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MARIE ROSE MUNOZ épouse TORRES

Publié le par La Sénia

MARIE ROSE MUNOZ  épouse TORRES

Quand J P a créé ce blog,

 

 

Pour moi c’était une super idée, merci Jean-Paul,

 

 

On allait rester en contact avec les amis de la Sénia,

 

 

On allait décrire notre nostalgie de là-bas certes,

 

Evoquer les moments inoubliables de notre enfance et adolescence,

 

 

mais on allait surtout connaître, comment chacun de nous, à continué de vivre,

 

Combien de force et de courage, il a fallu déployer pour s’adapter à cette nouvelle vie que

 

 

l’on n’avait pas choisi et démontrer ainsi à tous de quoi nous étions capables (peut être notre

 

ciment hispanique pour la plupart, et notre soleil de la bas a su créer une catégorie

 

d’hommes et de femmes «rares») je plaisante mais je suis fière de ce que je suis et de ce

 

que nous sommes tous devenus,

 

 

La France ma apporté énormément de choses, et si je suis restée Pied-noir je suis bel et

 

bien Française, je l’ai prouvé en faisant du syndicalisme et de la politique pour plus de

 

justice et d’amitié entre les peuples.

 

 

Pourquoi dire tout cela maintenant après 58 ans en France, peut être le fait d’avoir eu 80 ans

 

en 2020 ce qui m’a contraint à faire défiler ma vie, elle fut par moments dramatique, et

 

cruelle, j’ai perdu 3 enfants sur 4, Dominique 13 ans née à La Sénia, Eric 45 ans, Joëlle 51

 

ans et Gaby, mon mari, parti lui aussi à 69 ans.

 

Je ne sais pas comment jai pu surmonter cela !!!

 

Je suis athée et j’ai souvent envié ceux et celles qui se réfugient dans la prière pour apaiser

 

leur douleur, moi j’ai eu ma famille et mes amis d’ici et de là-bas pour me réconforter dans

 

ces moments si douloureux et j’ai toujours pris plaisir à vous revoir chaque année au cours

 

de ces Week-end «Sénialais».

 

Les années passent vite, et ce blog est devenu seulement, à mon grand regret, un carnet de

 

deuils et de condoléances, faisons comme le dernier message de Robert Noguera,

 

alimentons le avec de la joie et du plaisir, (Robert tes mantécaos étaient super bons).

 

Alors les incontournables animateurs (J.Paul, Sylvain, Christian, et tous les autres) à vos

 

plumes, nous vous aiderons à poursuivre ce chemin sans fin jusqu’à La Sénia.

 

A TOUS LES SENIALAIS UNE BONNE ET MEILLEURE ANNEE 2021

 

Marie-Rose MUNOZ épouse TORRES

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Décès Ghislaine LAZARO épouse GUMIEL

Publié le par La Sénia

Décès Ghislaine LAZARO épouse GUMIEL

La Sénia, Lourmel

 

Monsieur Pierre LAZARO, son époux

Ses filles et petites filles

José, Lisange et Monique ses frère et soeurs

Et toute la famille,

Ont la douleur de vous faire part du décès de

Madame Ghislaine LAZARO née GUMIEL

survenu à l'âge de 74 ans le 23 Novembre 2020

 

REMERCIEMENTS

Mes chers amis(es),

Je tiens à vous remercier toutes et tous pour tous les messages de condoléances et de soutiens que vous m’avez adressés. C’est douloureux de se retrouver seul, si rapidement.

Bisous à toutes et tous.

 

Pierrot.

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OPERATION TORCHE

Publié le par La Sénia

Merci à Louis FOURNIER pour ces documents souvenirs

 

Eléments recueillis par Louis Fournier de Val-de-Virieu – Isère, auprès de Berthe, fiancée en 1940 de Pierre Sudan. Communiquée avec son aimable autorisation.

Pierre SUDAN, Pilote 8 novembre 1942

 

Berthe, habitait avec ses parents à Blandin, village en Isère, près de la famille Sudan. Elle se lia d’amitié avec leur fils, Pierre, ils tombèrent amoureux et se fiancèrent, Ils avaient vingt ans.

 

Pierre rêvait de devenir pilote d’aéronautique, il s’engagea dans l’Armée de l’air. Après sa formation de pilotage, il sera affecté dans l’escadron de chasse 1/7 à Salon-de-Provence, puis en 1941 en Syrie… Selon les clauses de l’Armistice de 1940, l’Armée de l’air dut être désarmée, et son matériel remis aux autorités allemandes. Des négociations permirent au gouvernement vichyste de conserver quelques forces aériennes en métropole, et plusieurs groupes pour défendre ses colonies, et également la Syrie et le Liban, ces derniers pays étant alors sous « mandat français ».

 

Entre Juin et Juillet 1941, afin de contrôler l’accès aux réserves de pétrole du Moyen-Orient, les Britanniques - aux côtés des Forces Françaises Libres de Gaulle -  attaqueront les troupes de Vichy en Syrie demeurées fidèles à ce qui leur semblaient alors, le seul gouvernement national légitime. Ces évènements conduiront des Français à tirer sur des Français dans une lutte fratricide Les pertes furent lourdes, 4500 morts de part et d’autre. C’est au sein de l’aviation loyaliste, que Pierre Sudan, obtiendra la Croix de Guerre et une citation pour ses combats aériens.  Après ces évènements, il reviendra en permission auprès de sa famille et de sa fiancée. C’est la dernière fois qu’ils se reverront. Pierre sera affecté au groupe de chasse 3/3 sur la base aérienne d’Oran la Sénia en Algérie, au sein de l’aviation de l’Etat français.

 

Le 8 novembre 1942, les troupes Alliées débarquèrent en Afrique du Nord, au cour de l’opération « Torch ». La prise de la ville d‘Alger se fit en une journée, il n’en fut pas de même pour le secteur de Oran, où la bataille fit rage. C’est durant ces évènements, que Pierre Sudan, sera abattu avec son appareil, un Dewoitine 520, par les avions américains. Sa famille ignorera le drame, les communications avec l’Algérie étant inexistantes, les avis de recherches formulées auprès de la Croix-rouge ne permirent pas d’avoir d’informations. Ce n’est qu’en Mai 1943 que la triste nouvelle parviendra à Berthe. La famille ne sera avisée officiellement du décès de leur fils qu’en Août 1943, et son corps sera restitué à ses parents le 27 février 1949.

 

Lettre envoyée par le maire de la commune de Valmy (Algérie) à sa fiancée Berthe, suite à sa demande de renseignement sur la disparition de son fiancé Pierre Sudan, pilote de guerre dans l’armée de l’air.

 

Mairie de Valmy

Mademoiselle,

J’ai assisté, ainsi qu’une grande partie de la population de Valmy, au combat livré par notre regretté aviateur contre plusieurs avions étrangers au-dessus même de notre village. Après un quart d’heure environ de combat, l’appareil de votre fiancé, en flammes descendait vers le sol et s’abattait à proximité du village. Toute la population se portait à son secours, mais malheureusement il était trop tard, le corps de notre aviateur se trouvait au milieu de son avion complètement brûlé. Les restes de votre fiancé furent d’abord recueillis avec soins dans un morceau de son parachute resté encore en état. Ils furent transportés, salle de la mairie où il fut aménagé une petite chapelle ardente et veillé par une grande partie des Valmyciens. L’inhumation eut lieu le lendemain dans l’après-midi en présence d’une délégation d’aviateurs de la Sénia et de tout Valmy. Ce sont aussi les amis de votre fiancé qui ont fait construire une jolie petite tombe au sergent-Chef Sudan qui repose en paix dans notre cimetière. La tombe est toujours entretenue par nos soins.   

Joseph Mercadier, Maire de Valmy, Algérie le 26 décembre 1944           

 

 

Eléments recueillis par Louis Fournier de Val-de-Virieu – Isère, auprès de Berthe, fiancée en 1940 de Pierre Sudan. Communiquée avec son aimable autorisation.

OPERATION TORCHE

OPERATION TORCHE

 

Copie lettre envoyée par le maire de la commune de Valmy (Algérie) à Berthe REZERR, suite à sa demande de renseignement sur la disparition de son fiancé Pierre SUDAN, pilote de guerre dans l’armée de l’air.

 

Mairie de Valmy

 

Valmy le 26 décembre 1944

 

Mademoiselle,

 

            Je me fais un devoir de répondre à votre lettre demandant des renseignements sur la mort glorieuse de votre fiancé Monsieur SUDAN Pierre Eugène Auguste sergent aviateur au groupe de chasse 3/3 tué au combat aérien le 8 novembre 1942.

 

            Je ne puis vous donner aucun renseignements sur la mission de votre fiancé, mais j’ai assisté moi-même, ainsi qu’une grande partie de la population de Valmy, au combat livré par notre regretté aviateur contre plusieurs avions étrangers au-dessus même de notre centre. Après un quart d’heure environ de combat, l’appareil de votre fiancé, en flammes descendait vers le sol et s’abattait à proximité du village.

 

            Toute la population se portait à son secours, mais malheureusement il était trop tard, le corps calciné de notre aviateur se trouvait au milieu de son avion complètement brûlé. Quelques petits objets personnels détruits par le feu furent remis sur-le-champ à deux officiers aviateurs venus de La base de la Sénia quelques instants après.

 

            Les restes de votre fiancé furent d’abord recueillis avec soins dans un morceau de son parachute resté encore en état.

 

            Ils furent transportés, salle de la mairie où immédiatement il fut aménagé une petite chapelle ardente et veillé par une grande partie des Valmyciens.

 

            L’inhumation eut lieu le lendemain dans l’après-midi en présence d’une délégation d’aviateurs de la Sénia et de tout Valmy.

