Eklablog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Décès GIMENEZ Roland

Publié le par La Sénia

Décès GIMENEZ Roland

La Sénia-Codognan.
Ses enfants,
M. Bruno GIMENEZ et Mme Nicole BAEZA,
M. Marc GIMENEZ,
parents et amis
ont la tristesse de vous faire part du décès de


Monsieur Roland GIMENEZ


Les obsèques religieuses seront célébrées
le jeudi 19 janvier 2023, à 15 heures
, en la Paroisse Notre Dame d'Accueil à Vergèze, suivies de l'inhumation au cimetière de Codognan.

Voir les commentaires

Décès Odile CASTAGNIER

Publié le par La Sénia

Francis, son époux

Annie et Sylvie, ses deux filles, 

Stéphane, Marie, Laura et Matthieu, gendre et petits-enfants

Les familles, Castagnier-Collon-Latorre-Firchow,

Les familles Wagner-Walter-Schaffhauser-Hauller-Boissières

ont la douleur de vous faire part du décès de leur épouse, maman, mamie, belle-sœur, tante et cousine

 

                 Odile CASTAGNIER  née WAGNER

                 le 28 décembre 2022 à Saint-Affrique en Aveyron.

Une bénédiction religieuse se tiendra le mardi 3 janvier 2023 à 11H en l’église de Villeneuve de la Raho, suivie à 13h30 par une cérémonie d’obsèques au crématorium de Canet en Roussillon (66).

 

Odile repose à la chambre funéraire des Pompes Funèbres de Villeneuve de la Raho (21 rue des Tamaris), salon Tranquillité, code 231237# jusqu’au mardi 3 janvier à 9h50. Un registre de condoléances est ouvert devant le salon. Le salon est accessible 24h /24, 7j/7.

 REMERCIEMENTS

Décès Odile CASTAGNIER

Décès Odile CASTAGNIER

 

Voir les commentaires

Décès de Paul CASTAGNIER dit Popaul

Publié le par La Sénia

Son fils, ses petits enfants et les familles apparentées ont le regret de vous faire part du décès de

 

Monsieur Paul, Eugène, Joseph CASTAGNIER

 

Celui-ci est survenu le 20 décembre 2022 - le Revest-les-Eaux (83200)

La cérémonie religieuse sera célébrée

le 30 décembre 2022 à 15h30,

Funérarium 

à 39 rue du souvenir Français - 83390 Cuers.

Voir les commentaires

Décès Georgette COUTELIER épouse GANDELLI

Publié le par La Sénia

Vernet-les-Bains.La Sénia
Mme Britt GANDELLI, sa fille ;
M. Lua PILLIER GANDELLI, son petit-fils ;
M. David FLEURQUIN, son gendre ;
parents, alliés et amis
ont la tristesse de vous faire part du décès de


Madame Georgette GANDELLI
née COUTELIER

survenu à l'âge de 91 ans.
La cérémonie religieuse sera célébrée
le jeudi 15 décembre 2022, à 14 h 30
, en l'église Saint-Saturnin de Vernet-les-Bains.
Mme Georgette GANDELLI repose au funérarium du Conflent A.Vila de Prades.


La famille remercie toutes les personnes qui s'associent à son deuil.

Voir les commentaires

Décès CHEVRIERE Henri

Publié le par La Sénia

 

 

Reine Françoise WAGNER des Chalets à La Sénia et toute la famille de

 

Monsieur Henri Chevriere

 

Ont la tristesse de vous faire part de son décès 

 

survenu le 25 Novembre 2022 à l’âge de 57 ans

 

Les obsèques auront lieu

 

le Mercredi 30 Novembre 2022

au Crématorium de Aix en Provence (les Milles) à 09 heures 30

 

REMERCIEMENTS

 

Vos témoignages et vos marques de sympathie après la disparition de HENRI, nous ont profondément touchés. Au nom de toute la famille, nous vous remercions très sincèrement.

Reine Françoise WAGNER

Voir les commentaires

Décès Eloïne PINA épouse VIALLET

Publié le par La Sénia

 

M. et Mme Lionel Viallet
Leurs enfants Kévin et Emmanuelle,
Mme Sylvie Viallet, M. Gilles Lemasson, son compagnon,
Ses fils Benoît et Thomas,
Sa petit fille Emie,
Parents et allés ont la douleur de vous faire part du décès de :


Eloïne Viallet née PINA
Survenu le 18 novembre à l'âge de 92 ans.


La cérémonie s'est tenue dans la plus stricte intimité familiale, selon ses dernières volontés.

Voir les commentaires

Décès Aimé GOMEZ

Publié le par La Sénia

MARSEILLE - SAHUNE - LA SENIA
Catherine GOMEZ, née BERGOIN, son épouse Nicolas et Anne-Laurence GOMEZ Emmanuelle et Stéphane RENOUX Edouard et Aurélie GOMEZ Adrien GOMEZ et Julie ses enfants  Ischana et Alexis, Maï et Thomas, Louis, Luna, Gianni, Victoire, Raphaël ses petits-enfants  Rose, Eléna ses arrière-petites-filles    
ont l'immense tristesse de vous faire part du décès du


Dr Aimé GOMEZ
neuro-chirurgien 
survenu le 11 novembre 2022


La cérémonie religieuse sera célébrée en l'église Saint-Giniez à Marseille (8e)  
vendredi 18 novembre 2022,
à 14h30
Ni fleurs ni couronnes.  
Service Catholique des Funérailles
04.91.95.18.18

Voir les commentaires

RASSEMBLEMENT 2022

Publié le par La Sénia

 

60 ANS déjà

 

 

 

 

 

FILM DE JEAN JACQUES VEILHON

Voir les commentaires

Publié depuis Eklablog

Publié le par La Sénia

Voir les commentaires

GENERAL RAOUL SALAN

Publié le par La Sénia

 

2022 08 28 TOULON

HOMMAGE AU LIBERATEUR DE TOULON GENERAL RAOUL SALAN  

GENERAL RAOUL SALAN

GENERAL RAOUL SALAN

Robert NOGUERA en rose

Cliquer sur l'image pour l'agrandir

Voir les commentaires

Décès NOGUERA Eveline épouse ONA

Publié le par La Sénia

 

