terrain d'une horizontabilité parfaite et en fit le siège de plusieurs escadrilles. Le temps permit la construction et...l'aéroport se nomma "ORAN-LA SÉNIA" jusu'en...1962. La présence du personnel, que l'utilisation et l'entretien de ces escadrilles nécessitent, constitua pour la région un fort appréciable élément de prospérité.
Au départ, l'ancien aéroport fut le champ d'action de l'aéronautique civile avec pour pionniers : Henri-Fouques DUPARC (qui devint Maire d'Oran), MONVILLE, FAURE et...d'autres.
LA SÉNIA, qui devint la "Base 141", fut la plus grande Base de FRANCE. L'aéroport fut doté en 1951 de pistes modernes en béton. Les Sénialais servirent pour beaucoup dans l'aviation et bien des Sénialaises épousérent de "beaux aviateurs métropolitains". Parmi les Chefs de la Base, le Colonel FRANCOIS, le Colonel puis Général GAUTHRIN et le Colonel puis Général CHALLES peuvent être cités...!
Ce lieu vit quitter définitivement les Français d'ALGÉRIE (appelés aussi "Pieds-Noirs "...fin juillet 1962...!).
Voici les 4 livres de l'écrivaine Monique Massot, native de Tlemcen, elle est rentrée en France en Juin 1962 , elle habite Montpellier et je l'ai rencontrée par hasard quand j'ai commencé ma cure à Balaruc.
Je me suis régalée et j'ai découvert des choses que je ne connaissais pas sur l'algérie.
Il y a 4 tomes et je les conseille vivement.
L'éditeur donne des explications au-dessous de mon écrit.
Bravo encore pour tout ce que tu as mis en place.
Bisous à toute ta famille et belle année 2025.
Gilberte Médelin
Prologue
A un moment donné de sa vie, il peut arriver que l'on s'interroge sur ses racines, d'autant plus que celles-ci ont été malmenées par l'histoire. Des secrets de famille soigneusement enfouis dorment à tout jamais dans les oubliettes de la mémoire collective. Si, par hasard, il arrive que l'on mette le doigt sur l'un d'entre eux, la quête de vérité ne nous lâche plus... C'est exactement ce qui s'est produit quand j'ai entrepris de constituer mon arbre généalogique. Je suis née en Algérie, bien avant qu'elle ne devienne indépendante. Mes ancêtres maternels, Alsaciens d'origine, poussés par la misère qui sévissait en France en 1848, ont choisi de s'y implanter dans l'espoir d'y trouver une vie meilleure. C'est, en gros, tout ce que je pouvais dire sur mes origines. La curiosité aidant, ainsi qu'un besoin viscéral de transparence, m'ont poussée à écrire à Nantes où sont regroupées nos archives et notre état civil. Me sont alors parvenus les premiers certificats de naissance, mariage et décès, concernant Joseph et Justine. J'essaie de remonter un peu plus loin et je réitère ma demande auprès de la mairie de leur village natal. Stupeur ! J'ai sous les yeux un deuxième certificat de décès concernant Joseph. Apparemment, il n'est pas mort et enterré en Algérie comme l'indiquaient les premiers documents en ma possession. Il repose dans le cimetière de son village alsacien. Vérifications : Il s'agit bien du même homme, toutes les dates concordent, sauf celle du décès et de la sépulture. Evidemment, il est impossible actuellement d'élucider ce mystère, si ça n'est de spéculer sur cet imposteur qui a accompagné Justine dans son exode et dans sa vie sous l'identité de Joseph. Il m'a plus d'inventer leur destinée telle que j'aurais voulu qu'elle soit. Cette histoire est, en partie, celle de ma famille telle qu’on me l’a racontée. Il se peut qu’au fil du temps et des générations, certains passages plus ou moins importants se soient perdus ou que la vérité se soit transformée au profit de l’imaginaire.
RÉSUMÉ le Journal d'un destin
Une dernière querelle, hostilité ultime. Et tout bascule dans l'inconnu. Le Canada, nouvel Eldorado, accueillera Adrien et Anna. Cependant, leur amour ne résistera pas aux conditions de vie effroyables qui les attendent sur place. Quinze ans plus tard, répondant à l'appel au secours de Justine, ils feront le chemin inverse. Au Grand Bassin, l'accueil est loin d'être à la hauteur de leurs espérances. Adrien doit faire face à une montagne de haine, de mépris et de duplicité venant de celui qui l'a évincé sur la propriété. C'est aux confins du désert que sa vie va se jouer. Plus dure sera la chute..