           

            Ce sont aussi les amis de votre fiancé qui ont fait construire une jolie petite tombe au sergent Sudan qui repose en paix dans notre cimetière

 

            La tombe est toujours entretenue par nos soins

 

                                                                                 

                                                                                                          Le Maire

 

                                                                                                          Mercadie

OPERATION TORCHE

 

DEWOITINE 520 sur la base aéronavale de Tafaraoui près de Valmy

OPERATION TORCHE

DEWOITINE 520 sur la base aéronavale de Tafaraoui près de Valmy

OPERATION TORCHE

 

OPERATION TORCHE

 

OPERATION TORCHE

 

OPERATION TORCHE

 

OPERATION TORCHE

 

OPERATION TORCHE

 

OPERATION TORCHE

 

OPERATION TORCHE

Dégustation d'un Méchoui

OPERATION TORCHE

 

OPERATION TORCHE

 

OPERATION TORCHE

 

OPERATION TORCHE

 

OPERATION TORCHE

 

OPERATION TORCHE

 

OPERATION TORCHE

 

OPERATION TORCHE

 

OPERATION TORCHE

 

 

 

 

 

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Photo Jean Marie ALCARAZ

Publié le par La Sénia

 

 

Photo Jean Marie ALCARAZ

 

Cliquer sur la photo pour l'agrandir

Salut JP

Très touché par le décès de Guy, je me permets de transmettre une photo de ma famille en compagnie

de la famille Barber ; de grands amis de mes parents. On  aperçoit Guy à gauche en regardant la photo.

Si tu pouvais poster cette photo sur le site de La Sénia. Merci beaucoup

JM

Assise : au premier plan à gauche la sœur de ma mère, puis mon père, ma mère, mon frangin, André, moi , Mme Barber, ma frangine, leur fille ? et X, !!

Assise  à droite, la mère de M Barber ? puis M Barber et mon grand-père paternel

Merci JP

 

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Décès Guy BARBER

Publié le par La Sénia

SALEILLES. LA SENIA
Mme Nathalie BARBER, sa nièce et son époux ;
M. Christian CARNEROS ;
M. Franck BARBER, son neveu ;
leurs enfants, Céline, Cédric et Laura ;
parents, amis et alliés
ont la tristesse de faire part du décès de
Monsieur
Guy BARBER
survenu à l'âge de 83 ans.
La cérémonie civile aura lieu le lundi 26 octobre 2020, à 15 heures, au vieux cimetière de Saleilles.
Le défunt repose à la chambre funéraire Palotis-Siuda à Elne où des registres de condoléances sont à votre disposition.

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RASSEMBLEMENT DES SENIALAIS 2020

Publié le par La Sénia

Bonjour SENIALAIS

Les 12 et 13 Septembre nous devions nous rassembler pour la 26 ième fois

COVID 19 en a décidé autrement, mais ce n'est que partie remise.

Comme d'habitude

 SYLVAIN et JEAN PAUL

Avaient préparé 3 Diaporamas à projeter sur grand écran.

1- Mon Village du Sud

2-La Sénia de mes Amours

3-Retourner Là-Bas

Ci dessous les diaporamas

Nous serons ensemble par la pensée.

Avec toute mon AMITIE

JEAN PAUL

 

Mon village du SUD

 

La Sénia de nos Amours

 

Retourner là-Bas

 

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Décès Jojo RAMOS

Publié le par La Sénia

Décès Jojo RAMOS

Je viens vous faire part du décès de mon oncle Jojo Ramos. 
Il est décédé vendredi 18 Septembre 2020 à Hyères (Var)
 
La cérémonie aura lieu à Cuers (Var)  à 17h au crématorium le jeudi 24 Septembre.
Il avait 88 ans, sa bonne humeur et son rire vont nous manquer. 
Il laisse sa femme Fernande et ses 2 filles Jocelyne Ramos et Colette Solmon
 
L'an dernier, ils avaient eu l'immense chagrin de perdre leur fils Norbert, sûrement qu'un grand chagrin laisse des traces indélébiles dans le coeur des parents et aussi de ses soeurs.

 

Mes 2 soeurs Anne-Marie et Ghislaine se joignent à moi dans leur chagrin.
Herminie Bastida Langlamet
 
REMERCIEMENTS

Votre affection et votre soutien ont été d'un grand réconfort pour moi et ma famille dans ces moments difficiles. Nous vous en remercions sincèrement.

Fernande Ramos.

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Décès Jean Marie CARA

Publié le par La Sénia

Décès Jean Marie CARA

 

Eric, Patricia, Valerie ses enfants

Jacqueline et Robert ses soeur et frère

Les familles CARA et MARTIN

Ont la douleur de vous faire part du décès de

Jean Marie CARA

à l'age de 83 ans

Les obsèques auront lieu le Jeudi 13 Aout 2020 à 9h30 

à l'église de BELLEGARDE ( 30 )

 

REMERCIEMENTS

Décès Jean Marie CARA

 

Nous sommes profondément touchés par la sympathie et l'amitié que vous nous avez témoignée à la suite du décès de Papa.

Nous vous remercions sincèrement et vous présentons toute notre reconnaissance.

Papa se faisait toujours une joie de vous revoir lors des rassemblements des Sénialais.

Eric, Patricia et Valérie CARA

et toute la Famille.

 

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Décès Pascal FERRER

Publié le par La Sénia

 

 

Isabelle BROTONS nous informe du décès de notre ami

Pascal FERRER

à NICE le 30 Juillet 2020

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Décès RUIZ Emile ( Mimilo)

Publié le par La Sénia

Décès RUIZ Emile ( Mimilo)

Michelle RUIZ,

Nous fait part du décès de son frère Mimilo ce matin à 6h.

 

REMERCIEMENTS

Pour votre soutien affectueux en cette période douloureuse
Pour votre sympathie spontanément exprimée,
Pour vos prières
Michelle RUIZ et toute la famille
Vous adressent leur sincères remerciements

 

 

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Décès AGNES Maurice époux de Claudine GARCIA

Publié le par La Sénia

 

André (Dédou ) GARCIA vous fait part du décès de son beau frère

LA SENIA,PERTUIS


Les familles AGNES, BOSSA, GARCIA et DE LA CROIX,
ont la douleur de vous faire part du décès de
M. Maurice AGNES
Ancien combattant
décédé le 7 mai 2020
à l'âge de 89ans.
La cérémonie religieuse aura lieu
mercredi 13 mai 2020,
à 10h30
en l'église de Pertuis, suivie
de l'inhumation au cimetière
de la commune.

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Jean Michel GUIRADO

Publié le par La Sénia

Ma mini-thèse sur fond de notre Pied-noiritude

Jean Michel GUIRADO

 Jean Michel GUIRADO Fils de notre ami Sénialais Michel GUIRADO

Agrandir et faire défiler avec la molette de la souris

 

Article paru dans la revue de Janvier Février 2021

Jean Michel GUIRADO

Lettre d’un enfant de Pieds-Noirs à la génération d’avant 1962

Notre histoire de Français d’Algérie est venue me chercher en avril 2019, chez moi aux Pays-Bas où je me suis expatrié depuis 20 ans . Né en 1965, enfant et petit-enfant de Français d’Algérie depuis plusieurs générations, je viens d’être rattrapé par mes racines, de façon inattendue.

Mars 2019 : mes parents sont en visite à la maison. A plus de 70 ans, ils trouvent encore le courage  de faire dix heures de route pour aller voir leur quatre petits-enfants, leur belle-fille Hollandaise et leur fils éloigné. C’était la semaine du 26 mars, anniversaire d’un évènement effroyable que j’allais découvrir très tard et en être durablement affecté.

Papa, assis dans le salon avec maman, reçoit sur sa tablette un courriel d’un ami de son enfance passée à la Sénia, comme vous le savez à quelques kilomètres au sud d’Oran. Dans ce courriel, il y a un lien vers un documentaire. Mon père ouvre le lien sur sa tablette et commence à regarder. Depuis la cuisine, je ne tarde à entendre ses exclamations que je lui reconnais lorsqu’il s’enthousiasme. Ayant fini ce que je devais faire, je m’approche, curieux et je commence à regarder par-dessus son épaule ce documentaire fait de films personnels divers, décrivant la vie quotidienne des gens de là-bas, montrant d’abord des vies simples et heureuses, faites de pique-nique à la paëlla, de longues tablées, de siestes à la plage, et d’autres scènes qui rendent le quotidien de ces familles tellement proche. Je retrouve l’ambiance de mon enfance. Je propose à mes parents d’ouvrir ce film sur la grande télé du salon et je m’installe avec eux.

Le documentaire m’emporte. Pendant plus d’une heure, je plonge dans le vécu de mes parents, dans leur Algérie, mais aussi dans la vie des autres Pieds-Noirs. Depuis tout petit, j’avais écouté pendant les réunions de famille les histoires et les anecdotes de leur vie là-bas. Et ces réunions, c’était chaque samedi et chaque dimanche chez l’un ou chez l’autre, ayant eu dans notre malheur la chance exceptionnelle de s’être retrouvés entre oncles, tantes et grands-parents dans la même ville en France à partir de 1965. Le passé était présent à chaque retrouvaille. Je connaissais leur Algérie à travers leurs récits. Etant de très modestes gens, ils n’avaient que très peu visité d’autres endroits que la Sénia, Perrégaux, Oran, Mostaganem et Mers-el-Kébir. Etant enfant, j’avais ressenti combien ils ont aimé ce pays et combien le déchirement fut profond. Avec ma naïve curiosité d’enfant, j’ai souvent demandé à mon père: « Papa, et si on y allait pour que je voie là où vous avez habité ? ». Il me répondait soit par un « ce n’est plus pareil », soit par un silence.