Les familles NOGUERA et ONA  vous font part du décès de  de 

Madame NOGUERA Eveline épouse ONA

le 8 aout 2022 à Limoges

Elle est née le 21 novembre 1924 à la Sénia

Elle était la sœur de Pierre , Daniel et Virginie NOGUERA

Les obsèques se sont déroulés à LIMOGES le 12 aout 2022

Robert NOGUERA

 

Cliquer sur l'image pour agrandir

Les familles NOGUERA et ONA vous remercie pour vos messages de soutient

lors du décès de Eveline NOGUERA épouse ONA 

Nous sommes très touché par vos mots qui nous ont réconforter

Claudine NOGUERA , Robert NOGUERA , Josy ONA , Jean Marc ONA

Voir les commentaires

Décès Gaby BELZUNCES

Publié le par La Sénia

Christiane, Guy et Francis BELZUNCES

Vous font part du décès de leur frère :

Gaby BELZUNCES,

décédé à CANNES le 2 août 2022 dans sa 92ième année.

Les obsèques se dérouleront dans l'intimité de la famille.

 

REMERCIEMENTS

La douleur d’un tel moment est toujours accompagnée du réconfort apporté par ses vrais amis. Nous tenions à vous remercier pour vos messages  lors du départ de GABY, qui ont été d’une grande aide.

Christiane, Guy, Francis

Voir les commentaires

DEDIOS GARCIA Jean dit JEANICO

Publié le par La Sénia

CROIX de la VALEUR MILITAIRE

Décernée à Jean DEDIOS GARCIA dit Jeanico

DEDIOS GARCIA Jean  dit JEANICO

DEDIOS GARCIA Jean  dit JEANICO

 

Merci beaucoup à vous tous que je considère comme ma famille

A bientôt de nous revoir à Perpignan et trinquer avec vous CETTE anisette que nous aimons tous

et bien sur le whisky pour quoi pas ?

je vous embrasse et à bientôt de nous revoir grâce à Jean Paul et Monique 

Voir les commentaires

GLOIRE à L'ARMEE D'AFRIQUE

Publié le par La Sénia

 

Ci dessous les Sénialais ayant défendu LA FRANCE

Si vous êtes en possession de photos concernant vos parents ou grands parents,

Merci de me les faire suivre pour compléter cette rubrique.

GLOIRE à L'ARMEE D'AFRIQUE

FRANCES Joseph

GLOIRE à L'ARMEE D'AFRIQUE

LLORENS Louis (Luisico)

GLOIRE à L'ARMEE D'AFRIQUE 

NOGUERA Daniel (Danilo)

GLOIRE à L'ARMEE D'AFRIQUE

SELVA Vincent 1914/18

GLOIRE à L'ARMEE D'AFRIQUE

SELVA Vincent

GLOIRE à L'ARMEE D'AFRIQUE

 

VOGLIMACCI Paul (Popaul)

GLOIRE à L'ARMEE D'AFRIQUE

GLOIRE à L'ARMEE D'AFRIQUE

GLOIRE à L'ARMEE D'AFRIQUE

 

Les cartes des anciens combattants de 14-18 et de 39-45

Mon grand père et mon père ci dessus. C'est pour leur mémoire et pour tous les combattants SENIALAIS   que je suis porte drapeaux a l'UNC de ma commune 

 

Albert Wiedrich

Voir les commentaires

LLORENS Louis ( Luisico)

Publié le par La Sénia

Lucienne LLORENS  BUTTEGEG rend Hommage à son père en publiant cette photo.

Louis est venu défendre sa patrie "LA FRANCE"

A cette époque nous étions bien accueilli

Voir les commentaires

Serge BOUSQUIEL

Publié le par La Sénia

Hier, jour de mémoire et d'hommage aux victimes militaires et civiles de la guerre d'Algérie et des combats de Tunisie et du Maroc, Jean Métier, président cantonal de la fédération nationale des anciens combattants prisonniers de guerre et combattants d'Algérie, Tunisie et Maroc a remis à

Serge Bousquiel

2° en partant de la droite

 

la croix du combattant. Celui-ci a fait partie du 10 e Sim (section d'infirmiers militaires) à Alger avant d'être libéré à Sidi-Bel-Abbès, berceau de la Légion étrangère.

 

1985 2004 Serge Bousquiel UDF Directeur-économe de maison de retraite
Maire de Nérondes

Voir les commentaires

Décès Christine SANCHEZ

Publié le par La Sénia

LA SENIA-BAR-LE-DUC - DIEUE-SUR-MEUSE - TOULOUSE - CAPENDU - NANCY

 

 

Josette SANCHEZ, sa maman 

Ses enfants , ses sœurs et ses beaux-frères

Ses neveux et ses nièces et toute la famille

ont la tristesse de vous faire part du décès

de Madame Christine SANCHEZ

survenu le 28 avril 2022, à l'âge de 54 ans.

La famille rappelle à votre souvenir son papa, Christian décédé en 2015.

Le présent avis de remerciements.

Fille de Josette CUESTA et Feu Christian SANCHEZ

Voir les commentaires

Décès Alain FROMENT

Publié le par La Sénia

Décès Alain FROMENT

 

Alain FROMENT 

s'est éteint le 29 04 2022 à Saint Céré dans le LOT-46-

après une longue maladie contre laquelle il a lutté avec détermination.

Les obsèques auront lieu le Mardi 03 05 2022

en l'Eglise de BRETENOUX à 10heure 00

 

de la part de son frère André 

Voir les commentaires

LOPEZ Jean Pierre

Publié le par La Sénia

ORAN Cité Petit, La Sénia

Bernadette LOPEZ, son frère et ses soeurs ont le regret de vous annoncer le décès de

Jean Pierre LOPEZ

 le 31 Mars 2022 à l'age de 77 ans

Fils de Mélanie et Jean , Neveu de Pierrot LOPEZ, VINASSAN

 Pour toutes les personnes qui l’on connu

Voir les commentaires

Michel COURTET & le C160 TRANSALL

Publié le par La Sénia

Michel COURTET

15 jours après le début de sa tournée mémorielle, le C160 Transall et son équipage se sont posés sur la base aérienne 106.
C’est avec beaucoup d’émotion que son personnel a pu se réunir pour faire ses adieux à cet avion mythique qui a marqué l’histoire de l’armée de l’Air et de l’Espace sur plusieurs générations. Le Transall tire sa révérence en effectuant un tour de France et en se posant, pour la dernière fois, sur les parkings avions de 20 sites militaires.
Durant ses 59 ans de service, il aura parcouru le monde entier afin de réaliser de multiples missions (sauvetage, largage de parachutistes, combat sous le feu ennemi…), rendant toujours hommage à la devise du transport aérien militaire « Combattre et sauver ».