RÉSUMÉ La Saveur Amer des Oranges
: Plus que jamais dans son élément, Monique Massot-Escaravage s'empare de ces années mouvementées au parfum de fleurs d'oranger. Elle y brosse une vaste fresque historique de l'Algérie du temps des colonies des années 1870- 1890 en nous faisant partager le destin de personnages si vrais qu'ils semblent jaillir de la page. Chacun d'entre eux se révélera en allant au- delà de ses limites. Limites de ses souvenirs pour l'un, de ses préjugés pour l'autre. Nous y retrouvons Justine et Clément au cœur d'un fascinant secret familial, hanté par un homme sans scrupules. En effet, Joseph réapparaît semant le malheur autour de lui. Une histoire puissante, riche de personnages passionnés, animés de grands élans d'amitié, de tendresse et d'amour sous une plume qui a les couleurs de la vie
RÉSUMÉ Le grand bassin :
" LAISSE COURIR, LAISSE COURIR ... " C'est par ces quelques mots que la petite fille parvient à surnager au sein de l'indifférence affective qui menace à tout instant de l'engloutir. À 7 ans, par la force des choses, elle se retrouve projetée dans un milieu hostile qui menace son intégrité. C'est sans compter avec le cadre idyllique qui l'entoure. En effet, c'est entre les murailles millénaires d'un gigantesque bassin romain transformé en orangeraie qu'elle se ressource de toutes les injustices dont elle est la victime innocente. Monique Massot-Escaravage a récemment publié "Vent d'espoirs" aux éditions AETH. Un roman bouleversant qui retrace, dans un style limpide les premières années de ses ancêtres alsaciens en terre d'Algérie.
Vincent , Guy et Jean Paul SELVA .
On vous embrasse bien fort , a tous.
Si quelqu'un aurait le logo du c.o.s. , en photo , et si possible
de quel couleur , il était , par mon e mail .
Un grand merci , d'avance
et toutes photos , véhicules et avions , d'air France et autres
compagnies , années ,20-30-40-50
Vincent
Murielle,Christine,Nathalie ses filles,Ses petits enfants,
nous informent du décès de
Lucien CASTAGNIER
Après une longue maladie, Lucien CASTAGNIER, s'est éteint tranquillement le 12/11/2024 à 13h45, main dans la main avec Maman.
Il repose désormais à la maison funéraire de Hyères où il pourra recevoir vos visites dès le 14/11 début d'après-midi et jusqu'au 18/11 à 14H codes d'accés:
Salon Prométhée / Code du Hall = 0203A / Code du salon = C2355
Une cérémonie religieuse aura lieu le lundi 18 novembre 2024 à 14H30 à l'église St Louis de Hyères.
Ceux qui l'ont aimé, apprécié..., ne pourront pas forcément venir pour l'accompagner dans sa dernière demeure mais nous le comprenons tout à fait.
La Sénia, Les Angles. Grégory GOMEZ et Marie COUILLOUD, David GOMEZ et Isabelle BOUTEILLE, ses fils et belles-filles ; Hugo et Sacha, Marie-Claude, Evelyne et Jean-Pierre GOMEZ, ses soeurs et son frère ont la douleur de vous faire part du décès de Monsieur Daniel GOMEZ survenu le 7 mai 2024, à l'âge de 78 ans. Les obsèques religieuses auront lieu le jeudi 16 mai 2024, à 10 heures , en l'église des Angles, suivies de l'inhumation au nouveau cimetière de la commune. Daniel GOMEZ repose au funérarium des Etablissements Tillier, 7, rue de Massepezoul, 30133 Les Angles. Cet avis tient lieu de faire-part.
L'ancien Croco Daniel Gomez, malade, est décédé cette semaine, à l'âge de 78 ans, aux Angles où il habitait et où il sera enterré jeudi 16 mai 224. Né à Oran le 7 janvier 1946, Daniel Gomez était arrivé à Nîmes, avec ses parents, en 1962. La famille s’installe au Clos d’Orville où sa mère tient une mercerie. Son père, militaire de carrière, décède peu de temps après leur arrivée dans le Gard.
Celui qui avait signé à Nîmes Olympique en cadets, raconte Jean-Charles Roux, auteur du livre "Le stade Jean Bouin, l'âge d'or du Nîmes Olympique" (Atelier Baie), "était considéré comme un véritable espoir de la pouponnière nîmoise. France Football avait même fait de lui un "futur Kopa" ! Cet ailier de poche avait été très vite adopté par le public de Jean Bouin. Il était supporté, choyé et presque protégé par les supporters. Comme il était frêle, lorsqu’un adversaire osait le toucher, c’est une bronca qui descendait des tribunes. Jean Bouin rugissait lorsqu'il débordait."