Des dizaines d’années passèrent ensuite pour moi, m’efforçant de changer le cours des choses pour ma propre vie : ne pas subir, mais vivre au lieu de survivre. Pourtant il y avait toujours ce mal-être. Par exemple, et sans comprendre pourquoi, je ne me suis jamais senti chez moi ni en France, ni aux Pays-Bas ni ailleurs. Sauf en Andalousie, là d’où viennent presque tous mes ancêtres, comme je devais le découvrir plus tard. Je reste étonné par la force des racines et leur pérennité.

Le documentaire retrace ensuite comment ces gens ont vécu la guerre : les drames en crescendo jusqu’au départ. L’exode n’était même pas la fin des drames, mais le début de nouveaux, dans cette France qu’ils ont tant idéalisée. Ainsi, qu’il soit bien réel ou ressenti seulement, le rejet par « la mère Patrie » de ses enfants d’Algérie aura d’autant plus d’impact sur eux. Je me rends compte aussi que cette histoire est bien plus grande que celle de notre famille. Ce qui s’est passé pendant ces huit années – et après – est gigantesque et affecte de façon dramatique au moins trois peuples : les Algériens, les Français de métropole et les Pieds-Noirs. Je commence à prendre la mesure de ce que ma famille a vécu, traumatisme après traumatisme, là-bas et ici. 

Ce soir-là, d’un coup, à l’heure du coucher, une douleur me prend au ventre et à l’âme. J’étais en pleine tempête émotionnelle. Tout se mélangeait : le sentiment d’injustice, la colère, l’enthousiasme de retrouver les ambiances, l’incompréhension face à cette accumulation de drames… Je ressens un arrachement dans mes tripes. C’était comme si j’avais retrouvé ma vie et que je la perdais immédiatement. Une douleur intense, insupportable. Je ne savais pas encore que je venais de rejoindre la foule de nombreux autres enfants de Pieds-Noirs qui ont le sentiment d’avoir perdu leur pays, comme dit Paul Souleyre. Je venais de me réconcilier avec mes origines. Cela a déclenché pour moi la recherche de tout ce qui a formé notre famille.

Pendant plusieurs mois ensuite je me suis jeté sur tous les films, photos et vidéos que j’ai pu trouver sur cette époque-là et mes origines. J’appelle Papa tous les jours, j’appelle son ami d’enfance, je contacte d’autres membres de la famille, je commande les livres d’Hubert Ripoll, je m’abonne à L’Echo de l’Oranie. J’étais tellement absorbé qu’un soir au dîner, je me sens le devoir de m’excuser auprès de ma femme et mes enfants pour passer autant de temps dans cette histoire. Je leur explique tant bien que mal ce qui m’arrive. Chose surprenante, pendant mon explication, je leur parle des Pieds-Noirs comme étant « mon peuple ». Et j’en ressens de la fierté. Plus qu’une révélation, c’est une délivrance.

Ensuite les pièces du puzzle se mettent en place. Coup de chance : je suis à ce moment-là en pleine formation pour devenir coach praticien. Je peux partager avec mes superviseurs ce que je suis en train de vivre. Ils m’encouragent dans ce processus. J’en fais même le thème de mon mémoire que  j’ai appelé « le processus d’intégration culturelle personnelle ». J’y décris entre autres comment une personne est amenée à se déconnecter de ses racines culturelles, comment se déclenche une reconnexion à la culture d’origine, quelles en sont les étapes et les bénéfices. J’y décris aussi comment accompagner en tant que coach quelqu’un qui passe par ces étapes. J’en profite au passage pour « faire de la pub » : je montre la dignité de ce peuple qui est resté debout malgré tout, avec ses valeurs dont nous pouvons être fiers. Comme résultat, les évaluateurs me donnent une excellente note et m’encouragent à publier. J’y songe…

A travers tout cela, j’ai compris une chose qui est essentielle entre nos générations: la transmission de l’identité. Le mal-être dont souffrent beaucoup d’enfants de Pieds-Noirs prend sa source dans une confusion de l’identité. Sommes-nous des Pieds-Noirs ? Sommes-nous des « Patos » ? La position entre-deux de ma génération a été pour le moins néfaste. Je le constate constamment quand je coache des personnes : quand l’identité n’est pas claire ou pas solidement ancrée, des troubles s’ensuivent qui ne sont pas toujours visibles. Heureusement, beaucoup de Pieds-Noirs et leurs enfants se sont très bien intégrés dans la communauté française et ne présentent pas – du moins pas visiblement – de troubles particuliers qui pourraient être liés à un déracinement. Mais ce n’est pas le cas de nous tous. Selon les types de personnalité, les effets négatifs prennent diverses formes extérieures. Pour en citer deux parmi celles que j’ai moi-même rencontrées, il y a d’abord une agitation intérieure, un sentiment persistant de non-appartenance. Par exemple, certains enfants de Pieds-Noirs ont reproduit volontairement l’exil. Ils ont choisi comme moi à un moment donné de quitter la France et de s’installer dans un autre pays. Ce n’est en soi pas un problème, sauf quand le motif sous-jacent est un trouble qui va perdurer. De même on constate une distanciation, un désintérêt vis-à-vis de l’environnement immédiat qui se traduit par une vie sociale pauvre et peu d’enthousiasme pour un engagement local. C’est un effet contre-nature si l’on considère notre instinct grégaire. Il y a d’autres effets que je ne peux développer ici, et qui ont un impact sur les différents aspects notre être intérieur. 

Mais l’impact le plus dramatique est le rejet de soi. En tant qu’enfant, sans pouvoir l’exprimer, j’avais très bien compris que je devais cacher mes racines si je ne voulais pas être rejeté, et que je devais faire ma vie dans une société qui a rejeté les miens. « Ne pas se faire remarquer » comme nos parents nous l’ont souvent répété. Cela revient à me couper de mes racines. Ce faisant, je me rejette moi-même. Je répète sans le savoir le mal qui ronge les Pieds-Noirs : le rejet. Cela nous poursuit depuis les années 50 : rejet par le pouvoir de l’époque, rejet par les « indigènes » en Algérie, rejet par l’armée française, rejet par les français de métropoles, rejet de nos racines par la plupart des enfants de Pieds-Noirs. Alors si en plus vous nous dites que nous ne sommes pas Pieds-Noirs !… Nous sommes faits pour appartenir à un peuple et à une terre. Vivre dans le rejet n’est pas vivre. Tout cela ressort à un moment ou un autre, sous formes diverses, quelques fois dramatiques : dépression, surmenage, etc. « Pourquoi devrais-je m’investir dans une communauté ou sur une terre qui n’est pas la mienne ? » Je suis moi-même passé par une grosse crise personnelle. Quand je me suis aperçu de ce problème de rejet, J’ai dû faire un effort conscient pour m’en débarrasser.

Mais il y a de l’espoir et c’est le but de mon article. Surtout pour ma génération. Je suis la preuve que c’est possible. De la même façon qu’une déconnection entraîne une série de conséquences négatives, un retour à ses racines d’origine apporte à l’inverse un incroyable renouveau : gratitude envers les valeurs héritées et appropriation, (re)découverte de l’identité personnelle, renforcement des relations, clarté des objectifs, enthousiasme pour entreprendre… Rien que le sentiment d’appartenance libère une énergie énorme.

Nous avons besoin les uns des autres. Vous n’avez pas tout perdu : vous nous avez, nous, vos enfants.

Jean Michel GUIRADO

 

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DOCUMENTS

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DISPARUS D'ALGERIE

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EXPRESSIONS DE CHEZ NOUS

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JULIEN SANCHEZ

Publié le par La Sénia

Quelques nouvelles de notre ami Sénialais

Julien SANCHEZ

Après avoir quitté VIAS ou il était loin de sa famille, Julien s'est installé et coule des jours heureux à la Résidence Séniors

  " LE RONQUET" à SORGUES

JULIEN SANCHEZ

JULIEN SANCHEZ

JULIEN SANCHEZ

 

La course cycliste " PARIS NICE " faisant étape à SORGUES le 13 Mars 2020

La direction du foyer logement a fêté l'évènement en faisant une exposition dans le hall du foyer.

Notre ami Julien s'est proposé pour confectionner un vélo de course avec les moyens du bord (tubes en cartons et divers objets récupérés par-ci par-là) et voilà le résultat.