C’est le sourire aux lèvres et des étoiles plein les yeux que le général d’Armée Aérienne Courtet s'est prêté au jeu en reproduisant ces photos d’époque lors du passage du C160 Transall sur la BA 106.

Le Capitaine  Courtet, descendant du C160 après un vol en 1975.

 

 

 

 

 

 

 

Michel COURTET

[3 pilotes, 3 générations, 1 mémoire…]

Ces trois aviateurs ont fait leurs adieux au C160 Transall, l’aéronef qui a rythmé leur carrière. Un moment de partage et de transmission empreint de respect envers ce symbole de l’armée de l’Air et de l’Espace.

A gauche, le capitaine Quentin, pilote du C160 à l’occasion de sa tournée mémorielle.

Au centre, le colonel Louriou, à ce jour commandant de la base aérienne 106, qui a effectué plus de 4 500 heures de vol durant sa carrière dont 4 000 sur C160. En 22 ans, il aura mené 210 missions de guerre.

A droite, le Général d’Armée Aérienne et ancien inspecteur général des armées, Michel Courtet. Commandeur de la Légion d’Honneur, Grand Officier de l’Ordre National du Mérite et titulaire de la Médaille de l’Aéronautique, il totalise plus de 8 000 heures de vol dont 4 000 sur C160.

 

Michel COURTET

Michel COURTET

Michel COURTET

Michel COURTET

 

Michel COURTET

Michel COURTET

LA FIN D'UN CYCLE

 Le Transall tire sa révérence 
après ses 59 ans de service

Voir les commentaires

PHOTOS André Paul PERALES

Publié le par La Sénia

 

 

 

 

PHOTOS André Paul PERALES

 

FÊTE du village

Premier rang: M et Mme NOGUERA, M et Mme PERALES

Deuxième Rang: Monique CASTAGNIER, Huguette CASTAGNIER MP MARAIS Bernard STEYER Michèle ZARAGOZA, Fernande MARAIS

XXXX

Voir les commentaires

ARCHIVES NATIONALES D'OUTRE-MER

Publié le par La Sénia

Site Internet IREL - ANOM

De 1830 à 1919

Lien pour La Senia:

http://anom.archivesnationales.culture.gouv.fr/caomec2/resultats.php?territoire=ALGERIE&commune=LA+SENIA&nom=&prenom=&typeacte=&annee=&debut=&fin=&vue=&page=2

Vous pouvez changer le nom des communes et faire des recherches par noms de famille

Très intéressant

JP

Voir les commentaires

Décès Danielle MUNOZ née ZAMORA

Publié le par La Sénia

La Sénia, Perpignan

Décès Danielle MUNOZ  née ZAMORA

Pascale MUNOZ, sa fille

Les familles MUNOZ, ZAMORA, TORRES,

Ses cousines, cousins, parents et amis,

ont la douleur de vous faire part du décès de:

Danielle MUNOZ, née ZAMORA

à l'age de 83 ans..

Visites à la chambre funéraire La Colombe

988 Avenue de l'industrie. 66000 PERPIGNAN

Salon Vert , Code d'accès CA6058

Les obsèques auront lieu le 18 Mars à 16h30 au

Crématorium de Perpignan

689 Avenue Louis Mouillard-ZAC Torremila 66000 PERPIGNAN

 

REMERCIEMENTS

 Il est bon de se sentir entouré dans ces moments difficiles. Vos messages de sympathie et votre présence ont beaucoup compté pour nous après la perte de DANIELLE. Nous vous remercions du plus profond du cœur.

Pascale, sa fille

Familles MUNOZ, ZAMORA, TORRES

 

Voir les commentaires

Décès André COUTELIER

Publié le par La Sénia

LA SENIA,CABESTANY, MONTPELLIER,AIX-EN-PROVENCE.


Mme Corinne COUTELIER, sa fille ;
M. et Mme Julie CARRERE-DARRIGADE,
sa petite-fille et son mari,
ainsi que Victor, son arrière-petit-fils ;
M. Florent DE SAINT JULIEN,
son petit-fils et sa compagne Mathilde ;
M. Bernard COUTELIER, son fils ;
M. et Mme Audrey ROSSINES,
sa petite-fille et son mari,
ainsi que Morgan, son arrière-petit-fils ;
Mme Aurélie COUTELIER et Loïc MERCIER,
sa petite-fille et son compagnon,
ainsi que ses arrières petits-fils Lohan et Maden ;
Les familles COUTELIER, CARRERE, DE SAINT JULIEN,
GAROUX, AZORIN et GANDELLI
ont la tristesse de vous faire part du décès de


Monsieur André COUTELIER


Les obsèques religieuses seront célébrées le mercredi
15 décembre 2021, à 9 heures, en l'église de Cabestany, suivie de l'inhumation au cimetière de Pollestres.
Le corps repose actuellement à la chambre funéraire La Roseraie à Saint-Cyprien où un registre de condoléances se tient à votre disposition.
La famille remercie par avance toutes les personnes qui s'associeront à sa peine.

 

 REMERCIEMENTS  

Coutelier Corinne

Merci à tous pour vos marques de sympathie lors du décès de Papa et votre soutien. Ce qui nous a tous fortement touchés.

Amicalement Corinne

Voir les commentaires

Décès Odette ROSSIQUET

Publié le par La Sénia

La Sénia, Cognac (Charente),

C'est avec tristesse que nous vous annonçons le décès de

 

Madame Odette ROSSIQUET

qui nous a quittés le jeudi 04 novembre 2021 alors âgée de 93 ans.

