Décès René FIGUEREDO
Christiane FIGUEREDO épouse BALLESTA
Nous fait part du décès de son frère rené FIGUEREDO
le 8 novembre 2016 à MONTAUBAN
Décès Pedro De LINARES
RASSEMBLEMENT DES SENIALAIS 2016
JEAN DEDIOS GARCIA
Ci dessous poème souvenir écrit et lu par notre ami JEANNICOT
au rassemblement des Sénialais en 2016
LA SENIA DE MON ENFANCE
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La Sénia de mon enfance
Tu es toujours ma souffrance
Le 30 juin 1962, je quitte La Sénia sous un beau soleil
La Sénia un village comme tant d'autres
Mais lui c'était le notre
Avec ma femme Georgette PAREJA, je suis arrivé en France avec un enfant de deux mois
J'ai 5 enfants, 8 petits enfants et 2 arrières petits enfants
A la Sénia on appelait cela TATARAUELO
Les copains, les jeux, l'école et quand vint l'adolescence
C'était le boulevard, les soirées folles de La Sénia de mon enfance
tu es toujours ma souffrance
Oh qu'elles étaient belles les filles que l'on draguait jusqu'au matin
C'était la fête autour du kiosque, on dansait,
Mais les grands mères assises autour de la place nous surveillaient
Un oeil fermé et l'autre bien ouvert.
Notre équipe de foot et ses joueurs talentueux,j'en cite quelques uns ici présents:
Jean Paul VOGLIMACCI, Michel COURTET, Lucien CASTAGNIER, Paul AZORIN, Sylvain FRANCES, Georges FLYPO
Sans oublier le meilleur,Celui qui vous parle " JEANNICOT"
Je sais qu'après les matchs Gagnants ou Perdants
C'était les bars, la kémia, l'anisette
Chez MARTINEZ, CORTES, L'ESCALE et ABADI chez LOUISETTE.
La Sénia de mon Enfance
Tu es restée ma souffrance.
Sur notre terre d'accueil,54 ans déjà, Au fond du coeur
On rève toujours des rues de notre enfance
Pour moi JEANNICOT vous n'êtes pas mes amis, vous êtes ma famille
La Sénia de mon enfance
Tu es restée ma souffrance.
Jean DEDIOS GARCIA
EQUIPE JUNIORS SAISON 1961/1962
JUNIORS SAISON 1961/1962/
D ocuments Claudy CHAPARTEGUY
cliquer sur EQUIPE JUNIORS SAISON 1961/1962 pour voir le diaporama
Hippodrome du FIGUIER Après 1962
The LIMINANAS
DECES Thérèse Camacho épouse MEDELIN
DECES Daniel PACARY
J’ai l’immense peine de vous annoncer le décès de mon cher et tendre époux Daniel,
survenu le 17 mai 2016 à 84 ans.
Il nous laisse dans une immense tristesse mais je me console en pensant qu’il ne souffrira plus et qu’il repose maintenant en paix
Les obsèques religieuses auront lieu le vendredi 20 Mai 2016 à 15 heures à l'athanée de CANNES
La Crémation le mercredi 25 Mai 2016 à 15 heures au crématorium de CANNES
Christiane BELZUNCES - PACARY
Décès Pierrot NOGUERA
Je viens vous informer du triste décès de Mr NOGUERA Pierrot
il sera incinéré vendredi 6 mai à Bayonne
Adieu mon cousin
Décès Pierrot LOPEZ
Bonjour à Toutes et tous,
Je viens d'apprendre la triste nouvelle par sa nièce Bernadette
Notre "AMI" Pierrot LOPEZ vient de nous quitter
Un Sénialais qui a beaucoup donné pour son village avec son épouse Claudine.
Nous ne pourrons jamais assez les remercier pour tout ce qu'ils ont fait
ADIEU PIERROT, repose en paix
Les obsèques auront lieu à VINASSAN
Mardi 16 Février à 14h 30
Décès Antoine CAMACHO
Roger DUREUX et Marinette LOPEZ nous informent du décès de
Antoine CAMACHO
à BRISBANE Australie
DECES Antoine GUMIEL
Les familles Gumiel et Lazaro
Ont la douleur de vous faire part du décès de:
Antoine GUMIEL dit Toinou
Survenu le 1° Décembre 2015 à DIJON
La famille GUMIEL originaire de Lourmel s'est installée à La sénia quelques années avant l'indépendance.
Pour mémoire Mr Gumiel Père à été enlevé à La Sénia le 5 Juillet 1962
CAP D'AGDE
Décès Franck CASTAGNIER
Nous apprenons le décès de Franck, Fils de Paul (Popol) CASTAGNIER
La cérémonie religieuse aura lieu au crématorium de La SEYNE / MER
715 Avenue R.Brun
83500 LA SEYNE SUR MER
le 23 Octobre 2015 à 17h 30
Décès François QUESADA
Yvette QUESADA et ses enfants
Solange, Angèle et Christian QUESADA, soeurs et frère
Vous informent du décès de François QUESADA né en 1928 à La Sénia, suite à une longue maladie.
les obsèques auront lieu à Cagnes sur Mer vendredi 28 aout 2015
9h30 Levée du corps à l'Athanée de cagnes sur mer
10h30 Cérèmonie religieuse église Sainte famille à Cagnes sur mer
13h30 Crématorium de Cannes la Bocca
Décès Joseph PEREZ
Nous apprenons le décès de Joseph PEREZ (Jojo) époux de Marinette SANCHEZ
La mise en bière aura lieu au Funérarium de St Laurent de la Salanque mercredi 19 Aout à 14h30
La Crémation au crématorium du Cannet à 15h15
Décès Catherine CAYUELA
Je vous informe du Décès de Catherine CAYUELA épouse BELMONT
le 1° Aout 2015 à TOURCOING
Décès Francis THOMAS
Robert NOGUERA nous fait port du décès de Francis THOMAS le 6 Aout 2015.
Francis était l'époux de notre amie Claudine NOGUERA.
Les obsèques auront lieu lundi 10 Aout en l'église de Ste Foy La Grande à 10 Heures
Décès Simone MARTINEZ
Jeudi 16 Juillet est décédée Simone MARTINEZ épouse de Pierre VERGES(+) militaire à La Sénia, originaire de Biarritz.
Elle avait 79 ans.Beaucoup se rappelleront qu'elle leur a enseigné le cathéchisme.
Ses obsèques ont lieu à Biarritz le Vendredi 24 Juillet Eglise St Joseph.
Son jeune frère René est décédé il y a trois ans
Condoléances à André, son frère et à ses enfants et petits-enfants
Message de Sylvain FRANCES
CLAIR SOLEIL
ANNUAIRE DE LA SENIA
DOCUMENTS DIVERS
FILATURE NORD AFRICAINE
L'INDUSTRIE LAINIÈRE A ORAN, EN 1951
L'industrie lainière est représentée à Oran par la Filature nord-africaine dont l'usine est installée dans la banlieue, sur la route de la Sénia. Elle comprend :
— une laverie de laine ;
— une salle de préparation ;
Kilomètres
la filature (6 assortiments de cardes, de 1,80 m d'arasement [il n'y a que de la laine cardée, pas de laine peignée] ; (12 renvideurs, dont 11 de 396 broches) ;
— la salle de bobinage ;
— la salle de tissage (25 métiers à tisser, 2 ourdissoirs, 4 canetières) ;
— la salle des apprêts (foulons, laveuses, tondeuses, brasseuses, etc. ) ;
— la teinturerie (les colorants sont importés de France et de Suisse).
En 1951, la Filature nord- africaine a traité 200 tonnes de laine lavée provenant :
— soit d'importations anglaise ou métropolitaine, réservées à l'industrie du vêtement ;
— soit d'achats locaux, destinés à la fabrication des tapis.
Le personnel utilisé actuellement est légèrement inférieur à 200 personnes (dont un tiers de femmes ou jeunes filles) en majorité d'origine européenne.
Depuis la crise qui s'est fait sentir dans le textile en 1948 et aussi du fait de la concurrence métropolitaine, l'usine a presque abandonné le tissage pour se consacrer à la filature. Les produits de l'usine sont vendus : en partie sur place (surtout à l'armée) ; en partie exportés dans la métropole et en Allemagne.
G. BOYER.
Photos vincent SELVA
Milo WAGNER
ALINE LAROCHE - MACHINE A TRICOTER
DECES Jean CALLEJON
C'est avec le coeur triste et une grande émotion que Marguerite DUPUY CALLEJON nous fait par des décès de son frère Jean CALLEJON ce jour 30 Mars et de son épouse Gisèle le vendredi 27 mars 2015.
Les corps reposent à l'hôpital de SETE
Leurs incinérations auront lieu à SETE le 2 Avril 2015, le matin pour GISELE et l'après midi pour JEAN
LES CONSCRITS
Contrat bal des conscrits entre Charly LABEAU et Paul BUSSIERE
Accroupis; H.Rossiquet-E.Vautrin-L.Castagnier
Debout: J.Sanchez- x - J.Nigues-R.Martinez-F.Castagnier-Antiphon
sur le Kiosque : R.Garcia
Départ pour le Dépot de gerbe au monument aux morts
M.Dudenhoffer Fréderic - J.Sancher - JM Cara - Mr Lopez Pascualine
Décès André ORTEGA
Jean Paul VOGLIMACCI
C’est avec une profonde tristesse que le FC Chalon vient d’apprendre la disparition d’un de ses joueurs emblématiques. André Ortega, 67 ans, s’est éteint hier matin des suites d’une longue maladie.
Arrivé à Chalon en 1962 en provenance d’Oran (Algérie), André Ortega a fait l’essentiel de sa carrière au FC Chalon (1965-1980). Un club dans lequel il aura vécu ses plus grands moments sportifs en compagnie des Génieux, Pomaro, Rey, Kaminski, Bardin, Bak, Perret, Duthoy, Shaller et autres Guegain. « Chocolat », comme il était affectueusement surnommé, était surtout remarqué pour sa patte gauche et son jeu de tête remarquable. Sous la férule de Jean-Louis Lagadec, décédé en octobre 2012, André Ortega connut deux montées en Division 3 ainsi qu’un 32e de finale de Coupe de France contre l’Olympique Lyonnais (1-4) en 1974.
Ses obsèques seront célébrées ce samedi à 10 h 30 en l’église Notre-Dame de lumière à Chalon. À sa famille et à ses proches, le service des sports du Journal de Saône-et-Loire adresse ses plus sincères condoléances
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Blimp Escadron 14