JULIEN SANCHEZ

JULIEN SANCHEZ

JULIEN SANCHEZ

JULIEN SANCHEZ

JULIEN SANCHEZ

Toutes nos félicitations à notre ami

 

Merci à tous les amis(ies) de La Sénia, à notre beau village perdu et à Jean Paul pour Son savoir faire sur la senia  

Merci à tous pour vos commentaires sur cet article

bisou a tous les sénialais et sénialaises

JULIEN

 

 

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ECHO D'ORAN - Le Cyclisme

Publié le par La Sénia

ECHO D'ORAN - Le Cyclisme

ECHO D'ORAN - Le Cyclisme

ECHO D'ORAN - Le Cyclisme

 

ECHO D'ORAN - Le Cyclisme

 

ECHO D'ORAN - Le Cyclisme

ECHO D'ORAN - Le Cyclisme

ECHO D'ORAN - Le Cyclisme

ECHO D'ORAN - Le Cyclisme

ECHO D'ORAN - Le Cyclisme

ECHO D'ORAN - Le Cyclisme

ECHO D'ORAN - Le Cyclisme

ECHO D'ORAN - Le Cyclisme

ECHO D'ORAN - Le Cyclisme

ECHO D'ORAN - Le Cyclisme

ECHO D'ORAN - Le Cyclisme

ECHO D'ORAN - Le Cyclisme

ECHO D'ORAN - Le Cyclisme

ECHO D'ORAN - Le Cyclisme

ECHO D'ORAN - Le Cyclisme

ECHO D'ORAN - Le Cyclisme

ECHO D'ORAN - Le Cyclisme

ECHO D'ORAN - Le Cyclisme

ECHO D'ORAN - Le Cyclisme

ECHO D'ORAN - Le Cyclisme

ECHO D'ORAN - Le Cyclisme

ECHO D'ORAN - Le Cyclisme

ECHO D'ORAN - Le Cyclisme

 

ECHO D'ORAN - Le Cyclisme

ECHO D'ORAN - Le Cyclisme

ECHO D'ORAN - Le Cyclisme

ECHO D'ORAN - Le Cyclisme

ECHO D'ORAN - Le Cyclisme

ECHO D'ORAN - Le Cyclisme

ECHO D'ORAN - Le Cyclisme

ECHO D'ORAN - Le Cyclisme

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SA PASSION SES RECHERCHES

Publié le par La Sénia

La Sénia

Il était une fois, dans un pays appelé Algérie, aux environs d’une ville, Oran, anciennement occupée par les Espagnols, une plaine où poussaient des palmiers nains et des touffes d’herbes qui nourrissaient les troupeaux avec beaucoup de difficulté.
Ces terres appartenaient à des membres d’une tribu d’indigènes appelée « les Smélas ». Le nom de cette plaine était La Sénia, sans doute à cause d’une fontaine ou un puits qui se trouvait là.

 

En juin 1830, une peuplade venue d’un pays situé de l’autre côté de la Méditerranée, fait la guerre aux indigènes et occupe tout le pays.
Dans ces environs d’Oran, une section du 56èmeRégiment de Ligne, composée d’un lieutenant, d’un caporal et d’une quinzaine de soldats, s’y installe pour travailler la terre, de 1841 à 1843.
La proximité de la ville fait que des colons, qui ont suivi les armées s’intéressent à ces terres, et bientôt les autorités civiles décident d’installer des centres de population à La Sénia, Miserghin et Dar Beïda, pour commencer la colonisation.
A la Sénia, après avoir indemnisé les militaires pour ce qu’ils abandonnaient, d’une valeur estimée à 1 800 francs, les autorités civiles, responsables de la colonisation, achètent les terres aux Smélas pour une valeur de 2 500 francs, par un acte d’achat du 14 novembre 1844.
Un emplacement est réservé aux habitations qui formeront le village tandis que les terres seront partagées en 48 lots, nombre de maisons à bâtir au village lui-même.
Certains colons, plus pressés, prennent possession de certains lots et mettent l’Administration devant le fait accompli, avec l’approbation du Sous Directeur de l’Intérieur d’Oran, (qui correspondrait au poste de Préfet), qui interprète à sa façon les directives du général Bugeaud, Gouverneur Général de l’Algérie.
Ce Sous Directeur, Berthier de Sauvigny, en fait le véritable créateur du village, distribue les 48 lots le 16 novembre 1843.
Et comme il se trouve encore des amateurs pour les concessions, il distribue, de sa propre initiative, une vingtaine de lots supplémentaires de 2 hectares, dans un périmètre compris au nord du village, entre le blockhaus de Sidi Chabaan et le Ravin rouge. (là, je fais appel à la mémoire des plus anciens –mes oncles Joséico et Salvador n’ont pas pu me donner de précisions- pour savoir à quoi correspondent ces deux points qui délimitent, en 1843, la surface de 600 hectares qui deviendra la commune de La Sénia).
Cela va lui causer quelques problèmes avec son supérieur hiérarchique et le Directeur des Finances, mais il s’en sortira grâce à ses relations.
Mais, dans sa séance du 16 août 1844, le Conseil d’Administration adopte, à l’unanimité et définitivement, la création du centre de population de La Sénia.
Et voilà l’existence du village reconnue avec l’approbation réticente des autorités. Réticente car cette création a été faite trop rapidement selon les critères de l’Administration.
Des titres de concessions provisoires sont délivrés aux colons sous conditions : bâtir une maison en dur, travailler les terres qu’ils ont reçu, faire un fossé de chaque côté de la route allant à Oran et la border d’arbres.
Les premiers titres définitifs sont délivrés en juin 1847, après avoir remplacé les possesseurs de concessions provisoires qui ne remplissaient pas les conditions imposées.
A cette époque, le village se présente sous une forme de parallélogramme de 345 m de long pour 190 m de large. La route qui partage le village a 15 m de large et les places, 50 m de large. Chaque lot à bâtir occupe une surface de 600 m2.
En 1852, le village est nivelé et au centre, dans l’alignement de la route, on a construit un puits et un abreuvoir.
Le 22 juin 1861, dans la séance du conseil municipal, présidée par le maire MrMarion, une commission syndicale va être créée pour séparer La Sénia d’Oran, dont elle n’est, jusque là, qu’une annexe.
Fin 1861, La Sénia devient une commune à part entière. (je regrette de ne pas avoir pu trouver le nom du premier maire du village).
L’église Saint Félix est bâtie en 1860, mais aucun presbytère n’est prévu à ce moment là, et lors de son inauguration, il faut loger le curé dans une maison louée à MmeVveRosas. Maison que la commune achètera pour 10 000 francs au début des années 1900.
Voilà, en gros, les grandes lignes de la création de La Sénia, et de ses premiers pas. Si les premiers habitants portaient des noms français, rapidement les noms espagnols son venus les remplacer et c’est pourquoi, nous savons tous comprendre, sinon le parler, l’espagnol, le vrai, celui de chez nous.
 

 