Les funérailles ont lieu le mercredi 10 novembre 2021 à 15h00 en l'Église Saint Jacques de Cognac (16100).

Voir les commentaires

décès Gilbert COUTELIER

Publié le par La Sénia

 

PERPIGNAN.
M. Daniel COUTELIER, son fils, et son épouse Inken ;
Max-Léo, Zoé-Luce, Benjamin et Antoine,
ses petits-enfants ;
Mme Martine AZORIN, sa nièce ;
parents et alliés
ont la tristesse de vous faire part du décès de


Monsieur
Gilbert COUTELIER
survenu le 1er novembre 2021.


Les obsèques seront célébrées le samedi 6 novembre 2021, à 9 h 30, au crématorium de Canet-
en-Roussillon.
Le défunt repose à la maison funéraire du Moulin-à-Vent, 174, avenue Guynemer, à Perpignan.

 

REMERCIEMENTS

Bonjour,

Je vous remercie chaleureusement pour tous ces messages bienveillants. Portez-vous tous bien.
Daniel Coutelier, son fils

Voir les commentaires

HOMMAGE à Dédou GARCIA

Publié le par La Sénia

Voir les commentaires

Décès Dédou GARCIA

Publié le par La Sénia

LA SENIA, SAINT-JEAN
Marie-Hélène GARCIA, née VALDES, son épouse ;
Eric, Frédéric et Stéphane, ses fils et leurs compagnes ;
ses petits-enfants et son arrière-petit-fils,
parents et amis
ont la tristesse de vous faire part du décès de:


Monsieur
André GARCIA dit Dédou
Ancien combattant
survenu à l'âge de 86 ans.


La cérémonie religieuse sera célébrée le samedi
30 octobre 2021, à 9 heures, en l'église de Saint-Jean.
Le présent avis tient lieu de faire-part.

REMERCIEMENTS

Chers amis de la Senia

Au travers du site, nous avons pu voir tous vos messages d’amour, d’amitiés,de regrets et sincères condoléances pour Dédou.
Vous l’aimiez tous profondément, cousins, amis d’enfance, et les bon souvenirs sont encore dans vos têtes.

Il adorait vos retrouvailles et quel plaisir il prenait a partager avec vous tous, les chansons de votre jeunesse avec sa clarinette.
Nous sommes effondrés par son départ, mais en sa mémoire, nous allons être fort, et courageux et si fier de lui.
Il nous manque déjà énormément et restera dans notre coeur a jamais ….
Merci amis Senialais pour votre soutien dans ces moments très difficiles et vos sincères condoléances.

 

Marie Helene Garcia née Valdes, ses enfants, petits enfants et arrière petit fils

Décès Dédou GARCIA

Voir les commentaires

Décès José GUMIEL

Publié le par La Sénia

Mon papa, tu nous as quitté, trop tôt, c est toujours trop tôt..
Tu as rejoint ta femme, ton frère et sœurs, ta maman et ton papa.
Je suis heureuse que Rose ait pu connaître son papi et je sais que tu étais content d avoir ses dessins, photos et vidéos.
Tu n as pas eu a connaître de longues maladies avec des traitements très lourds, ni maison de retraite. Tu t es débrouillé seul chez toi en compagnie de ton petit Filou. Tu pars à quasi 80 ans. Très dur de ne plus avoir ses parents. Je t Aime, repose en paix.
Sabine DUPON,
 
Papa, mon papa tu es parti rejoindre les étoiles et tous ceux que tu aimais tant … ici tu me laisses un vide immense, mes journées étaient toutes rythmées par mes visites pour te voir, discuter faire se dont tu avais besoin , quel grand vide tu vas me laisser et qu’elle surprise de te découvrir sans vie le lendemain où on avait passer l’après ensemble sans se douter que c’était la dernière fois qu’on se disait au revoir …
Je suis heureuse de t’avoir apporter tout mon amour, rendu heureux pour tes dernières années de vie, tu appréciais tous ces repas partagés, je suis ravie d’avoir allégé ton quotidien, pris soin de toi
Tu es parti dans ton sommeil sans souffrance comme tu l’as toujours souhaité ce qui me console un peu , mais tu me laisse maintenant orpheline.
Le filou comme un ami fidèle t’as veillé jusqu’à notre arrivée et oui ce soir là tu te réjouissais d’aller manger chez Dylan et Manon , on a pas mangé , on t’a regardé , tu semblais dormir paisiblement ton chien a tes côtés.
Tu vas tellement me manquer …
Je t’aime papa
 Corinne Charlot
 
REMERCIEMENTS 
Corinne Charlot se sent reconnaissante 
Dans cette étape difficile, nous tenons à remercier toutes les personnes présentent lors la cérémonie d’enterrement de notre papa. Vous avez exprimé à votre mesure toute votre affection à Jose Gumiel.
Nous n’oublions pas aussi les personnes qui n’ont pas pu se déplacer.
Certains d’entres vous ont téléphoné, d’autre nous ont écrit ou encore envoyé des fleurs.
Tous ces gestes nous réconfortent grandement.

Voir les commentaires

RASSEMBLEMENT SENIALAIS 2021

Publié le par La Sénia

PARC DUCUP PERPTGNAN 2021

 

 

Voir les commentaires

JULIEN SANCHEZ & le TOUR DE FRANCE

Publié le par La Sénia

A l'occasion du tour de France 2021,

Julien SANCHEZ

A confectionné ce magnifique vélo de course avec des matériaux de récupération.

Il orne l'entrée de la résidence de retraite du RONQUET à Sorgues

JULIEN SANCHEZ & le TOUR DE FRANCE

 

JULIEN et son Chef-d'œuvre

 

JULIEN SANCHEZ & le TOUR DE FRANCE

JULIEN SANCHEZ & le TOUR DE FRANCE

JULIEN SANCHEZ & le TOUR DE FRANCE

 

JULIEN SANCHEZ & le TOUR DE FRANCE

JULIEN SANCHEZ & le TOUR DE FRANCE

Julien félicité par Thierry notre maire

pour sa participation au décor à l'occasion du tour de France à Sorgues.