Blimp Escadron 14

La Senia Field, Oran, Algérie
bâton mât et de la station de ferry de ravitaillement
Toutes les photos sur cette page proviennent de cinq volumes histoire picturale Blimpron 14 outre-mer créé par l'escadron officier photographique lieutenant (jg) RC Kline, A (V) N, USNR et seuls les photographes de l'escadron accoupler PhoM1 / c Stephen J .. Kubarych Contact: Don {point} kaiser {at} gmail {point} com
RASSEMBLEMENT 2014
DIAPORAMA 20° RASSEMBLEMENT DES SENIALAIS
Diaporama réalisé par Jean Paul VOGLIMACCI
Sans Titre par VOGLIMACCI
RASSEMBLEMENT DES SENIALAIS par VOGLIMACCI
Ci sessous film réalisé par Jean Jacques VEILHON
en 3 épisodes
RASSEMBLEMENT DES SENIALAIS 1 par VOGLIMACCI
RASSEMBLEMENT DES SENIALAIS 2 par VOGLIMACCI
PHOTOS
Emile FIGUEREDO né le 2 juin 1927 à La Sénia à 6km d’Oran en Algérie nous a quitté brutalement à 87 ans.
Ses 3 enfants : Thierry, Ghislaine et Maryline, ainsi que ses 5 petits enfants : Gilles, Elodie, Mathieu, Marina et Lisa, et son arrière petite fille Agathe l’ont entouré d’affection. Pour Emile la famille était une priorité et il a toujours été très attentionné envers les siens. Il a toujours été protecteur et bienveillant pour ses parents, son frère Paul et sa soeur Albertine.
Emile tenait à jour depuis son enfance un « Journal de marche » dans lequel il notait tout , ce qui nous permet aujourd’hui de retracer sa vie.
A 17 ans il devient le plus jeune « Radio Météo de la France Combattante » et reçoit les félicitations du Général De Gaulle pour les hauts services rendus à la France vu son jeune âge. A cette époque il travaillait comme radio sur la base de La Sénia.
En 1945 il s’engage dans la vie militaire durant laquelle son courage et ses initiatives lui valurent le surnom du « lion de la radio » et de nombreuses félicitations, citations et décorations dont principalement :
Le Grand Prix Humanitaire de France (médaille d’or)
La Croix du Combattant de l’Europe
La Croix de guerre T.O.E.
La médaille Commémorative Indochine avec agrafe Extrême Orient
La Médaille Militaire
La Médaille Commémorative des opérations de sécurité du maintien de l’ordre avec agrafe Algérie
La Croix du Combattant volontaire 1942-1945
En 1947 Emile reçoit des félicitations pour avoir capté l ‘appel de détresse émis par l’avion du Général Leclerc.
En 1948 il part servir dans le Sahara. Cette période a été riche en souvenirs, il disait « l’Appel du désert est immortel ».
Dans le désert de Lybie, il devient Chef du poste radio de Mourzouk et partage la vie des touaregs et de leur prince.
« MOURZOUK » c’était aussi le « nom de guerre » d’Emile. C’est sous ce pseudonyme qu’il était connu dans le milieu militaire et politique.
A 25 ans il rencontre à Colomb Béchar la superbe fille de son instructeur :
Monique LEFEVRE qu’il va épouser.
Après la naissance de Thierry en 1953, Emile doit partir en Indochine pour servir la France dans ce pays en guerre. Il y sauve la vie du Président René PLEVEN. Sa jeep ayant sauté sur une mine, Emile au péril de sa vie réussi à appeler un hélicoptère. Ils conserveront une très longue amitié.
Malgré les dangers et l’absence de sa famille, ce pays féérique l’a beaucoup émerveillé.
Le « Sergent FIGUEREDO » était très apprécié de ses camarades pour son caractère joyeux, toujours prêt à vivre l’amitié.
Fin 1954 il peut enfin retourner auprès de ses proches en Algérie et la famille s’agrandit avec Ghislaine et Maryline.
En 1962, il accepte une mutation en France au Service des Transmissions du Ministère de l’Intérieur à ST LO en Normandie près de sa belle-famille.
C’est le cœur douloureux qu’il quitte l’Algérie qu’il ne reverra plus !
Monique et les enfants le suivront dans ses périples professionnels dans toute la France, de Préfecture en Préfecture.
A 47 ans il s’est fixé à St Laurent du Var pour une retraite bien méritée.
Très impliqué dans le milieu associatif et le bénévolat,
- Emile accepte le poste de gardien aux H.L.M. Point du Jour pour faire plaisir à Marc Moschetti,
- Il participe activement à l’UNCAFN (anciens combattants), il est élu Secrétaire Général en 1984. Il reste toujours en lien avec son parrain de guerre : Jacques Chaban Delmas avec qui il a eu une très solide et très longue amitié.
- Il sera Membre actif en compagnie de nombreux colonels à la Sous Section Nucléaire des Alpes-Maritimes .
Depuis le décès de son épouse Monique en 2006, Emile est resté très actif et très autonome.
Toujours très vif et disponible pour rendre service.
Emile a reçu beaucoup de félicitations et de citations tout au long de sa vie, mais il a toujours fui la presse et les honneurs.
Pour « un petit français d’Algérie » il a eu une belle carrière et a été l’ami de très hautes autorités.
Il été très fier que son fils Thierry, qui a suivi ses traces dans l’Aéronavale et le Service Public, soit nommé Chevalier de la Légion d’Honneur.
ON NE T’OUBLIERA PAS EMILE ;
ON SE RAPPELERA TOUJOURS DE TON SOURIRE,
DE TA GAITE ET DE TA GENTILLESSE.
ALAIN ASNAR dit Alain AUTUN
C'est avec honneur que j'ai reçu hier ce diplôme pour mon implication au sein de l'association LE SOUVENIR FRANCAIS qui porte le devoir de mémoire. Je dédie cette récompense à mon arrière-grand-père Vincent SELVA qui s'est battu dans les tranchées à Verdun, ainsi qu'à mon père Christian ASNAR et mes oncles Mario PRATS et Charles PONS qui ont défendu la FRANCE en Algérie avec honneur.
Chers amis,
Je remercie Jean Paul pour cette diffusion et je m'aperçois qu'en faite, je vous dédie à tous ce diplôme d'honneur de mon travail bénévole du souvenir car vous êtes tous la mémoire vivante de cette belle France que vous avez portée si haut et si fort au temps de notre Algérie.
Je rêve de vous retrouver un jour, tous, avec mon "Padré" Christian ASNAR lors de votre rencontre annuelle, pour vous dire que vous représentez pour moi l'honneur de la patrie du grand pays qu'était alors la FRANCE, notre FRANCE de la bas... même si le drame de ma vie c'est de ne l'avoir jamais vécu!
Je vais essayer de le convaincre de venir...
Je vous embrasse fort.
Alain ASNAR
LE TANGO CORSE
AVIS DE DECES
Vos Condoléances sont à présenter dans commentaires( en bas de page )
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Marie Rose MUNOZ épouse TORRES
a la profonde douleur de vous faire part du décès de sa fille
Joelle TORRES
le 1° Novembre à l'age de 51 ans
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Notre ami Christian SANCHEZ nous a quitté le 22 octobre 2014 à l'age de 79 ans
Information reçu de son cousin Julien SANCHEZ
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| Message de Maryline FIGUEREDO | |
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| Message de maryline FIGUEREDO | |
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Emile FIGUEREDO né le 2 juin 1927 à La Sénia à 6km d’Oran en Algérie nous a quitté brutalement à 87 ans.