un peu d 'histoire

 
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Antoinette Prieto à Pieds-Noirs d'ORAN , d'ORANIE , enfants et amis
Oran , Misserghin , plaine des Andalouses 1873
La distance entre Alger et Oran, par le chemin de fer, est de 420 kilomètres qu'on parcourt en 17 heures.
Les énormes cactus qui hérissent les abords du château neuf et le beau palmier du jardin de la Préfecture donnent en effet à Oran un caractère plus africain. Située au fond d'une baie, la ville s'élève sur les deux côtés d'un ravin qui en forment le centre; des hauteurs fortifiées la dominent. Une jolie promenade disposée avec hardiesse, et presque à pic, sur les bords de la mer à deux pas du théâtre –Bastrana- offre une grande ressource à la société oranaise.
Ce qui domine dans la ville, ce qui saisit dès qu'on y entre, ce qui reste dans les mémoires comme trait essentiel de sa physionomie après un certain séjour c'est : - Le mouvement commercial, - le développement de l'activité pratique dans tous les sens, - la fièvre des affaires.
Au point de vue de l'économiste Oran rivalise avec Alger et tend à le dépasser. Le nombre de navires qui chargent et déchargent dans le port augmente de jour en jour, les maisons de commerce se multiplient et s'agrandissent, les constructions s'étendent, les faubourgs deviennent partie intégrante de la cité.
La population en 1860 était de 26.910 habitants, en 1872 elle s'est élevée au chiffre de 40.015 : C'est un accroissement de quarante-huit pour cent ; elle doublera en 25 ans si la même proportion se maintient. Ce résultat est dû en grande partie au voisinage de l'Espagne si cruellement déchirée par la guerre civile. L'élément français ne représente qu'un dixième de la population totale (10.043 habitants) ; l'importance de l'élément espagnol est bien supérieure (16.064 habitants). Après les Espagnols et les Français viennent les Israélites naturalisés par le décret Crémieux de 1870 (6.622) puis les Musulmans (4.181), les Italiens (989) et les étrangers appartenant à diverses nationalités (1116).
On peut regretter que les Français moins habitués aux climats chauds, plus casaniers et moins mécontents de leur sort se laissent devancer par les Espagnols ; mais l'accroissement rapide de la population quelle que soit l'origine des immigrants n'en est pas moins un symptôme de prospérité ; elle met en évidence les ressources de notre colonie car ce sont ces ressources qui attirent et retiennent les étrangers.
Oran a deux ports, un de commerce qui touche la ville et un port de guerre qui en est distant de huit kilomètres. Ce dernier s'appelle Mers-El-Kébir. Pour s'y rendre, on se dirige vers le Nord-Ouest, on contourne la montagne de Santa Cruz par une route taillée dans le roc puis on longe la plage laissant sur la gauche les jolis villages de Sainte Clotilde et de Saint André. Mers-El-Kébir est adossé aux falaises d'un petit promontoire qui précède le cap Falcon.
En face, de l'autre côté de la baie se dresse le djebel khar ou montagne des lions.
Au retour, on peut prendre sur la droite près du village de Sainte Clotilde un sentier escarpé qui conduit, après une heure d'ascension, au fort de Santa Cruz. On monte au milieu de plantes fleuries et de buissons épineux ; peu à peu la route d'en bas et la grève disparaissent : On est comme suspendu au-dessus de la mer qui semble tout à la fois se rapprocher et s'étendre ; Une brèche naturelle ouverte entre deux massifs de rochers marque le sommet ; quelques pas encore et l'on découvre la ville d'Oran qui se replie sur elle-même au fond d'un creux et dans le lointain, à l'Orient, au bout d'une longue ligne de falaises qui s'empourprent au coucher du soleil, la montagne aux lions assise sur sa large base, revêtue sur ses flancs des nuances : - les plus délicates, - les plus douces, - les plus caressantes. On redescend par un bois de pins superbes le long de ravins où croissent, à l'abri du vent, des arbres à fruits et des plantes alimentaires de toutes sortes.
La richesse du sol des environs d'Oran est merveilleuse ; l'eau manque souvent à la surface mais on la trouve sans trop de peine à une certaine profondeur et on la fait monter au moyen de norias.
Les Beys d'Oran avaient autrefois une jolie résidence d'été dans un endroit appelé Misserghin à quinze kilomètres d'Oran sur la route de Tlemcen. Le Gouvernement français établit d'abord un camp ; puis en 1842 il transforma en pépinière le jardin de la villa mauresque ; enfin en 1851 il céda la pépinière et ses dépendances au Père Abraham pour la fondation d'un orphelinat. Cet orphelinat est très bien tenu et habilement dirigé ; il contenait quand je l'ai visité cent trente garçons mais l'installation actuelle comporterait un nombre plus considérable. La plupart des pensionnaires sont indigènes. Quelques-uns uns ont été recueillis parmi les Arabes dans des circonstances vraiment tragiques à la suite de l'horrible disette qui décima les tribus en 1867. Toutes les conditions d'hygiène sont réunies dans cet établissement : - propreté des bâtiments, - voisinage des arbres, - cours spacieuses, - pureté de l'air et de l'eau. - Aussi les enfants ont une mine excellente ; leur physionomie vive et gaie fait plaisir à voir.
L'emploi du temps est réglé de façon très convenable : Trois heures d'école, huit heures de travaux manuels qui ne sont pas tous agricoles : Il y a des ateliers : - de forgerons, - de charrons, - de menuisiers, - de tanneurs, - de cordonniers, - de confectionneurs d'habits et - d'autres encore.
Un asile de vieillards est annexé à l'orphelinat de garçons. Un peu plus loin des sœurs tiennent un orphelinat de filles et un asile pour les femmes parvenues à l'extrême vieillesse. L'ancienne pépinière a été conservée, perfectionnée, agrandie Des milliers de plantes sont vendues chaque année ; le verger et le potager produisent des fruits et des légumes superbes qui alimentent le marché d'Oran. Les orangers et les citronniers cultivés principalement pour leurs fleurs sont distillés sur place, croissent avec une vigueur peu commune. - De beaux platanes, - des thuyas, - quelques palmiers récemment plantés, - des eucalyptus succèdent ou se mêlent - aux orangers et - aux citronniers. - Les vignes couvrent plusieurs hectares et donnent de bonnes récoltes.
La plaine des Andalouses s'étend au nord de Misserghin de l'autre côté du djebel Murdjadjo sur une longueur de douze à quinze kilomètres; elle décrit un demi-cercle autour d'une baie comprise entre le cap Falcon et le cap Lindlès.
Deux communes y ont été constituées depuis l'occupation française, celle d'Aïn-el-Turk au Nord Est et celle de Bousfer au Nord-Ouest ; ces communes comprennent aujourd'hui une population de 3.600 habitants parmi lesquels se trouve environ un millier d'Européens ; une route d'une vingtaine de kilomètres carrossable quoique bien rude et bien étroite met Bousfer et Aïn el Turk en communication avec Oran.
Je fis, avec un jeune officier d'artillerie avec qui j'avais lié connaissance, la route à cheval ; nous suivîmes jusqu'à Saint-André la route de Mers El Kébir ; là on quitte la plage et l'on commence à s'élever sur les hauteurs du djebel Murdjadjo. La montagne qu'on traverse est aride et dépouillée d'arbres. A la descente on retrouve la mer qu'on avait perdue de vue pendant quelque temps. Une corniche sinueuse bordée d'aloès en guise de parapet vous porte en bas et alors on peut galoper à l'aise le long des champs qui se déroulent au loin, couverts de magnifiques céréales.
La ferme où nous étions attendus se trouvait à l'extrémité occidentale de la plaine des Andalouses ; le propriétaire nous fit visiter une partie de son domaine (qui appartenait autrefois à une compagnie d'actionnaires dissoute). Il se compose de trois mille hectares distribués de la manière la plus heureuse, situé sur les deux versants d'une montagne peu élevée et en rase campagne le long d'une plage de sable fin. L'abondance des eaux qui descendent de la montagne permet d'irriguer la plaine sans norias ; la plage accessible aux petites barques qu'on appelle balancelles facilite le transport des Andalouses à Oran.
La région montagneuse est coupée par des ravins où se plaisent les légumes et les arbres fruitiers ; dans ses parties les plus incultes elles forment des plantes textiles et de l'herbe pour les bestiaux. Quant à la région plate, cultivée par des travailleurs espagnols, je ne saurais mieux faire pour donner une idée de sa fertilité que de la comparer à la fameuse vallée de Grenade. La hauteur et la vigueur des blés et des avoines que le vent faisait onduler promettaient déjà d'opulentes moissons bien que le mois d'avril fut à peine commencé ; on sentait qu'il suffirait d'un petit nombre de semaines pour achever de les mûrir. Au milieu de ces vastes champs un palmier isolé s'élève et sert de point de repère. La maison d'habitation est construite sur les ruines encore visibles d'une villa antique ; une allée de bananiers la protège contre les ardeurs excessives du soleil et conduit au bord de la mer. Le domaine des andalouses, trop étendu pour un seul homme, se morcellera tôt ou tard; entièrement défriché il pourra donner l'aisance à quelques centaines de familles laborieuses.
L'Algérie : Impressions de voyage (17 mars - 4 juin 1873), Jean Jules Clamageran, Docteur en droit, ancien adjoint au maire à la mairie de Paris, membre de la société d'économie politique. Edition en 1874.
 
 

PREMIERES NAISSANCES A LA SENIA

 

02-02-1845 : Léon, fils de Jacques Castans

19-09-1845 : Antoine Maurice Béranger, fils de Bartélémy et de Thérèse Colonel

13-02-1846 : Jean Baptiste, fils de Jean Baptiste Delblonde et de Marie Gance.

06-03-1846 : Joseph Marie, fils de Laurent Thenel et de Marie Salomé Schilk

01-05-1846 : Francisco, fils de Diégo Perez et de Josepha Jimenez

04-05-1846 : Philippe Antoine Joseph, fils de Joseph Lledo et de Pepa Morolé

22-05-1846 : Ascencion Ange, fille de Joseph Blasco et de Bernarda Candela

10-06-1846 : Marie Louise, fille de Pierre Maillère et de Suzanne Charcy

26-06-1846 : Louis François, fils de Jules Ribet et de Annette (Léger ?)

19-08-1846 : Bartélémy Joseph, fils de Jean Medina et de Maria Ouecha

07-09-1846 : Jouanne, fille de Bartélémy Parodi et de Marie Dotte

07-09-1846 : Joseph, fils de Marcel Parodi et de Marie Bayard

16-09-1846 : Pedro, fils de Romero Olivo et de Joachina Ydiagregave ?

21-09-1846 : Léon Victor, fils de Jacques Cathary et de Marguerite Nouaille

09-11-1846 : Marie, fille de André Brujeau et de Schikina Barabina (origine génoise)

10-11-1846 : Catherine, fille de André Brujeau et de Schikina Barabina.

19-12-1846 : Louis Auguste, fils de Michel Olivero (italien) et de Marguerite Raviteli (italienne)

PREMIERS MARIAGES A LA SENIA

13-02-1846 : Jacques Cathary avec Marguerite Nouaille,

06-12-1846 : François Moreau avec Rose Marie Françoise Malet

30-03-1847 : Jean Nicolas Webert avec Marie Célestine Poirod

23-06-1847 : Mariano Victor Gomez avec Josefa Navarro

16-08-1847 : André Cyril Louis Marie Taurel avec Fernanda Josepha Maria Gonazlez

18-10-1847 : Antoine Louis avec Jeanne Bonifart

18-10-1847 : Louis Vermiller avec Marie Anne Blanc.

13-12-1848 : Jean Baptiste Guillem avec Marie Bécaud.

20-01-1849 : Gonzalez Francisco avec Rafaela Campillo

22-02-1849 : Gomez Antonio avec Bordonabe Barbara

24-05-1849 : Alonzo Manuel avec Lafuente Juana

28-07-1849 : De Buck Edouard avec Marie Hélène Nuger Passade.

12-11-1849 : Fayolle Joseph avec Angélique Megard

27-11-1849 : Simoneau Jean Pierre avec Gouault Eglantine.

12-12-1849 : Hattenberger Jean avec Weiland Catherine

11-07-1850 : Marchand Jean Pierre avec Regnault Victoire

 

 

L 'histoire de la bilocha façon Hubert
 
La Bilocha
La mona est oranaise, mais la "Bilocha" – son complément naturel – elle, est (peut-être) Sénialaise. Pas le cerf-volant, non, l'expression. Même les Oranais ne connaissent pas - ou peu - ce mot.
Qui d'entre nous n'a jamais fait voler la "Bilocha", de quelque forme que ce soit: luna, bacalao, barillete, et autres plus ou moins sophistiquées. Des qui volaient mal quand elles avaient de la comba, des qui faisaient gancho, des qu'il fallait aller chercher plusieurs centaines de mètres plus loin après avoir fait corta-hilo.
Dans les années 90, j'étauis membre d'un club de langue espagnole; et, un jour, le sujet est venu sur le cerf-volant, el cometa en castillan. J'ai prononcé le mot bilocha, mais personne ne l'avait jamais entendu. Rentré chez moi, je suis allé voir le dictionnaire, mais là aussi il était inconnu.
Pensant qu'il venait d'un quelconque patois d'une quelconque région d'Espagne, je n'y ai pas trop porté d'attention. Mais allez savoir pourquoi, j'avais considéré cela comme une défaite, et j'ai tout essayé pour gagner. Chaque fois que je rencontrais un hispanisant, je lui posais la question, au cas où! Sans aucun résultat! J'ai eu la chance de pouvoir faire quelques voyages en Amérique du Sud. Et, bien sûr, j'ai posé la question chaque fois que l'occasion se présentait, au cas où ce mot aurait traversé l'Atlantique avec les émigrants ( comme le Français ancien au Canada). Mais toujours sans résultat.
Jusqu'au jour où ce que je cherchais si loin était tout près de moi: la femme de mon meilleur copain, une espagnole de Guadix, que je connais depuis une vingtaine d'années.
Un jour que je prononçais ce mot devant elle, elle me dit que ce n'était pas le vrai mot, le vrai c'était "gavilucho", et que les gosses de Guadix en fabriquaient aussi.
Aussitôt, me voilà en train de chercher dans le dictionnaire. Mais là encore, ce fut une déception: ce n'était pas le diminutif de gavilan, l'épervier.
Mais gavilan nous a fait penser à "aguila" et "aguilucho", l'aiglon. Et là! L'étincelle a jailli! En prononçant rapidement les deux mots, ils arrivent à se confondre.
Un aguilucho est devenu una guilocha; et je vous laisse deviner la suite. Avec un peu de déformation, mais si peu, una guilocha est devenu una bilocha.
En approfondissant, j'ai appris que l'aguilucho est la feuille de papier dont nous rabattions les bords et que les plus petits faisaient voler avec trois fils en haut et une queue faite de vieux chiffons.
Je suppose que ce mot a ensuite été donné à nos cerfs-volants, devenus peu à peu des œuvres d'art, grâce à la colle à la farine.