Voir les commentaires

Décès Jeanine PERALES veuve PINA

Publié le par La Sénia

 

 

Mireille SELVA nous fait part du décès de:

Madame Jeanine PERALES, Veuve PINA

Le 27 Juin 2021 dans sa 89ième Année

Les obsèques auront lieu le jeudi 1° Juillet à 10 heures en l'église

Saint François à PERPIGNAN

Voir les commentaires

Décès Antoine YNESTA

Publié le par La Sénia

 

Décès Antoine YNESTA

 

J’ai l’immense peine de vous annoncer le décès de,

Antoine YNESTA

survenu le 13 Mai 2021 à l’âge de 88 ans.

Il nous laisse dans une immense tristesse mais je me console en pensant qu’il ne souffrira plus et qu’il repose maintenant en paix.

Son combat contre la maladie est un exemple pour nous tous et malgré son état de santé, il a su continuer à nous remplir de bonheur et de joie jusqu’au dernier instant.

Les obsèques auront lieu le 19 MAI 2021 à 15H30 à l'église Ste Marie Madeleine 13290 les milles et il reposera à jamais en paix au cimetière des Milles.

 

Marie Helene PASTOR

REMERCIEMENTS

Très touchés par les nombreuses marques de sympathie
et d'affection qui leur ont été témoignées
lors du décès de

Monsieur  Antoine YNESTA.
Ses enfants, petits-enfants et toute sa famille,
remercient sincèrement toutes les personnes qui,
par leur présence, l'envoi de fleurs et l'envoi de cartes,
se sont associées à leur peine.

 

Voir les commentaires

Décès Bernard STEYER

Publié le par La Sénia

Décès Bernard STEYER

Bernard, Eric, Marc, Anne marie, Ses Enfants, 

Ses Petits enfants, arrières petits enfants

Monique et Jean-Paul VOGLIMACCI / CASTAGNIER

Les membres de la famille,

Sont profondément attristés de vous informer que leur père, grand-père et beau-frère :

Bernard STEYER

Est décédé cette nuit, 4 Avril 2021, dans son sommeil. Ses funérailles auront lieu à DIJON.

Il allait avoir 90 ans le 17 Avril 2021.

Il a rejoint les étoiles et son épouse Huguette CASTAGNIER.

La cérémonie religieuse aura lieu en l'église de la Visitation de Chevigny-Saint-Sauveur le vendredi 9 avril à neuf heures trente. Bernard repose au centre funéraire de Dijon, 222 rue d'Auxonne.
Ni fleurs ni plaques

++++++++

POUR TOI NOTRE BEAU FRERE BERNARD

 DECEDE CE JOUR 4 Avril 2021, TU RESTERA LA TOUJOURS AVEC NOUS

 

Tu es parti avec un sourire

Le destin l’a voulu ainsi

Tu as laissé un vide

Pour aller au paradis

Tu avais du courage

Tu avais de la fierté

Et te faisais toujours respecté

Maintenant que tu nous a quitté

On ne sait plus quoi pensé

On était toujours à tes cotés

Que dieu te fasse miséricorde et qu’il te garde près de lui

Que les portes du paradis te soient grandes ouvertes BERNARD notre beau frère

Nous ne te disons pas ADIEU mais au revoir

Nous savons que tu nous attendras aux portes du paradis

 

MONIQUE & JEAN PAUL  

 

REMERCIEMENTS

 

MONIQUE, JEAN PAUL et la famille vous remercient très sincèrement et vous assurent de leur amitié et de leur reconnaissance.

C’est dans ces instants que l’on compte ses vrai(e)s ami(e)s.

Vos quelques mots nous ont grandement réconfortés.

Croyez en nos remerciements chaleureux.

 

Voir les commentaires

Marie Rose MUNOZ - TORRES

Publié le par La Sénia

COMMENT JOINDRE L’UTILE A L’AGREABLE

     ou       

COMMENT SE DISTRAIRE PENDANT LE CONFINEMENT

 

 

Tout le monde est d’accord, « y en a marre » ! Aucun bisou aux enfants, et petits-enfants, Pas de fêtes de famille, pas de restaurants, Pas de voyages, pas d’activités culturelles Enfin pas ! Pas ! Pas ! Pas ……………….

ET SURTOUT PAS DE RETOUVAILLES ENTRE SENIALAIS !

Pendant ces longues journées passées seule, accrochée à la télé et énervée par ces nouvelles et contre-nouvelles, mon cerveau se « ramollissait » et je n’avais envie de RIEN  mais heureusement pour la cinéphile que je suis, j’ai pu regarder des films (Nexflix).

Un jour j’en ai suivi un, programmé en espagnol et j’ai compris que mon espagnol était toujours aussi « tchapouré » je comprenais, mais des mots totalement inconnus apparaissaient. « Et si j’essayais d’améliorer mon espagnol, en programmant TOUS les films en espagnol »

1an de confinement, 1an de progrès, et j’ai beaucoup amélioré mon vocabulaire

 

ADIEU a notre langage (pour n’en citer que quelques uns):  

                                Nano (nain) = Enano

                                Chinera (étable à cochons) = Pocilga

                                Monesillos (enfants de chœur) = Monaguillos

                                Merguissos (jumeaux) = Méllizos

                                Chinos (cochons) = Chinos mais pour des Chinois de Chine

 

Tata Emilienne Moreno-Ruiz avait l’habitude de dire à sa fille Annie, mariée à un espagnol et vivant en Espagne depuis des années :

- Cojé mé el fileté de las commissiones au lieu de :Cojé mé la bolsa para recados

(Passe-moi le sac des courses).  Annie lui répétait chaque fois sans la faire changer d’avis « Maman tu dis « passe-moi le steak (fileté) des comités ou des délégations (commisionnes) »

Je m’entends également demander ; Por favor un renseignamiento (por favor una information)

Merci les espagnoles de nous avoir quand même compris ! Par contre je n’ai jamais entendu  « bourriguetta ou casquoletta » c’est à croire que ces mots là sont bien à nous !

 

Ah j’oubliais, au prochain confinement je me lance dans l’anglais. HIC !