Ses 3 enfants : Thierry, Ghislaine et Maryline, ainsi que ses 5 petits enfants : Gilles, Elodie, Mathieu, Marina et Lisa, et son arrière petite fille Agathe l’ont entouré d’affection. Pour Emile la famille était une priorité et il a toujours été très attentionné envers les siens. Il a toujours été protecteur et bienveillant pour ses parents, son frère Paul et sa soeur Albertine.
Emile tenait à jour depuis son enfance un « Journal de marche » dans lequel il notait tout , ce qui nous permet aujourd’hui de retracer sa vie.
A 17 ans il devient le plus jeune « Radio Météo de la France Combattante » et reçoit les félicitations du Général De Gaulle pour les hauts services rendus à la France vu son jeune âge. A cette époque il travaillait comme radio sur la base de La Sénia.
En 1945 il s’engage dans la vie militaire durant laquelle son courage et ses initiatives lui valurent le surnom du « lion de la radio » et de nombreuses félicitations, citations et décorations dont principalement :
Le Grand Prix Humanitaire de France (médaille d’or)
La Croix du Combattant de l’Europe
La Croix de guerre T.O.E.
La médaille Commémorative Indochine avec agrafe Extrême Orient
La Médaille Militaire
La Médaille Commémorative des opérations de sécurité du maintien de l’ordre avec agrafe Algérie
La Croix du Combattant volontaire 1942-1945
En 1947 Emile reçoit des félicitations pour avoir capté l ‘appel de détresse émis par l’avion du Général Leclerc.
En 1948 il part servir dans le Sahara. Cette période a été riche en souvenirs, il disait « l’Appel du désert est immortel ».
Dans le désert de Lybie, il devient Chef du poste radio de Mourzouk et partage la vie des touaregs et de leur prince.
« MOURZOUK » c’était aussi le « nom de guerre » d’Emile. C’est sous ce pseudonyme qu’il était connu dans le milieu militaire et politique.
A 25 ans il rencontre à Colomb Béchar la superbe fille de son instructeur :
Monique LEFEVRE qu’il va épouser.
Après la naissance de Thierry en 1953, Emile doit partir en Indochine pour servir la France dans ce pays en guerre. Il y sauve la vie du Président René PLEVEN. Sa jeep ayant sauté sur une mine, Emile au péril de sa vie réussi à appeler un hélicoptère. Ils conserveront une très longue amitié.
Malgré les dangers et l’absence de sa famille, ce pays féérique l’a beaucoup émerveillé.
Le « Sergent FIGUEREDO » était très apprécié de ses camarades pour son caractère joyeux, toujours prêt à vivre l’amitié.
Fin 1954 il peut enfin retourner auprès de ses proches en Algérie et la famille s’agrandit avec Ghislaine et Maryline.
En 1962, il accepte une mutation en France au Service des Transmissions du Ministère de l’Intérieur à ST LO en Normandie près de sa belle-famille.
C’est le cœur douloureux qu’il quitte l’Algérie qu’il ne reverra plus !
Monique et les enfants le suivront dans ses périples professionnels dans toute la France, de Préfecture en Préfecture.
A 47 ans il s’est fixé à St Laurent du Var pour une retraite bien méritée.
Très impliqué dans le milieu associatif et le bénévolat,
- Emile accepte le poste de gardien aux H.L.M. Point du Jour pour faire plaisir à Marc Moschetti,
- Il participe activement à l’UNCAFN (anciens combattants), il est élu Secrétaire Général en 1984. Il reste toujours en lien avec son parrain de guerre : Jacques Chaban Delmas avec qui il a eu une très solide et très longue amitié.
- Il sera Membre actif en compagnie de nombreux colonels à la Sous Section Nucléaire des Alpes-Maritimes .
Depuis le décès de son épouse Monique en 2006, Emile est resté très actif et très autonome.
Toujours très vif et disponible pour rendre service.
Emile a reçu beaucoup de félicitations et de citations tout au long de sa vie, mais il a toujours fui la presse et les honneurs.
Pour « un petit français d’Algérie » il a eu une belle carrière et a été l’ami de très hautes autorités.
Il été très fier que son fils Thierry, qui a suivi ses traces dans l’Aéronavale et le Service Public, soit nommé Chevalier de la Légion d’Honneur.
ON NE T’OUBLIERA PAS EMILE ;
ON SE RAPPELERA TOUJOURS DE TON SOURIRE,
DE TA GAITE ET DE TA GENTILLESSE.
01/1102014
Prions pour eux
Etablissement Régional du Matériel - E R M
260 BRM de La Sénia 1956/58 Bataillon récupération du matériel devenu
le................. 363 CLARA(compagnie lourde de réparations automobiles
devenu en 1962-64 le.............666e CGP (compagnie de gestion du parc)
Le camp de La Sénia dépendait du 260e BRM (Bataillon de Réparation du Matériel ou BMRG – bataillon du matériel de réserve générale). Ce 260e BRM avait été créé le 23 mai 1956 au Fort de Vancia (Ain) et a été remplacé le 01 août 1959 par le Groupement de Gestion et de Réparation.
La Sénia abritait durant les années 1957-1960 deux compagnies du 260e BRM :
-la 363e CLRA (Compagnie Lourde de Réparation Automobile) créée le 01 mai 1957 par changement d’appellation de la 307e CMRA (Compagnie Moyenne de Réparation Automobile) créée au Fort de Vancia le 23 mai 1956 ;
-la 666e CGP (Compagnie de Gestion de Parc) créée le 01 mars 1957 par changement d’appellation de la 560e CTM (Compagnie de Triage du Matériel) créée à Vernon (Eure) le 10 juillet 1956.
La Sénia était un camp inter-armes (Terre et Marine).
Le camp était commandé par un colonel de l'armée de terre.
L'armée de Terre gérait le parc et le camp. Ses ateliers réparaient : des chars, des transports de chars, des engins lourds, des camions des half-tracks provenant de la région Oranie.
La 363e CLRA comprenait un détachement de la Marine (dépendant de la 4e Région Maritime), d’environ 60 à 70 hommes (officiers, sous-officiers et marins). Le journal des marches et opérations de la 363e CLRA mentionne à la date du 8 octobre 1957 : « arrivée du détachement de la Marine comprenant 1 ingénieur de 1ère classe, 12 officiers et 50 quartiers-maîtres et matelots » sous les ordres l'Ingénieur-Mécanicien Principal Palluel.
Ce détachement réparait les véhicules de la Marine de la région Oranie mais aussi les véhicules légers de l'armée de Terre.
Le détachement Marine de la 363e CLRA fonctionnait comme un atelier autonome. Le bureau technique Marine était sous les ordres de l’Officier de Marine en Second.
Les ateliers magasin, mécanique, carrosserie, électricité, bourrellerie, peinture étaient sous la responsabilité d’un Second-Maître assisté d’un Quartier-Maître, le service de contrôle sous la responsabilité d’un Maître, d’un Second-Maître et d’un Quartier-Maître (mais le plus souvent d’un Second-Maître et de deux Quartier-Maîtres).
L’atelier de mécanique occupait tout un hangar à raison de 2 alvéoles pour les 4 équipes de mécaniciens (un Second-Maître, un Quartier-Maître et 4 à 5 hommes d’équipage). Chaque alvéole pouvait accueillir 2 jeeps.
PHILATELIE - BA 141
"PHILATELIE AVIATION"
Ci dessous le lien