Appelé par tous "La Gome", Daniel Gomez avait été convoqué pour la première fois en équipe 1 par Kader Firoud le 31 mai 1964 à Angers (1-0). La saison suivante (1964-1965), alors qu'il n'avait que 18 ans, "il était devenu un titulaire indiscutable, poursuit Jean-Charles Roux. Avec Antoine Valls, il apportait de la fraîcheur et de l’enthousiasme au sein d’une équipe composée d’anciens (Charles Alfred, Barlaguet, Chillan, Djeibaili, Parodi, Garnier…) et de jeunes (Landi, Canetti, Marcelin, Kabile, Novi, Betton)". Cette saison-là, le duo avait marqué 18 buts (7 pour Gomez).
Au total, toutes compétitions confondues, Daniel Gomez, qui a été international militaire, a porté le maillot croco à près de 150 reprises. Il avait quitté Nîmes Olympique en 1969 pour le Red Star, évoluant également à Châteauroux et à Rouen.
Jojo MENDES nous fait part du décés de son frère Ange dit Néné
La Sénia,Aigues-Vives (Ariège) ,
Nous vous faisons part du décès de :
Monsieur Ange, Fernand MENDES
qui nous a quittés le dimanche 28 janvier 2024 dans sa 93ème année.
Ses funérailles se tiendront en l'Église d'Aigues-Vives (09600) le samedi 03 février 2024 à 10h30. Suivies de l'inhumation au Cimetière d'Aigues-Vives (09600).
Dans l'attente des obsèques, vous pouvez vous recueillir à l'adresse suivante : Salon Salon 2 - Chambre Funéraire Ollivier (Tabre - 09600).
Madame Jacqueline MENDES, son épouse ; ses fils, Éric et Carol, sa fille Sandrine et leur conjoint ; ses petites-filles et ses arrière-petits-enfants, parents et alliés ont la tristesse de vous faire part du décès de Monsieur Ange MENDES
survenu à l'âge de 92 ans. Les obsèques religieuses seront célébrées le samedi 3 février 2024, à 10 h 30 , en l'église d'Aigues-Vives, suivie de l'inhumation au cimetière. Adresse du deuil : centre funéraire Ollivier, zone industrielle, 09600 Tabre.
REMERCIEMENTS
L'épouse, les enfants, les petits-enfants et arrières petits-enfants de Ange MENDES me chargent de vous remercier infiniment, pour les marques de sympathies témoignées lors du deuil dont ils ont été affectés.
La Sénia, Saint-Même-les-Carrières, MERIGNAC (16), Gensac la pallue M. André COCHET son époux ; Patrick et Stéphanie COCHET, Bruno et Blanche COCHET, Emilie COCHET et Laurent GUYONNET, ses enfants ; Mathilde, Jeanne, Juliette, Gabin, Justine, Pierre, Paul, Juliette, Marius, et Léonie, ses petits-enfants ; M. et Mme NOGUERA, son beau-frère et sa belle-sœur ; neveux et nièces ; parents et amis, ont la tristesse de vous faire part du décès de
Mme Maryse COCHET, née NOGUERA, survenu à l’âge de 80 ans. Ses obsèques religieuses seront célébrées le vendredi 9 juin 2023, à 10 h 30 en l’église de Saint-Même-les-Carrières suivies de son inhumation au cimetière de Mérignac . Mme COCHET repose à la chambre funéraire Le Verger à Vibrac salon Prune où la famille recevra les visites ce jour mercredi 7 et jeudi 8 Juin de 16h à 18h.
REMERCIEMENTS
Les Familles COCHET et NOGUERA vous remercie pour vos messages de soutien et de réconfort
lors des obsèques de MARYSE
Nous nous sommes senti soutenues dans la douleur de ce triste moment
j'ai le regret de vous annoncer le décès de mon oncle,
Lucien BERNAD
Survenu à l'âge de 93 ans
Les obsèques auront lieu le : Vendredi 26 mai 2023 à 9 heures 00 à Marignane cérémonie religieuse en église saint-laurent Imbert Suivie de l’inhumation au cimetière le Canet à Marseille.