 

                                  Marie-Rose TORRES-MUNOZ                                                                                                                                                                

                      (Histoire sans prétention pour garder le contact entre amis)

Voir les commentaires

Décès Christian PACARY

Publié le par La Sénia

Décès Christian PACARY

Christiane BELZUNCE PACARY

Les membres de la famille PACARY-BELZUNCE, ont la profonde douleur de vous faire part de la perte douloureuse qu'ils viennent d'éprouver en la personne de

Christian PACARY

Fils de Christiane BELZUNCE et Feu Daniel PACARY

décédé à LYON le 24 Mars 2021 dans sa 65ième année

Le 31 Mars 2021,cérémonie a 13h30 à l’église st Augustin à Lyon, et crémation au crématorium de Lyon à 15h30.

 

Voir les commentaires

RECETTE de la ZARZUELA

Publié le par La Sénia

Z A R Z U E L A

 

POUR 8 PERSONNES :

750 G DE MOULES

8 TRANCHES DE COLIN

8 TRANCHES DE BAUDROIE

500 G DE BLANC DE SEICHE

8 LANGOUSTINES

8 GAMBAS OU GROSSES CREVETTES

UN BEAU POIVRON DOUX

2 BOITES DE TOMATES AU JUS

1 GROS OIGNON

PERSIL, AIL, POIVRE ET SEL 

SAFRAN 

HUILE D’OLIVE

 

DANS L’HUILE FROIDE METTRE L’OIGNON RAPE, AIL, PERSIL, LE POIVRON COUPE ET LES SEICHES.

 

LAISSER MIJOTER DOUCEMENT PENDANT 20 MINUTES PUIS AJOUTEZ LES GAMBAS ET LES LANGOUSTINES. LAISSER MIJOTER UN MOMENT, FLAMBEZ AU COGNAC ET AJOUTEZ L’EAU DES MOULES.

 

LAISSER CUIRE 30 MUNUTES.

 

SALER LES TRANCHES DE POISSON, LES PASSER A LA FARINE ET LES FRIRE A LA POELE.

 

LES AJOUTER A LA FRITURE. 

 

FAIRE CUIRE DOUCEMENT ET AJOUTEZ LES MOULES ET LE SAFRAN AVANT LA FIN DE LA CUISSON.

________________

POUR LES MOULES : LES FAIRE CUIRE SIMPLEMENT, LES OUVRIR LA VEILLE. 

Recette de Danielle MUNOZ-ZAMORA

Voir les commentaires

FERME BARTH/ BEL

Publié le par La Sénia

FERME  BARTH/ BEL

Le BASSIN ou pas mal de jeunes sénialais ont pris un bain.

A gauche Mr BEL et au fond la ferme en face des chalets

FERME  BARTH/ BEL

Gisèle MENDES sur le terrain de la ferme face aux Chalets militaires

Voir les commentaires

Marie Jeanne GUIRADO

Publié le par La Sénia

1962          L’ EXODE    

 

C’était un petit matin limpide, parfumé et tiède, avec des chants d’oiseaux. 

Un matin comme les autres, mais quand même pas banal, c’était le dernier matin.

Nous étions habillés avec les vêtements du dimanche, et devant la porte d’entrée, étaient posées  depuis la veille, six valises. 

Pas de nervosité, nous étions silencieux. Maman réunissait nos quelques bijoux dans son sac à main, avec les papiers et papa allait et venait dans la maison comme s’il cherchait le dernier petit « vestige » à caser dans une poche, pour un aller. . .  sans retour.

Nous avions le temps. Notre voisin Monsieur Juan allait nous accompagner à l’aéroport puisqu’il y travaillait, et nous avions 2 heures d’avance. J’avais tellement conscience de l’importance du moment, que je n’arrivais pas à penser, je ne réalisais pas.  Depuis la signature des accords d’Evian, trois mois avant, le projet de fuir se réalisait aujourd’hui et nous étions vivants.

Un dernier tour dans la maison, pour faire rentrer dans nos yeux tout le décor d’une vie et maman a fermé la porte. Nous avons traversé la cour jusqu’à la voiture de Monsieur Juan, et dans nos cœurs le bruit de chacun de nos pas résonnait  comme un glas.

Quand la voiture a démarré, j’ai regardé l’Eglise, les merveilleux palmiers, les arbustes odorants, les fleurs multicolores de la place et j’ai inventorié chaque détail de la rue principale de La Sénia, village de mon enfance solaire. Et puis le véhicule prenant de la distance, je n’ai plus vu que le clocher de l’Eglise où nichaient aux quatre coins, des couples de cigognes, image éternelle de la douceur de vivre.

Et après ?. . . qu’est-ce que j’ai pensé pendant ces dix minutes de parcours?  Je me surprends parfois à imaginer que mon esprit a dû distiller le « fixateur » qui a impressionné à jamais dans ma mémoire, les photos-souvenirs des derniers jours de cette tragédie.

Le trajet fut court,   et  lorsque  nous sommes arrivés à l’aéroport, j’ai été surprise par le spectacle d’une foule dense, silencieuse et désemparée. Grâce à Monsieur Juan, nous avons eu des numéros prioritaires, et il nous a conduits dans un immense hangar, lequel avait été vidé de ses avions, pour abriter des centaines de lits de camp, rangés comme les cases d’un gigantesque damier. Mes parents, mes sœurs et moi, chacun assis sur un lit, nos valises soigneusement placées dessous, nous faisions partie de cette foule effrayée, encore étonnée d’être arrivée jusque là.  Nous tous, les sacrifiés de l’Histoire, avions conscience d’être victimes de la bêtise des puissants.

Et c’est dans ce hangar que nous sommes devenus les futurs envahisseurs de la Mère Patrie, indésirables dans son sein, mais nous ne le savions pas encore.  

Après cette rupture totale du quotidien, l’abandon irréversible de ce qui fut nôtre,  nous avons perdu notre identité, chaque famille n’était qu’un numéro d’attente sur une liste sans fin.