La base d'Oran la Sénia à une histoire relativement ancienne puisqu'une école de pilotage y était créée des 1910.
Utilisée ensuite par l'armée de l'air et, bien sur, par l'US Air Force entre 1942 et 1945, elle deviendra officiellement base aérienne 141 le 01/06/1948.
Cette grande base abritera de nombreuses unités de l'armée de l'air à titre provisoire ou définitif entre 1954 et 1962. Elle sera dissoute et remise aux autorités Algériennes en 1964 soit 2 ans après l'indépendance de l'Algérie.
N'ayant pas trouvé de photo intéressante de la base en elle-même, je présente ci-dessus celle d'un avion du GT 3/62 Sahara, unité ayant passé toute son existence sur la base d'Oran.
Il s'agit du C-47 Dakota n° 43-48282 62-SS ( F-RASS ). Le Groupe de transport 3/62 à été créé le 15/09/1956 et dissout le 31/03/1964 sur la BA 141. Il a tout d'abord été équipé de C-47 Dakota puis à volé sur Noratlas à partir de 1958.
An interesting aviation cover from Oran la Sénia French air base and shot of a C-47 Dakota from 3/62 transport squadron '' Sahara ''.
LES SENIALAIS ET L'ARMEE
Photo Jean Jacques VEILHON
Jean Jacques VEILHON
Jean Jacques VEILHON
José GUMIEL
Serge FLYPO en formation aux USA
6° en partant de la gauche
Serge FLYPO 1 à gauche
Jean Piere Munoz
Jean Pierre Munoz
PLAN SIMOUN
Le plan Simoun est le nom de code militaire d'une opération destinée à transférer les jeunes européens d'Alger et d'Oran en métropole et en Allemagne afin qu'ils y effectuent leur service militaire.
Pour plus d'informations sur ce plan : http://www.cerclealgerianiste.fr/index.php/archives/encyclopedie-algerianiste/histoire/histoire-militaire/autour-de-la-guerre-d-algerie/276-le-plan-simoun
3° en partant de la droite : Jean Paul Voglimacci
Base aérienne 141 le 13 Juin 1962 embarquement pour la France Destination ??????? service militaite
Nous quittons l'Algerie à jamais
Incorporation au 153 ième Régiment d'infanterie à MUTZIG dans le Bas Rhin
JP. VOGLIMACCI
Installation de la compagnie et des lignes téléphoniques au camp de manoeuvre de MOURMELON
Francis Voglimacci
Régiment parachutiste à PAU
Julien SANCHEZ
Avis de décès
Je vous informe du décès de mon cousin JEAN PIERRE MELIS.
A toute la famille j’adresse mes sincères condoléances.
De tout coeur avec vous depuis la Nouvelle Calédonie.
Grosses bises
Jean paul
DIVERS
DEFILE
On reconnait Mmes Poquet, Selva, Azorin
Photo vincent Selva
En 1949 dans la cour de la maison GARES. Lors d'une fête religieuse
A droite Danielle Savelli,Marie rose Munoz,Vincent Selva
Au milieu Christiane Selva,René Perez,Colette Savelli
A gauche Marie Therese avec le drapeau,Marie Helene Pastor
Fernand POQUET
LES OEUVRES ET DESSINS HUMORISTIQUES DE NOTRE AMI
FERNAND POQUET
IMAGINE
LES INTROUVABLES
MAMIE
LES MARTIENNES
POT AUX ROSES
LES VENUSIENNES
LE PLUTONIEMME
LES SATURNIENNES
ARCHEOLOGUE
LES PUCES
LE TRAVAIL
LA POUSSIERE
LES JEUX DE DAMES
L'INTELLIGENCE
NE PENSES PAS
LE NEZ
LES COCCINELLES
LES PRESERVATIFS
RUE DES SOUVENIRS
UNE SUCE KIKI
LES PLANETTES
LE PITBULL 2
LE POULET
LA LETTRE
LES DEUX AMIS
LES 48 HEURES
LA BARRIERE
LES PUITS
L'ASPIRINE
LE PASTIS
LE BOUQUISTAN
LE SOUTIEN GORGE
CHOCOLAT ET TRAVAIL
QUIQUETTE ET FOUFOUNE
LE STRING
LA FEMME IDEALE
PAPIER CUL
LES 4 T
LES JUMELLES
LA CONCIERGE
L'ESQUIMAU
LA CHAISE DE PAPI
LE PLAFOND
250 VOLTS
LE SUPPOSITO
UNE BONNE JOURNEE
LES HORMONES
L'HOMME IDEAL
RUGBY
LA DISCRETION
LES SEINS
LES OUVREUSES
OSTENSIBLE
PARADIS VERT
PORTE OUVERTE
SIMIESQUE
VOYANT
IRE
LA MOCHE
LE PITBULL
LES SOURDS MUETS
TROU DU CUL
LES ECHANTILLONS
LE PET
GROS VENTRE
LA PIZZA
LE POMPIER
LE STEACK
LA PETITE TOMATE
LES BRAS
PLUS FORT
LES TOILETTES
L'ASILE
LE BAIN
LE PARADIS FLEURI
LE REVE
LES TERRIENNES
MONTAGNE ROSE
ENTRE NOUS
LE CHOIX
LE PETIT COIN
LE MONTENT
LA CAROTTE
LA VUE
LES RANDONNEURS
LE PERDU
L'OEUF
A LA MAIN
LE PENIS
CHOMEURS
LA VERANDA
RAIDE
LA DIARRHEE
20 %
LE BOSSU
LES VACANCES
LA PARACHUTISTE
PONT DES SOUVENIRS
LE FAISCEAU LUMI
LE CONGELATEUR
LES CHOSES SALES
LE WEEK END
LE REFLET
IMPREVUE
PINGUS
Ci dessous les oeuvres de notre ami Fernand POQUET
ALICE
ANTILLAISE
BOUQUET FLEU
CADEAU
CADEAU1
CAROL
ECOUTE
FAUVE
INCO
JE BRONZE
JE PENSE
JE SUIS LIBRE
JULIE
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MON BIJOU
MON IDOLE
UN BIJOU
MON PATRIMOINE
YOGA FLEURIE
CIRQUE AMAR
Le cirque Amar est un cirque fondé par Ahmed Ben Amar el Gaid, né à Bordj Bou Arreridj, en 1860.
C'est à Sétif qu'Ahmed Ben Amar dressa pour la première fois son chapiteau rouge et vert. Il avait auparavant rôdé son spectacle de danseuses et animaux dans plusieurs localités situées en Kabylie. Ami des bêtes et grand expert en chevaux, il sortit pour la première fois d'Algérie pour aller vendre des pur-sang en Angleterre. À la suite de ce voyage, il mit au point un spectacle coloré, avec des danseuses du ventre, les Ouled Nails, qu'il intitula « la grotte algérienne », et partit à la conquête de la France métropolitaine. Le succès fut si complet qu'Ahmed se mit à rêver à un immense chapiteau itinérant où évolueraient fauves, danseuses et saltimbanques. Parcourant les foires à la recherche d'animaux, il rencontra un jour le directeur de la « Ménagerie Lozérienne » de Mende, Monsieur Bonnefoux, qui venait de capturer un loup. Ahmed décida d'acquérir la bête sauvage pour la dresser et en faire une des vedettes de son spectacle. Grâce à cette rencontre, Ahmed fit connaissance de Marie, la sœur du directeur. De l’union d’Ahmed et Marie naquirent six garçons, dont plusieurs perpétuèrent la tradition familiale.
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En 1960, l'héritier et le grand patron d'un des plus importants cirques d'Europe tînt à fêter le centenaire de l'entreprise familiale par une prestigieuse tournée en Algérie. Un train spécial de 54 wagons quitta Paris. Une centaine d'artistes présentèrent 23 numéros, sous un chapiteau géant à 8 mâts. Ce fut le dernier grand épisode de la saga Amar, la mort successive des frères Amar y mettant fin.
ERIC GUIRADO
Eric GUIRADO fils de notre amis Sénialais Michel GUIRADO
Arrivé au cinéma par l'écriture et la photographie, Eric Guirado a commencé à Lyon en 1994 avec le court métrage Lonelytude ou une légère éclaircie. Il se fait remarquer avec Un petit air de fête, qui obtient le César du court métrage en 2001, ainsi que le prix Kodak de la quinzaine des réalisateurs à Cannes en 1999. Après avoir ensuite réalisé une dizaine de courts, en 2002, il écrit et réalise son premier long métrage, QUAND TU DESCENDRAS DU CIEL.
En 2007, Eric Guirado réalise Comoedia, une renaissance, sur les travaux de rénovation et la réouverture du célèbre cinéma lyonnais, et dans la foulée réalise une série documentaire sur les camions épiciers de la France profonde. La même année sort son deuxième film, LE FILS DE L’EPICIER. en 2010, Eric Guirado réalise le court métrage LE DEBUT DE L’HIVER et fait le tour du monde des festivals.