 

Voilà, pour moi, l'origine du mot, et celui qui ne le croit pas, que vaya a hacer volar la bilocha a la casica l'agua!
 
Colonisation
Fête du village de
La Sénia
N° 434
Oran, le 20 mai 1844
A Monsieur de Directeur de l’Intérieur,
Les habitants du village de La Sénia sont venus, il y a huit jours, me demander l’autorisation d’inaugurer le village et de donner un fête publique.
J’ai donné mon assentiment et les ai engagé à inviter Mr le général Thierry. Une députation s’est rendue chez Mr le Général et l’a prié de vouloir bien assister à leur fête. Mr le Général a refusé. Elle lui a demandé de vouloir bien prêter la musique de la légion étrangère, en payant bien entendu. Mr le Général a répondu qu’il ne pouvait l’accorder, non plus qu’un piquet d’infanterie qu’on lui demandait également pour maintenir le bon ordre.
J’ai, sur la demande des colons, écrit à Mr le Général pour la musique. Il m’a répondu qu’il ne s’opposait pas à ce qu’elle se rendit à La Sénia mais qu’il avait d’abord peur que ce serait trop coûteux pour les habitants du village. On s’est donc rendu chez le colonel de la légion étrangère. Il a autorisé la musique à aller jouer à La Sénia et a dit aux colons de s’entendre avec le chef de musique. Ce dernier a demandé de ne répondre que le lendemain après avoir pris les ordres du colonel. Il a répondu par écrit qu’il ne pouvait donner ses musiciens à moins de 10 francs par personne. Il y en a 52, c’était donc 520 francs qu’il fallait pour sa musique et qu’il ne pouvait en détacher tous ou aucun. On n’a pu s’empêcher de reconnaître dans ce fait un refus hostile qui a causé une sensation pénible.
Les colons, qui avaient réuni une somme de 450 francs pour toute la fête, ne peuvent accepter, et il fut décidé qu’on se passerait de la musique.
Hier, dimanche, toute la ville d’Oran s’est rendue à La Sénia, omnibus, calèches, voitures particulières, chevaux, mulets, tout était mis en réquisition. Une foule immense s’est rendue à La Sénia, la route était couverte d’une population qui semblait heureuse de pouvoir, pour la première fois, sortir de ses murs.
Un autel avait été improvisé sur la place du village destinée à l’église. Le curé d’Oran a célébré la messe et a parcouru le village en donnant la bénédiction. Les habitants ont choisi Saint Félix pour patron. A la messe assistait un piquet en armes de la milice d’Oran commandé par un officier, tous venus de bonne volonté.
Après la messe, à une heure, il y a eu des courses de chevaux, des tirs à la cible, et des jeux de différentes sortes. La fête s’est terminée sans le moindre tumulte, le moindre accident, et à la satisfaction de toute la population civile et militaire qui y assistait.
Cette fête, Monsieur le Directeur, est d’un heureux augure pour notre colonisation. Elle ne pourra … nos habitants d’Oran prennent intérêt aux progrès de tout ce qui se passe en dehors de la ville. Elle sera un grand encouragement pour le village à ceux qui se formeront plus tard dans notre province.
Ce document est la copie d’un brouillon de lettre, d’où les mots manquants, illisibles.

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BASTIDA HUBERT

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BASTIDA HUBERT

Une chanson à la mémoire d' Hubert 

Paroles Sylvain FRANCES, Chant Jean Paul VOGLIMACCI

Cliquer ci dessous  et écoutez

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PHOTOS RASSEMBLEMENTS

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Décès Jean Vincent MARTINEZ

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Bourg-de-Péage, Arthemonay, Margès

Angèle son épouse, Valérie sa fille, Jean-Pierre son gendre, Amélie, Fanny ses petites-filles et leurs conjoints,
Basile son arrière-petit-fils;
ont la tristesse de vous annoncer le décès de

 

Monsieur Jean Vincent MARTINEZ

à l'âge de 80 ans.

 

La cérémonie aura lieu jeudi 23 janvier à 14h30 en l'église de Bourg-de-Péage.

 

Visites possibles à la chambre funéraire de Saint-Donat. Condoléances sur registre uniquement.

 

Articles sur l'Echo de l'Oranie de N°388 Mai Juin 2020

Décès Jean Vincent MARTINEZ

Décès Jean Vincent MARTINEZ

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Décès Armande CASSEN

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La Sénia-Blaye (Gironde), 

 

Madame Armande CASSEN née GARCIA
est décédée dans sa 98ème année.

Les obsèques se tiendront le lundi 16 décembre 2019 à 15h00 en l'Église Saint Romain de Blaye (33390).

Suivies de l'inhumation au Cimetière de Blaye (33390).

Micheline CASSEN

REMERCIEMENTS

Un sincère et ému merci
Très touchés par vos marques de compassion et d'affection dans le deuil qui nous frappe, nous tenons à vous exprimer nos plus sincères remerciements. Votre soutien  nous aura été d'une très grande aide en cette période douloureuse. 

Micheline et la famille

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TRAVERSEE

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AVENUE GUYNEMER

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Rassemblement privé des Senialais 2019

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Décès Philippe MAFFRE, époux de Rinette VEILHON

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Décès Philippe MAFFRE, époux de Rinette VEILHON

ALBIAS, MASCARA
Marie-Antoinette MAFFRE, son épouse ;
ses enfants, ses petits-enfants ;
les familles MAFFRE, CANTIÉ, VEILHON,
parents et alliés
ont la tristesse de vous faire part du décès de
Monsieur
Philippe MAFFRE
survenu à l'âge de 77 ans.
La cérémonie religieuse sera célébrée le mercredi
11 décembre 2019, à 15 heures, au temple d'Albias, suivie de la crémation à 17 h 30, au crématorium de Montauban.
La famille remercie par avance toutes les personnes qui s'associeront à sa peine et plus particulièrement, ses infirmières, son kiné et le personnel de l'ADMR.

 

Décès Philippe MAFFRE, époux de Rinette VEILHON

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Décès Odette WAGNER née SELVA

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Saint-Dié-des-Vosges | Nécrologie

Odette Wagner n’est plus 

 

 

Odette Wagner s’est éteinte le 13 novembre à son domicile de Foucharupt, des suites de maladie, dans sa 86e  année.

Née Selva le 2 décembre 1933 à La Senia en Algérie, employée d’usine, en 1954 elle a uni sa destinée à celle d’Émile Wagner, qu’elle a eu la douleur de perdre en 1997. Arrivé en France en 1962, le couple a résidé à Saint-Roch. Six enfants sont venus égayer le foyer : Yves, Jean-Marc, Bruno, Corinne, Nadine et Patrick. Puis dix-huit petits-enfants et seize arrière-petits-enfants ont agrandi le cercle familial.

Odette Wagner a exercé le métier d’assistante maternelle auprès d’enfants de la DDASS.

Le cœur sur la main, accueillante et aimant les enfants, elle était une cheville ouvrière du club de foot le FC Saint-Dié. Elle faisait beaucoup la cuisine et de la couture pour tous. Elle s’est également occupée de sa sœur et de sa belle-mère malades.

Ses obsèques seront célébrées ce samedi 16 novembre à 14 h 30, en l’église Notre-Dame de Galilée.

Nos condoléances.

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Décès Jeanine DEDIOS GARCIA

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Jean DEDIOS GARCIA nous informe du décès de sa soeur

Jeanine DEDIOS GARCIA épouse PEREZ (87 ans)

à MONTLUEL 01120

 

 

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Décès Simone BORNE épouse FROPPIER

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Photographie de Simone FROPPIER
MONTBÉLIARD

M. Guy FROPPIER, son époux ;
M. et Mme Christophe et Amélie FROPPIER, son fils et sa belle-fille ;
Les familles BORNE, FROPPIER,
IEHLEN-ROCH, parentes et alliées

ont la douleur de vous faire part du décès de

Madame Simone FROPPIER

née BORNE

survenu le 15 novembre 2019, à l'âge de 72 ans.

Les obsèques seront célébrées mardi 19 novembre, à 14 h, en l'église Saint-Maimbœuf, à Montbéliard, où l'on se réunira, suivies de l'inhumation au cimetière de Montbéliard.
Mme FROPPIER repose au funérarium Bertin,
70, rue Villedieu, à Valentigney, où les visites peuvent lui être rendues.

Cet avis tient lieu de faire-part et de remerciements.