Je suis Bruno WAGNER né le 27/11/1959 à la Sénia, fils de Emile (Milo) et Odette SELVA.Je viens d'effectuer pour la première fois un petit séjour en Algérie et bien sûr du village où je suis né La Sénia. Bien comment dire, heureux d'y être allé mais déçu de voir l'état de délabrement dans lequel il se trouve. J'ai vu la maison SELVA, l'Ecole, Clair soleil maison de mon oncle Manuel ASNAR, la maison où mes frères et moi sommes nés. Je me suis rendu au cimetière de MISSERGHIN. Et là quel choc. On m'avait dit que certaines tombes avaient été profanées mais je pensais que depuis tant d'années qu'elles avaient été refermées. Et bien non. Toutes les stèles sont au sol et cassées, les plaques arrachées et détruites. Beaucoup de tombes sont ouvertes laissant des trous béants par lesquels on distingue l'intérieur des caveaux.Quelle honte pour ceux qui ont fait cela, mais aussi quelle honte pour la France.J'ai rédigé un courrier que je vais adresser à notre Président, à mon député, à l'ambassadeur en Algérie et au Consul à Oran.Je joins quelques photos pour illustrer mes propos.Bien cordialementBruno WAGNER
Bonjour Paul,
Je te joins la réponse que j'ai reçue du Consul à Oran suite au courrier que je lui ai adressé.
"Cher monsieur,
J’ai pris connaissance de votre courrier du 17 mars reçu ce jour concernant l’état du cimetière européen de Misserghine et d’autres localités. Je ne peux que comprendre votre réaction devant le spectacle de désolation qu’offrent trop de cimetières européens en Algérie. Je vous assure aussi de la mobilisation de mes services sur ce sujet, même si la complexité et l’ampleur de celui-ci expliquent en partie l’état insatisfaisant de ces lieux de mémoire. Je ne manquerai pas, comme je le fais à chacun de mes déplacements, de rappeler aux autorités locales leurs responsabilités en la matière, laquelle ne nous dispense bien sûr pas d’un appui qui ne peut toutefois se substituer entièrement à ces responsabilités.
Avec mes bien cordiales salutations,
A. Andres
Alexis ANDRES,Consul Général "
voici ma réponse :
Bonjour Monsieur
Je vous remercie de la réponse que vous m'avez apportée.
Effectivement, c'est la désolation. Par contre il est surprenant qu'en 2023 cet état de fait ne soit pas réglé. La personne que j'ai vu sur place et qui détenait les clés du portail du cimetière m'avait informé que les profanations datent des années 1990. C'est à dire que cela perdure depuis 33 ans. Comment se fait-il qu'au bout de tant d'années rien n'ait été fait pour y remédier. Je ne doute pas de votre engagement mais je doute que la situation s'améliore avec le temps. Ce pays et certains de ses habitants ont encore la haine de la France. Il me semble que Monsieur CHIRAC avait donné des fonds (plusieurs centaines de million d'euros) en ce sens. A quoi à servi tout cet argent ?
il convient, il me semble, de ne plus négocier mais d'exiger.
RODRIGUEZ François (Francis dit "el largo") - décédé le 03/03/2023 à l'âge de 84 ans
JEUDI 9 MARS 2023 en l'église Saint-Jean Baptiste de 83210 Solliès-Pont, à 15h00 ont eu lieu la Cérémonie et bénédiction, puis l'inhumation au nouveau cimetière de Solliès-Pont.
Francis était le frère de Jeanne, Joséphine, Antoine et Michel Rodriguez de La Sénia. Il a gardé en lui et de façon inconditionnelle tous ses bons souvenirs de sa terre natale, l'Algérie.
A celles et ceux qui se souviendront de lui, nous vous remercions pour vos pensées et prières.
Notre Mère Eliane, notre fratrie de trois enfants avec Jean-François, Monique et Virginie, ses huit petits-enfants et cinq arrière-petits-enfants, sommes très reconnaissants de l'affection, et considération que vous avez pu avoir envers lui et notre famille.
Aujourd'hui c'est avec tristesse que je vous fais part du décès de
Bruna BONUTTO de La Sénia.
Elle avait 92 ans, une mémoire exceptionnelle et une grande culture.
Elle était passionnée par l'Algérie et adorait son village de LA SENIA.
Avec sa maman elles étaient couturières et son papa artisan (matériaux de construction) Elle suivait par notre intermédiaire toutes les nouvelles des Sénialais.
Elle est décédée le 21 octobre 2022 à Lestans dans le Nord de l'Italie où elle vivait.