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OPERATION TORCHE
Mes réflexions furent interrompues par l'arrivée d'un camarade. Il venait m'avertir qu'il y avait une alerte et que, en conséquence, nous devions nous rendre à l'armurerie et gagner ensuite les tranchées de défense de la base. J'étais furieux de ce contretemps causé par ce que je pensais n'être qu'un exercice de routine.
Après avoir changé de vêtements je me rendis au mess (J'étais sergent depuis peu) afin d'y percevoir le ravitaillement pour la nuit. Puis, je dus aller, comme prévu, à l'armurerie. Ayant été institué chef de pièce au FM j'étais flanqué d'un tireur et d'un servant. Nous avons pris possession de nos armes…sans les dégraisser…car, au niveau subalterne, personne n'avait jamais pris ce genre d'opération au sérieux.
A la tombée de la nuit nous avons gagné nos emplacements dits "de combat". Le nôtre était un site privilégié et très sécurisant : Il était placé aux abords immédiats de la soute à bombe, et, détail encourageant, près des hangars dits "de Valmy". Le dispositif que nous occupions était formé d'une tranchée comportant, à chacune de ses extrémités, une plate-forme de tir. La tranchée elle-même était inutilisable car, depuis de longs mois, les militaires circulant sur la piste l'avaient détournée de son usage initial et l'utilisaient, à l'occasion, pour satisfaire, en urgence, ce que l'on pourrait appeler, comme sur certains documents du 19ème siècle, des appels de la nature. Des fragments, maculés, de l'Echo d'Oran, témoignaient de cette utilisation incongrue.
Au cours de la nuit nous fûmes tirés de notre torpeur par un grondement lointain qui, peu à peu, gagnait en intensité. De loin en loin des éclairs illuminaient la côte oranaise. Une sourde inquiétude se fit jour parmi nous. Quelqu'un hasarda, pour se rassurer, "C'est sûrement des exercices, une opération de commando !".
Au lever du jour nous ne savions toujours pas ce qui se passait. Des Dewoitine 520 décollèrent. Nous avons alors décidé de dégraisser le FM. L'un d'entre nous déplia un journal et le mis sur le bord de la tranchée. Nous y avons déposé les pièces nettoyées. Comme rien ne semblait presser nous sommes sortis faire quelques pas à l'extérieur. Nous percevions le bourdonnement des D520 qui évoluaient au-dessus du terrain.
Tout à coup quelqu'un hurla : "couchez-vous ! couchez-vous !". Je vis alors, sans comprendre, le sol se soulever en petites gerbes de terre autour de moi. Je bondis dans la tranchée. Un vacarme se déchaîna au-dessus de nous. Des avions plongeaient sur notre position en la mitraillant……Puis, enfin, le calme se rétablit. Personne n'avait été touché.
Cependant, des avions, paraissant être des Spitfire, frappés d'une étoile blanche (?) (1), se livraient à un strafing autour de la base. Les D520 les attaquèrent . Il s'ensuivit une mêlée confuse. Au sol des avions brûlaient.
Après une courte accalmie des Fairey "Albacore" bombardèrent les hangars du 1/3. Nous avons tenté d'assembler les pièces du FM, mais elles avaient été dispersées lors du mitraillage. Le percuteur resta introuvable.
Le lieutenant commandant la défense du terrain vint nous voir. A nos questions, concernant l'identité de nos assaillants, il répondit ne pas savoir qui nous attaquait. Ses ordres furent les suivants : " Si la base est attaquée par des fantassins ou des parachutistes vous devrez résister à outrance… Si ce sont des chars vous pourrez vous replier mais en vous remettant
périodiquement en position de tir…." (?) (2).
Nous ne comprenions toujours rien aux événements. Dans le courant de la journée nous vîmes plusieurs avions évoluer au-dessus de la sebkra (le lac salé) d'Oran. Brusquement, certains d'entre eux, désemparés, piquèrent vers le sol en laissant derrière eux de longues traînées noires. Les impacts au sol furent marqués par d'immenses nuages de fumée. Nous apprîmes par la suite qu'il s'agissait d'une patrouille de D520 qui avait été surprise, semblait-il, par une formation adverse. Le commandant du groupe était au nombre des victimes.
Au matin du 9 novembre tout était calme, mais nous avions l'impression qu'il allait se passer quelque chose. Effectivement, un moment après, nous aperçûmes un nuage de poussière qui se développait vers l'extrémité ouest de la base. En l'observant à la jumelle nous avons distingué une colonne motorisée composée de toutes sortes de véhicules de couleur verte et marqués d'étoiles blanches. Au fur et à mesure de la progression des nouveaux venus nous voyions les têtes des défenseurs ouest de la base s'escamoter progressivement dans les tranchées. Lorsque les assaillants ne furent plus qu'à une centaine de mètres un mouchoir blanc s'agita.
Des chars investirent le terrain et, bientôt, entourèrent notre position. Nous sortîmes en agitant un mouchoir blanc…..Une sorte de martien apparut alors au sommet de la tourelle d'un char : teint basané, casque vert recouvert d'un filet…..Il nous demanda, en anglais nous semblât-il, si nous étions allemands. Il ne comprenait pas le français. Il y avait parmi nous plusieurs pieds-noirs oranais qui engagèrent avec lui un dialogue en espagnol. Ils comprirent que c'était un Américain venant de Californie.
Nous avons entouré le char….Nous entendions des propos apaisants tels que : "amigo ! amigo !". Au moment où tout semblait aller pour le mieux un incident se produisit. Des artilleurs français, en batterie au village de Valmy, et dont le zèle n'avait d'égal que celui de leurs glorieux prédécesseurs de 1792, ouvrirent le feu sur les chars, sans se préoccuper le moins du monde de notre présence. Il y eut autour de nous des explosions, des gerbes de terre et de fumée. Nous nous sommes plaqués au sol et avons rampé vers la tranchée. Malheureusement une difficulté nous est apparue. Pour pénétrer dans cette tranchée il fallait franchir la levée de terre, or nous entendions, au-dessus de celle-ci, le sifflement ininterrompu de projectiles en provenance d'armes légères….
Une accalmie nous permit enfin de plonger dans la tranchée salvatrice. Nous sommes tombés les uns sur les autres. J'ai finalement hérité d'un espace réduit qui, compte tenu de son odeur, ne laissait aucun doute sur l'utilisation qui en avait été faite auparavant. Malgré tout je m'estimais très chanceux de pouvoir m'allonger et faire corps avec le sol.
. Autour de nous les chars rugissaient et tournaient en rond sans arriver, semblait-il, à localiser les départs de coups. Une de ces machines s'immobilisa au-dessus de moi, à la limite de la tranchée. J'apercevais les chenilles et le canon à deux mètres au-dessus de ma tête. Le canonnier s'étant décidé à ouvrir le feu, les détonations furent pour moi autant de poussées derrière la tête. A intervalles réguliers celle-ci était violemment rejetée, mais peut être était-ce seulement la peur, contre la fange malodorante qui garnissait le fond de la tranchée…….