Des centaines, voire des milliers de gens campaient dans les hangars comme des automates, leurs enfants assis à côté d’eux, avec la même expression de gravité sur leur visage. En fond sonore, le ronflement des moteurs d’avions qui décollaient et atterrissaient sans répit, jour et nuit, dans un formidable ballet aérien entre les deux rives de la Méditerranée. Mais dans cette foule aux yeux vides, c’était le silence qui choquait le plus, parfois déchiré par le pleur d’un bébé ou le son du haut-parleur appelant les numéros dont c’était le tour d’embarquer. Aucune association humanitaire pour nous soutenir, peut-être n’existaient-elles pas encore, mais nous ne ressentions ni la faim ni la soif. Une seule idée fixe : partir, s’extraire de la Terre Natale tâchée par trop de sang.

Et ce fut le début de la longue attente. . . C’était le 17 juin 1962, au petit matin.

Pour commencer, j’ai inspecté les environs. Partout la même chappe de plomb sur l’ambiance, les mêmes regards vagues et des valises. . . des valises partout. . . des valises de riches, des valises de pauvres. . .

Sur les pistes de l’aéroport des avions pleins à craquer, d’autres qui revenaient à vide sans arrêter les moteurs pour repartir encore plus vite,  en absorbant des processions de malheureux fantômes, en rangs bien serrés. De temps en temps, des silhouettes vêtues de blanc poussaient vers des avions sanitaires des brancards de blessés, de paraplégiques,  de grands vieillards et de femmes enceintes sur le point d’accoucher. Dix neuf jours nous séparaient de la date fatidique de l’indépendance.

Et je revenais m’asseoir sur mon lit de camp, pour en faire le compte rendu à ma famille, qui de son côté s’occupait de chercher quelques nourritures.

A la fin de ce premier jour l’obscurité a envahi les hangars mais les moteurs ont tourné toute la nuit dans un va et vient incessant. Le deuxième jour ressemblait au premier avec la lassitude en plus. Puis vint la deuxième nuit avec inquiétude car notre numéro prioritaire était encore éloigné de ceux égrainés par le haut-parleur.

Enfin le troisième jour s’est levé, limpide, égal à tous les autres, le ciel était haut comme toujours en Oranie, d’un bleu presque sombre tant l’atmosphère était pure.

Enfin. . . les dernières heures. Et après ? J’allais avoir 15 ans,  j’avais encore une vie devant moi et je me voyais comme le roseau de La Fontaine, je pliais mais je ne casserai pas.

Au loin la nature était superbe et elle le resterait après nous, flamboyante dans une éternité dont je serais absente.

Papa allait aux nouvelles et donnait les informations à maman qui analysait la situation.

Vers le milieu de la matinée vint le moment de quitter le hangar. Mes petites sœurs et moi tournions autour de nos parents comme des poussins autour de leur mère. Nous les suivions sans nous poser de questions, ils avançaient en nous remettant sans cesse toutes les trois devant eux, pour ne pas nous perdre. Ils étaient admirables de courage et d’énergie et se débrouillaient sans jamais se plaindre. Pendant cette guerre que nous avions, en partie, vécue dans le petit village de Clinchant, ils nous avaient protégées avec acharnement et avec des moyens dérisoires. Tous les deux tenaient cette force de leurs parents, immigrés andalous en terre française, avec tout ce que cela représentait de misères et de luttes.

Que pensaient-ils pendant que nous étions stationnés dans le groupe des partants ?   à leur famille qui reposait là pour toujours, sans que personne ne viennent plus poser des roses sur leurs tombes ?   à  la chance d’avoir goûté la douceur du Paradis dans ce pays des merveilles ?  Nous n’avons pas communiqué, peut-être pour ne pas s’ajouter la souffrance des autres.

Lorsque j’ai gravi les marches de la passerelle j’ai su que mes pieds ne fouleraient plus jamais le sol natal. Alors, avant d’entrer dans la carlingue, je me suis retournée, j’ai embrassé le paysage de toute la force de mes yeux et j’ai pris une inspiration, la dernière, que j’ai  gardé  un long moment dans ma poitrine. De toute cette épopée c’est l’instant qui restera gravé dans ma mémoire jusqu’à ma mort, la dernière bouffée d’air.

J’ai pensé aussi à mes amis de Relizane, tués sur le chemin du lycée et qui, eux, ne partiraient pas puisqu’ils dormaient dans la terre d’Algérie. Alors moi qui était vivante, j’allais vivre pour eux, intensément, j’allais réussir ma vie tant de fois menacée.

Maintenant nous étions dans l’avion, ma sœur Eliane et moi assises à gauche et mes parents à droite, Elisabeth sur les genoux de papa. C’était l’instant précis de la rupture avec tout un passé qui allait rester marqué en nous au fer rouge. L’avion décollait, les visages étaient graves, le silence pesant quand disparut de notre vue la terre natale. Aujourd’hui 45 ans après, je m’étonne encore de notre attachement si charnel à cette terre.

Pendant le voyage, pas un mot. Ce silence me rappelait le recueillement des veillées mortuaires dans notre culture .

Et dans la moiteur de ce DC4, mes pensées vagabondaient. Je n’étais pas encore arrivée en France que mon esprit retournait à Oran. Qu’étaient devenus les mendiants qui faisaient le folklore sous les arcades, et les joueurs de bandonéons ou de guitares, les magiciens ou montreurs d’animaux savants dont les petits singes demandaient la pièce aux promeneurs ? En grande majorité ils étaient revenus estropiés des deux guerres françaises.

Après Oran c’était Mendès dans le djebel. Je revoyais la grande cour de notre maison d’alors que mon père avait louée pour notre long séjour, cette cour qui chaque jeudi soir devenait une remise pour les marchands des environs. Quelle richesse de sons, de couleurs et de parfums ! Cavaliers et chameliers faisaient reposer leur montures chargées de marchandises pour le souk du lendemain. Ces hommes d’une beauté sombre, mystérieuse, évoluaient au milieu de leurs bêtes  avec majesté, vêtus comme à l’époque du Christ,  et leur cape blanche ondulant à chaque mouvement leur donnait une allure royale.