 

Simone Froppier.  

Simone Froppier est née Borne, à Mengen en Allemagne, le 20 mars 1947, au sein d’une famille de 12 enfants. Son père était militaire dans l’armée de l’air. Après une année en Allemagne, la famille rejoint La Sénia en Algérie, jusqu’à l’indépendance en 1962.

Leur retour en France les mène dans l’Ain, à Ambronay, son père étant muté à la base aérienne d’Ambérieu-en-Bugey.

En 1970, elle rencontre Guy Froppier, qu’elle épouse en juillet 1972. De leur union naît un enfant, Christophe, le 7 juillet 1975.

Elle a multiplié les petits boulots, avant de rejoindre Guy, qui travaillait chez Peugeot. Elle trouve alors du travail dans une concession automobile de Montbéliard, où elle restera comptable pendant 38 ans.

Maman protectrice et aimante, elle laissera l’image d’une femme souriante, chaleureuse et pleine de vie. Elle aimait les balades en nature et la gymnastique.

La maladie l’a frappée une première fois il y a deux ans, avant de se réveiller il y a trois mois. Elle l’a emportée ce vendredi 15 novembre.

 

 

 

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Décès Fabien PREFUME

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Décès Fabien PREFUME

Notre ami Fabien PREFUME est décèdé 

les obsèques auront lieu à HYERES le jeudi 10 octobre à 14 Heures

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RASSEMBLEMENT DES SENIALAIS 2020

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SONDAGE

Bonjour à toutes et tous,

Notre réunion amicale est terminée.

Je voudrais votre AVIS (bon ou mauvais) sur ce séjour au Parc DUCUP.

Un petit problème le dimanche midi que je solutionnerai pour 2020.

Cet avis me servira pour l'an prochain.

Laissez votre commentaire en bas de page

MERCI D'AVANCE

 Jean Paul

Pour ma part je remercie :

Paul AZORIN pour son aide à partir du vendredi

Sylvain FRANCES pour sa participation à l'animation

Didier MONTI, directeur pour sa gentillesse envers les Sénialais

Et tout particulièrement notre "DG" Alain CASTAGNIER qui bénévolement nous fait danser toute la soirée.

Tous les présents sans qui ce rassemblement n'existerait pas

 

 

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Décès Geneviève CASSEN épouse HERAUD

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Patrick HÉRAUD,

Gaël, Gregory, Guillaume, ses fils ; 

Armande CASSEN, sa maman ; Miche­line, Marie Line, ses sœurs ; Carole, sa nièce, ainsi que toute sa famil­le et ses proches

ont la tris­tesse de vous faire part du décès de


Mme Gene­viève CASSEN-HÉRAUD.


La céré­mo­nie reli­gieuse a été célé­brée le mercredi 28 août 2019, à 15 heures, en l’église Saint-Romain de Blaye, suivie de l’in­hu­ma­tion au cime­tiè­re de cette même commune

 

 

REMERCIEMENTS

Merci à tous pour votre sollicitude qui me touche particulièrement 

Micheline

 

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Décès Marie RUIZ

Publié le par La Sénia

 

La Sénia

Eugène,Emile (Mimilo),Christiane et Michelle RUIZ


Ont l’immense tristesse de vous faire part du décès de leur soeur


Marie RUIZ, épouse Murcia



Survenu le 10 juillet 2019, à l’âge de 89 ans à BORDEAUX

 

REMERCIEMENTS

Je vous remercie très affectueusement et très sincèrement d'avoir participé à ma peine après le décès de Marie, ainsi que des marques de sympathie que vous avez témoignées .

Vous avez été d'un très grand réconfort dans ces moments douloureux. 

Michelle

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Monique BERTAUD RECHERCHE

Publié le par La Sénia

Bonjour à tous..

est ce que Monique  Bertaud vous dit quelque Chose? J ai fêté mes  14 ans le 23 10 43  au chalet le 2eme à côté de  la famille Loubet   . Petite boum ds le garage..mon père était militaire..j ai vu la photo d école je suis assise à côté de Gérard Campillo ..Michèle Cassen m a  Zappee.. Gérard me collait toujours d ou certaines grimaces de ma part..bref  je sais qu il y a le rassemblement..nous étions nombreux lors de la boum cela à fini   vite car je mettais  blessée au front  avec le clou ..etc .les circonstances  ont éloigné mais les souvenirs demeurent..ma soeur Nicole est née au chalet..nos amies Azorin Atala etc ...si  vous rafraichissez votre memoire  je suis là

moniquealexbertaud@gmail.com

. je quittais la Senia définitivement  le 23 11 57 pour la France

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Photos Bernadette ALARCON

Publié le par La Sénia

Photos Bernadette ALARCON

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De gauche à Droite

Debout 2° rang 3-Bernadette ALARCON - 4-Louise GARCIA

3°rang: 4- CASTAGNIER

°Photos Bernadette ALARCON

Accroupis 3-Bernadette ALACON

Photos Bernadette ALARCON

Debout 1°rang 4-Jacqueline MUNOZ - 2°rang -Bernadette ALARCON

Photos Bernadette ALARCON

 

1° rang: 3-Bernadette ALARCON - 5-Marcelle ZAMORA

3°rang 1-Genevieve ALARCON

4°rang: 2-Jacqueline MUNOZ

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Décès ESTEVEZ François dit Francis

Publié le par La Sénia

Avis de décès de Monsieur François ESTEVEZ

Publié le 03 juin 2019 à Saint Laurent du Var

Nous vous informons du décès de :Monsieur François ESTEVEZ

survenu à Nice le lundi 03 juin 2019 à l'âge de 85 ans.

La cérémonie se déroulera le samedi 08 juin 2019 à 09h15
en l'Église Saint Joseph de Saint-Laurent-du-Var (06700).
Son corps sera ensuite crématisé au Crématorium de Nice Côte-d'Azur - Colomars
Dans l'attente de ses funérailles, le défunt repose à l'adresse suivante : Athanée de Cagnes (Cagnes-sur-Mer - 06800). 

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Décès Huguette CASTAGNIER épouse STEYER

Publié le par La Sénia

M. Bernard STEYER son époux,

Ses enfants, petits enfants et arrière petits enfants

Sa Soeur, sa belle soeur et ses beaux frères,

ont l'immense tristesse de vous annoncer la disparition de

Madame Huguette STEYER, née CASTAGNIER

survenue le 23 avril dans sa 87° année.

La cérémonie religieuse aura lieu

le samedi 27 avril 2019 à 15 heures au crématorium de Perpignan

699 Rue Louis Mouillard, 66000 Perpignan

 

REMERCIEMENTS

Profondément touchés de la sympathie que vous nous avez témoignée,à la suite du grand deuil qui vient de nous frapper,nous vous en remercions sincèrement et vous présentons l'expression de notre reconnaissance émue.

Familles STEYER  CASTAGNIER

 

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Bastien BALLESTA

Publié le par La Sénia

Bastien BALLESTA est le petit neveu à Jérôme BALLESTA époux de notre amie Sénialaise Christiane FIGUEREDO

Bastien BALLESTA

 

Cliquer sur la photo ci dessous

 

Le boxeur biterrois Bastien Ballesta a décroché, samedi soir à Toulouse,

le titre de champion de France des super-légers. 

Samedi soir, au palais des sports de Toulouse, le boxeur Bastien Ballesta disputait la finale du championnat de France des super-légers. Après le forfait, jeudi de Gallus Coulon, le Biterrois affrontait Yves Mesny.

Victoire à l'issue de 10 rounds

A l'issue d'un combat en dix rounds, Bastien Ballesta s'est emparé du titre de

champion de France des super-légers. Une victoire accordée à l'unanimité des trois arbitres.

Un nom Ballesta, une discipline la boxe, le nombre de génération 3. Des prénoms Manuel le grand oncle, Patrick le père, et maintenant Bastien le fils sans oublier Marcel le grand père. Des couleurs, le noir et le blanc, comme le grand Marcel Cerdan le parrain du grand père d'où Marcel Ballesta. Un logo qui représente les racines, la famille, celui des pieds noirs floqué sur le short, gravé dans le cœur. Voilà à quoi je penserai demain au moment de monter sur le ring pour mon 4ème combat professionnel,

comme à chaque combat.

Beaucoup d'histoires se ressemblent, mais la notre est unique.

Bastien BALLESTA

Une semaine déjà ! 
Très heureux d’être devenu le 40ème Champion de France de l’histoire de la catégorie des Super Léger depuis 1965.
D’autant plus heureux d’être devenu par la même occasion à 24 ans, le 3ème plus jeune champion de la catégorie, après Christian Garcia en 1979 à 23 ans et Jean Pierre Scigliano en 1990 à 22 ans. 
L’aventure ne fait que commencer, je suis jeune, perfectible, et motivé.
Cependant, mon regard est déjà tourner vers demain, et une défense de mon titre. 
À très vite.

TeamB.B 

Bastien BALLESTA

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Jérémy ORTIZ

Publié le par La Sénia

 

 

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Décès Serge CONEJERO

Publié le par La Sénia

Joséphine Rodriguez épouse Conéjéro (dite Fifine fille de Lola), Yves et Corinne CONEJERO informent du décès de

Serge CONEJERO

(militaire de la base aérienne de La Sénia),

survenu des suites d'une grave maladie à l'âge de 83 ans le 10/03/2019.

 Les obsèques auront lieux Jeudi 14 mars 2019 à 14 h 30 au centre funéraire du Pech Bleu à Béziers et ensuite au cimetière neuf.

 Il est dès à présent au salon du Pech Bleu pour lui rendre les derniers hommages.

 Tout envoi de fleurs, etc... peuvent se faire à destination du Pech Bleu de Béziers.