Enfin le calme se rétablit, notre punition était terminée.
(à suivre)
- Jean Deffe
Nous avons été dirigés sur la "baraque de la météo", une construction située à la limite de la base, en lisière de la sebkra. Progressivement nous fûmes tous rassemblés, pour la nuit, dans cette bicoque. Nous étions peut être deux cents, debout sur quelques mètres carrés. Il nous était interdit de sortir. Les heures passèrent, interminables…..L'odeur était si insupportable que le GI qui vint nous ouvrir , au petit matin, esquissa plusieurs pas de recul.
On nous autorisa à occuper une tranchée proche de la baraque de la météo. Nous étions à la lisière est d'un immense rassemblement de véhicules de toutes sortes. Nous nous sommes alors souvenus d'une information, parue quelques temps auparavant dans la presse locale, selon laquelle, aux USA, l'armée américaine manœuvrait, faute de matériel, avec des canons en bois.
Dans la journée un fait nouveau se produisit. Des obus de gros calibre, venant, semblait-il, d’une batterie côtière de Santa-Cruz, se mirent à tomber sur le terrain. Nous avons pensé que cette batterie tentait de pilonner le rassemblement américain mais, fait inexplicable, les obus tombaient toujours à deux cents mètres de leur objectif supposé, dans une zone totalement déserte.
Enfin l'armada des camions GMC et des chars s'ébranla vers Oran et cette malheureuse affaire Franco-Anglo-Américaine trouva sa conclusion.
Quelques jours après, dans un désir commun de réconciliation, nous avons été rassemblés, avec les Américains, dans la cour de la base. Les couleurs françaises et américaines furent envoyées. On joua les hymnes nationaux. Puis les Américains occupèrent la base et nous envoyèrent cantonner dans les fermes avoisinantes. Plus tard, lors d'une prise d'armes en commun, des décorations furent remises à des militaires des deux bords, en récompense de leur belle conduite au feu…..…
Ainsi prirent fin, à la base d'Oran-La Sénia, les événements baptisés : OPERATION TORCH
(1) L'étoile blanche n'avait, à l'époque, aucune signification pour nous. Les raids massifs des bombardiers US sur l'Europe occupée ne commencèrent qu'au début de 1943. Donc en 1942, vraisemblablement, aucun avion à étoile blanche n'avait été abattu en France. D'où notre ignorance quasi générale à ce sujet Il faut noter aussi que, dans le contexte de 1942, l'idée d'un débarquement américain en Afrique du Nord ne nous était jamais venue à l'esprit.
En ce qui concerne le type d'avion utilisé il m'est difficile, si longtemps après, d'affirmer qu'il s'agissait bien de Spitfires. Des historiens rapportent que les Anglais utilisaient bien des Spitfires, mais aussi des Sea Hurricanes. Ces appareils portaient des étoiles blanches en lieu et place des habituelles cocardes. Cela en raison de l'hostilité des Français, vis à vis des Anglais, depuis l'affaire de Mers-el-Québir. D'autre part les Américains utilisaient des Spitfires qui leur avaient été livrés par les Anglais. D'où une certaine confusion.
(2) Des parachutistes US, venant de Grande Bretagne, devaient s'emparer de la base de la Sénia. Ils ne purent pas accomplir leur mission.
A noter que l'autorisation qui avait été donnée de nous replier devant des chars mais à condition de nous remettre périodiquement en position de tir équivalait, sur le terrain plat et désertique de la Sénia, à nous envoyer à l'abattoir.
A la suite de l'opération "Torch", l'armée d'AFN fut réorganisée et rééquipée. Elle repartit au combat contre les Allemands. L'armée de l'air reçu des Spitfire, des P47, des Airacobra, des Maraudeur et des P38. En juin 43 la mobilisation générale fut décrétée en AFN, puis, plus tard, en Corse.
Informations complémentaires concernant l’opération « Torch ».
Ainsi que je l'ai expliqué précédemment I’état major de l'armée d'Afrique savait, depuis quelques jours, que des convois se dirigeaient vers le détroit de Gibraltar (en fait seul un de ces convois devait passer le détroit, l’autre s’apprêtant à débarquer sur les côtes marocaines ). Je suppose, mais sans aucune certitude, que cet état major savait également que des troupes américaines se trouvaient à bord de ces navires. Par contre, jusqu'à quel niveau hiérarchique est descendue cette information le 7 novembre au soir ? Mystère. Les commandants d'unités ont certainement été mis au courant. Cependant l'information n'est pas parvenue jusqu'au personnel subalterne (je veux parler du personnel allant des adjudants aux soldats de 2ème classe). Le 7 au soir nous ignorions tout de la possibilité d'un débarquement anglais et, de surplus, comprenant des troupes américaines. D'ailleurs, en général, à cette époque là, les ordres que nous recevions n'étaient accompagnés d'aucune explication.
Comme je l'ai indiqué nous avons eu, durant la matinée du 8 nov. après l'attaque des avions à étoile blanche, la visite de l'officier commandant la défense du terrain. A notre question concernant l’identité des assaillants il nous à répondu ne pas savoir. Ne savait il vraiment rien ou bien avait il des ordres pour ne rien dire ? La question reste posée.
Ayant contacté récemment un de mes anciens collègues, j'ai obtenu auprès de lui quelques informations supplémentaires. Ce collègue était descendu en permission à Oran le 7 nov. dans la soirée. Il reçut, dans la nuit, l'ordre de rentrer à la base. Alors qu'il arrivait près des hangars, à l'aube, en compagnie d'autres camarades, il entendit un avion passer au dessus de lui. Ensuite ses camarades et lui trouvèrent sur le sol des tracts sur lesquels étaient imprimés la photo du président Roosevelt et un texte, rédigé en français et en arabe, annonçant l'arrivée des Américains. Donc, par cette voie, une partie du personnel de la base fut mise au courant de ce qui se préparait.
Ceux qui, comme moi, avaient été désignés pour assurer la défense du terrain, se trouvaient depuis le 7 au soir dans des tranchées situées à la périphérie de la base. Donc loin des hangars et des casernements et, par conséquent, loin des sources d'information possibles.
Pour résumer disons que : L'état major, les commandants d'unités, certains officiers et pilotes savaient peut être que des Américains, et pas seulement des Anglais, allaient débarquer. Le reste du personnel ne savait rien mais la découverte de tracts au matin du 8 novembre permit à certains membres de ce personnel d'apprendre leur présence parmi les troupes de débarquement.
Il faut ajouter que tout cela s'est passé dans beaucoup de désordre et de confusion
- Jean Deffe
les pauvres marins de la royal deploreront le plus grand nombre de mort coté francais quand aux alliés leur pertes seront encore plus lourdes
COPAINS - COPINES
Robert MIRA (Gendarmerie de l'armée de l'air)
Au bar CORTES

Notre garde champetre Frederic DUDENHOFFER
Antoine GUMIEL, Jean Jacques VEIHLON, Jean Louis ZAMORA

René PEREZ

Claudy CHAPARTEGUY

Antoine MUNOZ

Guy CASTAGNIER

Norbert CUESTA

Jean Paul VOGLIMACCI
Jean Paul VOGLIMACCI

Jean Pierre MUNOZ

Jean Marie MARTIN
Jean Paul VOGLIMACCI- Alain RUIZ- Michel GUIRADO- Claudy CHAPARTEGUY

Monique CASTAGNIER

Marie Rose SCALA

Georgette PAREJA

Andrée PEREZ

Andrée PEREZ

Claudie MARTINEZ et Andrée PEREZ

Andrée PEREZ

Jean Pierre MUNOZ

Norbert CUESTA - Claudy CHAPARTEGUY

Mireille CUESTA

Marcelle KOELING et Lucienne MIRA

Raymond PEREZ

Lucienne MIRA et Danielle VICENTE

Marcelle KOELING

Gislhaine et Marcelle KOELING

Rinette VEILHON et Claudie MARTINEZ

Marcelle Koeling-Mireille CUESTA-Andrée PEREZ

Lopez et G.Chaparteguy

Andrée GARCIA et José GUMIEL

Marie Rose SCALA aux chalets
Gisèle Mendes devant les chalets
Nadine RUIZ
Andrée Garcia et Nadine Ruiz devant entrée du stade

Elisabeth SARRIO

Mme Poquet

Manolico SANCHEZ et Jeannot DEDIOS GARCIA

Fabien PREFUME,SANCHEZ et Lucien BERNAD

Fabien PREFUME, Jeannette CASTAGNIER et TICHADOU


Jeannot DEDIOS GARCIA et Georgette PAREJA

Georgette PREJA et Jeannot DEDIOS GARCIA

Milo WAGNER et François QUESADA partent à l'entraimenet et répétition FOOT et Batterie

Claude TICHADOU,François QUESADA,Roger GUILABERT

De G à D: x - J.Hernandez - F.Quesada

Norbert CUESTA et Jean Paul VOGLIMACCI au stade d'Ain Témouchent

Lucienne et Jean Louis MIRA

De G à D: A.Ruiz - x - C.Ruiz - C.Quesada

X - D.Sanchez - C.Quesada - x

Debout: x- Y.Martin - Figueredo - D.Sanchez - A.Barber - C.Quasada
Accroupis: J.Alarcon - x - Rodrigues - Bel - X

x - C.Ruiz - C.Baeza - MR.Munoz


devant C.Beza - C.Ruiz - Hamon

C.Ruiz et C.Baeza
CABANON à DAMESME famille Llorens
La Famille Llorens en vacances chez des amis
En haut à droite Isabelle (Bernad)
en bas à droite Lucienne





Familles Mira et Pereniguez

A.Munoz

A.Munoz - JJVeilhon - R.Noguera

D.Zamora - A.Munoz - R.Noguera

D.Zamora - R.Noguera - JJ.Veilhon

Famille Munoz

Famille Munoz



Familles MIRA et PERENIGUEZ

à Damesme
A.Cortes - JP.Munoz - M.Soler - AP.Perales - R.Perez - G.Mendes - JP.Voglimacci - Martinez - G.Castagnier - A.Ruiz - j.Mendes et son épouse

W-E à Damesme

devant: H.Bastida-R.Sarrio-A.Wiedrich-C.Chaparteguy-JP.Voglimacci-R.Perez
Derriere: RP.Rios-H.Veilhon-J.Ortega-G.Flypo-JJ.Veilhon-R.Veilhon-A.Ruiz

de Gà D : V.Munoz-R.Veilhon-A.Ruiz-D.Zamora-R.Munoz-G.Candela



n°3-H.Munoz-4.J.Vecina-5.R.Garcia- 6.A.Ruiz 13.MR.Munoz

R.Egea-D.Sanchez-Y.Martin.H.Liminana
Dessus:Barranco-F.Belzunces-C.Quesada

De G à D : X-H.Liminana-R.Egea-D.Sanchez-C.Quesada-X-X-F.Belzunces

de G à D: A.Barber - H.Liminana - A.Cortes - C.Quesada - D.Sanchez

de G à D Accroupis : J.Mendes - A.Barber - R.Guirado
Debout : R.Martinez - A.Borne - Y.Posada - C.Quesada - C.Labau


de g à D: B.Godoy-T.Melis-D.Garcia-C.Quesada-X-X-P.Paya-X
Bernadette GODOY Christian QUESADA Therese MELIS

Accroupis : R.Egea - F.Belzunces
Debout: D.Sanchez- H. Liminana -C.Sanchez -Martin

de G à D: H.Liminana-G.Baranco-C.Sanchez- D.Sanchez-R.Egea-F.Belzunces


R.Egea-D.Sanchez-Y.Martin-F.Belzunces-C.Sanchez-H.Liminana

Y.Martin-Mr Liminana-D.Sanchez-G.Barranco-F.Belzunces-C.Sanchez-R.Egea






R.Egea et A.Baeza

1-A.Barber 2-X 3-F.Belzunces 4-x 5-D.Sanchez 6-Y.Posada 7-R.Egea 8-H.Liminana

G.Baranco-D.Sanchez-A.Barber-R.Egea

deG à D: Accroupis R.Guirado-R.Egea-F.Belzunces-C.Labau
Debout: Y.Martin -G.Baranco-A.Barber-A.Gomez

de GàD: C.Sanchez- G.Baranco-R.Egea-Y.Martin -D.Sanchez-F.Belzunces

1-Y.Martin 2-G.Baranco 3-F.Belzunces 4-R.Guirado 5-R.Egea 6-D.Sanchez 7-A.Barber

C'est pas bon les sardines de là-bas



Y.Posada-X-F.Salas-Paquito

Y.Posada

de G à D :C.Garcia-F.Salas-X-C.Martinez-Y.Posada



Aimé Gomez et Hilaire Munoz


Jacqueline Vecina et Robert Garcia

accroupis: JP.Munoz-A.Cortes-C.Chaparteguy
Debout: J.Saplana-JP.Voglimacci-x-R.Sanchez-R.Perez

De G à D: JP.Munoz - C.Chaparteguy - AP.Perales - JP.Voglimacci - A.Mariller

N.Cuesta - JP.Voglimacci - A.Ruiz - P.Azorin

De G à D: R.Ollagnier - M.Guirado - G.Flypo - JP.Voglimacci

Nouvel an 1961

nouvel an 1961
AP.Perales-JP.Munoz-N.Cuesta-J.Saplana-JP.Voglimacci-S.Bousquiel-G.Castagnier-JM.Martin

nouvel an 1961
Chez Paul Azorin à la ferme

idem

JP.Voglimacci - JM.Martin - C.Chaparteguy

Chez Michel Soler au Clair Soleil

idem

idem

H.Bastida et JM. Martin

A.Garcia - MT.Flossot - M.Castagnier - F.Wagner et G.Mendes

J.Tramier - A.Macia - Rumiac - Neveut

JM.Martin - C.Chaparteguy - G.Castagnier - JP.Voglimacci - S.Flypo

Guy Castagnier - C.Chaparteguy - R.Perez devant le ber Martinez

au Bar Abadie "RICHELIEU"
de G à D: x - C.Chaparteguy - A.Ruiz - M.Castagnier - R.Perez - A.Garcia -R.Veilhon - A.Garcia

MR.Scala et F.Wagner

L.Mira et G.Gumiel


JP.Munoz - x -Mira - A.Munoz

H.Veilhon - J.Fernandez - A.Munoz

X-X-X-A.Munoz-J.Fernandez

1-x 2-JP.Munoz 3-Ramires 4-Hamon 5-JJ.Veilhon

A.Munoz - J.Fernandez - G.Lopez - V.Selva

H.Veihlon - J.Fernandez - A.Munoz - x
ide
Devant le ùmonument aux morts
R.Perez - JP.Voglimacci - A.Ruiz - JM.Martin


Départ pour un match au stade Fouques Duparc






1-JM.Martin 2-G.Castagnier 3-N.Cuesta 4-JJ.Veilhon 5-A.Munoz 6.C.Chaparteguy 7-JP.Munoz 8-M.Courtet 9-x
10-S.Flypo 11-H.Bastida 12-A.Ruiz 13-A.Cortes
-



-
1-R.Sarrio 2-Ferrer 3-X 4-J.Fernandez 5-S.Frances 6-G.Chaparteguy 7-F.Salas 8-Casquet