 Savoir que la tenue vestimentaire n'impose pas le port du "noir".

 

A tous ceux qui l'ont connu et notamment lors de leur mariage le 09 mars 1957 merci d'avoir une pensée pour lui qui a adopté l'Afrique du Nord et les "Pieds-Noirs" avec toutes leurs valeurs de vie.

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Décès Pierre DADA époux de Gisèle MENDES

Publié le par La Sénia

 

Je t'informe que l'époux de Gisèle,

Pierre DADA,

est décédé samedi 2 mars dernier.La "maladie"a eu raison de lui après avoir fêté ses 80 ans le 06/02.

 

Ses obsèques  auront lieu jeudi 07/03 à 10h a l'église de La Fare les Oliviers.(13)

Jojo MENDES

 

REMERCIEMENTS

 
                                            Jojo MENDES
 
Ma sœur Gisèle, encore très affectée, me charge de vous remercier vous tous, pour les témoignages de sympathie et d'amitié que vous lui avez formulés.
Elle vous remercie très chaleureusement

 

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Décès Antoine BOTELLA

Publié le par La Sénia

MILHAUD, NÎMES, LA SÉNIA.
Mme Denise BOTELLA, son épouse ;
M. et Mme Gérald et Martine BOTELLA,
son fils et sa belle-fille ;
David, Frédérique, Géraldine et Jérôme,
ses petits-enfants ;
Raphaëlle, Gabriel, Lisa-Marie, Anna et Tom,
ses arrière-petits-enfants ;
parents et alliés
ont la douleur de faire part du décès de
Monsieur Antoine BOTELLA
ancien combattant 39-45

survenu à l'âge de 96 ans.
Les obsèques religieuses seront célébrées le mardi
5 février 2019, à 10 heures, en l'église de Milhaud, suivies de l'inhumation au cimetière de Milhaud.
Cet avis tient lieu de faire-part et de remerciements.
P.F. Camarguaises - Nîmes
Tél. 04.66.68.05.05

 

REMERCIEMENTS

Merci à tous pour votre soutien en souvenir de La Senia
Botella Gérald 
 
Il y a 2 heures  
 
 

 

 

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Décès Odette PAREJA

Publié le par La Sénia

 

Fernand, Angèle, Alfred, Georgette ses frères et soeurs, Ses Enfants et petits Enfants.

Ont la douleur de vous faire part du décès de:

Odette PAREJA

Le 2 février à Manosque

Les obsèques auront lieu le jeudi 7 Février à 14 Heures à Manosque

 

 REMERCIEMENTS

C’est dans ces instants que l’on compte ses vrais amis.

Vos quelques mots chaleureux nous ont grandement réconfortés.

Croyez en nos remerciements les plus sincères.

Famille PAREJA

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BARANCO Gilbert

Publié le par La Sénia

Hommage rendu à Gilbert BARANCO par 2 de ses anciens élèves à La Sénia. 
Propos recueillis par André BEL lors de son voyage à La Sénia fin 2019.

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DECES Renée COUTELIER

Publié le par La Sénia

 

M. René AZORIN, son époux ;

Mme Martine AZORIN, sa fille ;

Mme Laurence PASTOR, ses filles et ses petits-enfants;

M. et Mme Philippe AZORIN,

Ses enfants et ses petits-enfants ;

Les familles COUTELIER, GANDELLI, REQUENA et MARTINEZ

Ont le regret de faire part du décès de

Madame Renée AZORIN née COUTELIER

Survenue à l'âge de 89 ans.

Une bénédiction sera célébrée le lundi 31 décembre 2018, à 15 heures, en l'église de Saint-Paul du Moulin-à-Vent, suivie de l'inhumation au cimetière du Sud.

REMERCIEMENTS

Vos mots nous ont appris à vivre un deuil avec résignation. Nous aurions aimé vous remercier assez pour ces amitiés, mais nous n’avons que nos cœurs pour vous faire sentir la chaleur de notre reconnaissance.
Notre ciel était sombre et dans nos cœurs, il pleurait des torrents de larmes. Mais vos mots comme un soleil levant ont fait naître en nous un bien-être sans précédent.

Merci pour vos amitiés !

René AZORIN, Martine, Laurence, Philippe ses enfants

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PHOTOS Micheline CASSEN

Publié le par La Sénia

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PHOTOS Micheline CASSEN

Epicerie Emélie et Bar Cortes 

PHOTOS Micheline CASSEN

 

PHOTOS Micheline CASSEN

L'église et les cigognes 

PHOTOS Micheline CASSEN

 1°rang-3-L.Fillon-4.Escanez-6.Campillo-7-N.Pelissier-9.M.Cassen-10.J.Gimenez

2°Rang-1-M.Noguera-4-.G.Beninger-5.M.Flossot-7-MH.Pastor-8.Perez9-Gerard-10-Lopez

3°Rang-2.A.Miralles-6-AM.Quinto-8-Cuesta

4° Rang-1-M.Benzanouni-2.J.Benzanouni3-J.Benzanouni6-Gonzales-7-Sanchez-8-MJ.Martinez

PHOTOS Micheline CASSEN

1°Rang 1-R.Vecina-2.L.Fillon-5-Perez-6.MH Pastor

2°Rang 1-Zarat-2-A.Garcia-6-MT.Godoy7-Baeza-8-C.Loubet-9.Y.Hidoux

3°Rang 3-G.Bel-4-M.Cassen-5-A.Perez-6-Hernandez

4°Rang 1-G.Mendes-3-MT.Flossot6-G.Nigues

PHOTOS Micheline CASSEN

  1°rang 1-R.Perez-2-Wolf-3-A.Sanchez-4-G.Castagnier-5-JP.Munoz-6-JP.Voglimacci-7-J.Saplana-8-R.Sanchez

2°Rang 1-F.Cortes-2-M.Cassen-3-M.Noguera-4.E.Sarrio-5-Camacho-6-S.Faure-7-MR.Scala-8-MT.Flossot-9.MC.Garcia

3°Rang 1-S.Bousquiel-2-JJ.Veilhon-5-J.Gimenez-6-J.Montoya-7-Ramires-8.C.Asnar-10-G.Beninger

4°Rang 1-Wickert-2-Y.Posada-3-Rodrigues-4-Y.Frances-5-MH.Pastor6-MJ.Martinez-8-Ruiz

PHOTOS Micheline CASSEN

 1°Rang 5-Frances-6-Garcia 

PHOTOS Micheline CASSEN

 Marie thé Flossot-Micheline Cassen

PHOTOS Micheline CASSEN

1°Rang JL.Zamora-M.Castagnier

2°Rang-1-C.Garcia-2.M.Cassen-3.R.Veihlon-4.D.Zamora-5-I.Brotons-6-S.Faure

3°Rang 1-Figueredo- -J.Cayuela-3-H.Castagnier-4-Veilhon-5-Prefume-6-H.Quinto

4°Rang 1-D.Garcia-2-Abbé THOMAS-3-A.Ayala-4-Faure-5-Mme Cara

PHOTOS Micheline CASSEN

Devant- X-P.Azorin-R.Sanchez-M.Cassen-F.Posada

Derriere- Mmes Cassen-Posada-X-Azorin-Y.Posada-Mr Posada 

PHOTOS Micheline CASSEN

 1°Table C.Sanchez-Mr Cassen-Miralles P.AzorinX Mme Cassen-C.Sanchez

Au Fond Mme Azorin j.Dedios Garcia 

 

PHOTOS Micheline CASSEN

Christian Sanchez 

PHOTOS Micheline CASSEN

F.Cortes-X-R.Sanchez 

PHOTOS Micheline CASSEN

Devant le bar Cortes -F.Lopez

PHOTOS Micheline CASSEN

F.Cortes-C.Quesada-I.Cayuela-C.Sanchez 

PHOTOS Micheline CASSEN

 Mariage

PHOTOS Micheline CASSEN

Emélie Sanchez-Frédou Cortes 

 

 

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DECES LISETTE MARTINEZ épouse KOEHLING

Publié le par La Sénia

Marcelle et Ghislaine KOEHLING

Nous font part du décès de leur maman

Lisette KOEHLING née MARTINEZ à l'âge de 96 ans

(boulangerie MARTINEZ)

Les obsèques auront lieu le mardi 6 novembre à 15h30 à l'église de MILHAUD (30)

 

REMERCIEMENTS 

Votre présence, un geste, un mot, une attention, lors du décès de Notre Maman nous ont profondément touchés. Nous vous remercions de toutes ces manifestations d’amitié à notre égard qui nous ont réconfortés dans ces douloureux moments.

Marcelle, Ghislaine et la famille

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DECES DE ANNIE CARA

Publié le par La Sénia

Gigi Sutra ( Cara ) :

par ce message je viens vous annoncer le décés de ma maman

Annie Cara ...fille Antoinette et Henry Cara 

 

REMERCIEMENTS 

Genevieve(gigi)Sutra

 

 

MON FRERE HENRY ET MOI VOUS REMERCIONS POUR VOS MESSAGES DE SOUTIENS ET DE CONDOLEANCES ...

JE SAIS QU ELLE VA LAISSER UN GRAND VIDE PARMI NOUS : SA FAMILLE ET SES AMIS ...

MERCI

.  

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DECES DOMINIQUE FERRARA

Publié le par La Sénia

La Sénia - Clair Soleil

DECES DOMINIQUE FERRARA

Huguette FERRARA, son épouse

Corine et Patrick, ses enfants et petits enfants

Ont la  douleur de vous faire part du décès de:

Dominique FERRARA

Les obsèques auront lieu le samedi 27 octobre 2018 à 13h30

au crématorium  de CANET EN ROUSSILLON (66)

 

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