R.Ollagnioer-X-x-x-x-S.Frances


R.Cortes - G.Chaparteguy - R.Munoz - G.Flypo

L.Mira-X

A.Wiedrich - Ferrer - A.Froment - Casquet



accroupis : Ferrer - JM.Cara
debout : H.Munoz -X - Martinez-A.Escanez











JM.Cara-Martinez-Ferrer

G.Laroche-J.Sanchez-JM.Cara-Natero-X





V.Munoz





Jean Marie Cara

Forge Frances
Mr Frances - R.Sanchez - X

de G à D : L.Castagnier - G.Belzunces -J.Ramos - A.Prefume

de G à D : R.Miralles - g.Belzunces - V.Sanchez - G.Posada

Perez - R.Miralles -D.Quinto-P.Prefume -L.Castagnier

A.Garcia-X-X-F.Belzunces H.Placido.G.Belzunces-A.Prefume

Réunion du COS au bar Cortes

A.Prefume-R.Martinez-Mirailles-H.Placido-J.Dedios Garcia-A.Garcia-c-C.Fenandez-R.Martinez-E.Vautrin-X

1-G.Posada-2-X-3Narbonne-4-H.Placido-5-A.Préfume-6-P.Noguera9-C.Noguera17-Mme Noguera

R.Miralles -J.Dedios Garcia-M.Hernandez-A.Garcia

F.Belzunces-R.Egea-x-A.Garcia-J.Dedios-JP.Munoz-




Sanchez-M.Castagnier-E.Martinez-X-A.Martinez




Martinez-H.Castagnier
1-X-2-C.Tichadou 3-G.Coutelier 6-F.Prefume
H.Placido-C.Sanchez-F.Marais -Chabeau-M.Zaragoza-B.Steyer-H.Castagnier

L.Castagnier

Accroupis : R.Zamora-M.Zamora-A.Gay-JL.Zamora
debout: L.Castagnier-D.Zamora-H.Zamora-R.Castagnier-M.Castagnier-x-A.Castagnier

M.Castagnier-FMcara-JL.Cara

Mr et Mme Munoz
A.Munoz-V.Munoz-JPMunoz




R.Dureux

Mmes Posada et Azorin



Famille Tramier

Mrs Chaparteguy et Collet

D.Guy - A.Cortes - Chabeau
D.Guy


Callejon-F.Quesada

Noguera-Wiedrich-X

Mr Selva
Pendant la guerre
à gauche le marchand de poisson d'Oran et le 2° en partant de la droite Mr SELVA
La Sénia le 13 octobre 1962
debout de G à D: JP.Selva - Fifine Selva - G.Selva - René
Assis: Mr Selva - V.Selva - Mme Selva
A la base Danielle - V.Selva - C.Asnar - V.Selva
A l'aéroport de La Sénia
Debout avec les cdasquettes F.QUESADA et Mr SELVA
Accroupis : Mr ASNAR
L.Mira son père et son frère

A.Munoz-J.Munoz-JP.Munoz

J.Munoz

JP.Munoz-A.Munoz

Famille Munoz

Mrs Noguera-ayala-Chaparteguy


Mmes X-Lorente-Cara-X

Chaparteguy-M.Noguera

Famille Martinez
Mmes Ramos et Figueredo
Mrs Selva et Callejon
Sauveur,René,Hubert,Pierre Bastida et A Azorin
Les Scouts au cimetière
Dernier arret du Bouyouyou à La Sénia
on reconnait G.Posada - P.Natero - F.Quesada - Lopez - Pujol
E.Figueredo-Figueredo-P.Figueredo
Locataire de M et Mme LLORENS devant la villa
Gisèle Nigues et Jean Pierre Melis
Gisèle et Yvette Nigues
Jeanine et Gisèle Nigues
Jeanine,Gisèie,Christiane et Yvette Nigues
Mmes Borja et Nigues





Jojo Mendes dépose une gerbe aux monument aux morts

Isabelle Llorens
G.Scognamiglio et V.Selva
Partie de chasse
De g à d: x- A.Cortes - x- A.Escanez - Zimmer - x- p.Bastida
Bureau de vote
RETROUVAILLES
LES MUSICIENS
Christian QUESADA à la batterie
Jean FOILLIOT et Christian QUESADA
Christian QUESADA au Chant
en bas Mrs CUESTA et NOGUERA
Christian QUESADA à la batterie et Henri LIMINIANA aux Maracas
Christian QUESADA à la batterie
de gauche à Droite Au 3° rang N° 5 Frédou PAREJA N°9 Mimilo RUIZ et N° 11 Chrisyian QUESADA
Rang du Milieu N° Jean Jacques VEILHON N° 10 Marie Paule MACIA
Orchestre Louis NARBONE et JJ VEILHON à l'accordéon
VINASSAN
LE VILLAGE
A première vue, l’on jure par tous les Saints de la contrée, qu’il est impossible que l’on puisse être dans une commune qui se situe au bord de la mer. Dès que les « marécages » produits par les pluies sont séchés, c’est de facto la poussière qui s’installe, commençant à suffoquer les gens et cendrer le paysage. Pourtant, La Senia, la fameuse Senia de tous les temps, le poumon économique d’Oran, ne manque ni de moyens et ni d’argents pour qu’elle puisse s’éviter la regrettable situation où elle se trouve … La Senia, c’est l’université, c’est l’aéroport international, c’est encore mieux, la Zone industrielle, peut-être la plus grande de la région. Que s’est-il passé au fait ? Cette situation aurait pu être justifiée, si l’on est dans une de ces petites communes pauvres et fraîchement désenclavées, de l’Algérie profonde. Il y a certainement, quelque chose qui ne va pas dans cette piètre situation. Bien sûr, le suivi et le contrôle n’existent pas, pour que l’on puisse exiger des comptes aux responsables locaux, sur les comment et les pourquoi. L’autre revers de la médaille, c’est la société civile qui annonce solennellement son absence. Donc, juste ces deux facteurs, sont suffisamment capables de dégénérer vers un tel état. Ni les électeurs – citoyens, ni les responsables directs ou indirects, ne sont là, afin de demander des comptes à ces gens qui bouffent des budgets faramineux, pour qu’à la fin, l’on aille se trouver avec une Senia travestie en Kandahar. Finalement, l’on se contenterait de dire que, La commune ou la daïra de La Senia ne devrait absolument faire exception, du moment que ce sont les mêmes réflexes, les mêmes mentalités, les mêmes techniques clopinantes de gestion qui sévissent partout ..Je ne sais pas, au fait, ce qui va empêcher les autorités municipales à renforcer les moyens d’entretien de la ville. C’est quoi au juste, doter la ville d’un réseau d’évacuation des eaux pluviales. Pourquoi les citoyens de cette ville n’auraient pas d’autres choix, exceptés les flaques d’eaux qui « tapissent » la voirie pendant la saison des pluies et la poussière pendant les saisons sèches ? Je me suis évité de passer dans les autres quartiers populaires et populeux à l’instar du faubourg d’Ain El Beidha et autres…Alors là, c’est une autre paire de manches… Si ce n’est pas les véhicules qui y circulent visiblement, l’on pourrait jurer que l’on n’a pas encore rejoint le vingtième siècle. La Senia est une des plus riches communes du pays. Elle aura donc besoin d’apprécier cette richesse, se reflétant sur la «bonhomie» son paysage urbain …Et….et, c’est tout.
alkaderdz62@yahoo.fr
L'immeuble SELVA
L'école de garçons
Derrière Ecole de garcon
derrière ecole de garcon
Ecole de fille
Ecole de garçons
Ecole de filles
L'Escale Bar et le Cinéma
La rue principale en venant d'Oran
Le presbitère
La rue Principale au niveau de chez CORTES et RODENAS
La place de la Mairie
La place de l'église avec à gauche et à droite les 2 Kiosque Bernad et Margarita
Le Tramway qui traverse le village au niveau du presbitère
Le village nègre à gauche le Marché
Place de la Mairie
Station du tramway au niveau de l'épicerie Emelie
A gauche la maison AZORIN au fond l'immeuble SELVA
Rue principale,Avenue Guynemar,le Tramway à droite la maison surelevée exMaison RODENAS
Bar Cortes
devat la maison du curé et la cave des Lubrano
à droite en jaune la maison Azorin
Arret devant la maison du curé
Les travaux du tramway devant la maison Azorin
Bar ABADIE et au fond le kiosque Bernad et la mosquée (photo 2013)
Le Stade
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l'hydraulique
lhydraulique à proximité de la gare de La Sénia
au premier plan l'ancienne gare et vers la passerelle la nouvelle

































































































































































































































































































































































































































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