Après Mendès,  je sentais la fraicheur de l’aurore des jeudis de l’Ascension, lorsque toute l’Oranie montait en procession vers la Vierge de Santa Cruz. . .  Mais. . . quoi ? déjà l’avion survolait Toulouse ? Mon esprit revenait brutalement à la réalité présente. Dans quelques minutes nous allions marcher sur le sol de la Mère Patrie qui se révèlera très tôt aussi étrangère à nous qu’une autre planète.

C’était le 19 juin 1962, trois mois jours pour jours après la signature des Accords d’Evian.

Les années qui ont suivi, à chaque 19 juin, nous avons entendu jusqu’à sa mort quinze ans plus tard, notre mère nous dire : Aujourd’hui ça fait  *x années*  que nous sommes arrivés en France.

Marie-Jeanne Guirado.

Perpignan le 15 octobre 2007.

                                                               . . . . . . . . . . . . .

*Je sais que la création est une grande roue qui ne peut se mouvoir sans écraser quelqu’un. 

Nos destins ténébreux vont sous les lois immenses que rien ne déconcerte et que rien n’attendrit*

 

Victor Hugo.

Voir les commentaires

Julien SANCHEZ

Publié le par La Sénia

Le quotidien de notre ami Julien SANCHEZ

Voir les commentaires

Décès René AZORIN

Publié le par La Sénia

LA SENIA, ORAN, PERPIGNAN, TAILLADES 84

Ses enfants,

Mme Martine AZORIN,

Mme Laurence PASTOR,

M et Mme Philippe AZORIN;

Ses petits enfants et arrière petits enfants ;

Les familles MARTINEZ, JARASSE, CASTAGNIER, COUTELIER, GANDELLI,

Parents et alliés,

Ont la tristesse de faire part du décès de leur très regretté

Monsieur René AZORIN

Enlevé à leur affection à l'age de 94 ans

La cérémonie religieuse sera célébrée le mercredi 3 Février 2021, à 14 heures, en l'église St PAUL du Moulin à Vent à PERPIGNAN, suivi d'une crémation à Canet en Roussillon.

Un dernier hommage peut lui être rendu à la chambre funéraire Roc-ECLERC à ELNE 

La famille remercie par avance toutes les personnes qui, par leur présence et leur soutien, s'associeront à sa peine

 

Voir les commentaires

LA-BAS ICI

Publié le par La Sénia

LA-BAS    ICI

LA-BAS    ICI

 

 

LA-BAS    ICI

LA-BAS    ICI

 

 

LA-BAS        ICI

Christiane RUIZ épouse VOCES et ses filles Carole et Christine

Là bas (Damesme) Ici

Voir les commentaires

LA-BAS ICI

Publié le par La Sénia

LA-BAS  ICI

LA-BAS  ICI

 

 

LA-BAS  ICI

LA-BAS  ICI

Voir les commentaires

Décès Fernand PAREJA

Publié le par La Sénia

 

Décès Fernand PAREJA

 

Angèle, Alfred(Frédou) et Georgette,

vous font part du décès de leur Frère:

Fernand PAREJA

Décédé le 22 Janvier 2021 à l'âge de 82 ans

à 94240 L'Haÿ-les-Roses

 

REMERCIEMENTS

Nous avons été très touchés par le soutien que vous nous avez apporté dans cette épreuve. Nous vous remercions de tout cœur.  

Voir les commentaires

FRANCOIS QUESADA - 3

Publié le par La Sénia

 

OBSESSION  SENIALAISE 

 

Depuis longtemps une idée plus que tenace trottait dans ma tête<< revoir mon village>>

Cette idée  paraissait saugrenue  à ma famille a mes amis  tout   comme un enfantillage 

Un  jour accompagné par quelques anciens de chez nous  av ec  de bien maigres  bagages, 

Sur un vieux rafiot poussif nous partîmes  courageusement tout comme a un pèlerinage, 

Avec une ferme résolution, bien déterminés revoir à nouveau notre cher et si beau village, 

Car le revoir depuis longtemps cela me manquait, son soleil,  ce beau ciel sans nuages, 

Revoir ses sentiers et ses chemins et notre vieille fontaine objet de tous les cancanages, 

Mais au fond de moi j’avais peur que tout me sois étranger et  soit devenu d’un autre âge  

 

Ce village nous  l’avions avec bien d’autres Sénialais,  un jour sans gloire, abandonnée, 

A cause d’un grand échalas galonné qui avec de belles paroles nous avait tous embobinés,

Après avoir tout perdu, même son travail, sans logis sans argent complètement ruinés, 

Les enfants sur le dos, une valise a la main,  ensemble nous étions devenus des exilés,

Avec en nous l’espoir d’avoir la force de lutter, repartir dans la vie et tout recommencer

Courageux et travailleurs nous nous sommes trouvés comme un troupeau un peu éparpillés,

Mais   nous étions tous de vrais soldats plein de noblesse dans ce village ou nous étions nés,

C’était un tout petit village blottit sous les ombrages et  c’est vers lui qu’allait mes pensées,

Rien n’avait pu chasser de mon esprit  malgré mon absence depuis de nombreuses  années, 

Sans le moindre combat sans déshonneur, nous venions retrouver son  soleil et sa beauté,  

 

Enfin arrivés a bon port, nous priment rapidement le chemin de notre bien cher village, 

Hélas mes amis une grande surprise nous attendait, notre Eglise avait subit un outrage, 

Notre cher et vieux clocher par une bande de mécréants enrubanné avait été décapité, 

Le clocher  qui sonnaient dans nos cœur n’évoqueraient plus désormais notre cher passé,

Qu’il était doux de l’écouter sonner les douze coups de minuit, l’heure où il fallait rentrer, 

Hélas quand plus rien ne résonne et ces coups lancinants plus jamais  je ne les entendrais 

Car  oh  sacrilège  des fanatiques et islamistes barbus  en avait fait une affreuse mosquée, 

 

Fermant les yeux il me semblait sentir encore, l’odeur de l’encens hautement  parfumé, 

Elle ne semblait plus avoir aucun âge avec ses vieilles pierres grises et ses vitraux brisés, 

Un très vieux lierre commençait à tout tapisser et avec le temps avait la peinture  effacée

Je revois ma jeunesse et ma première communion, dans notre Eglise qui a vu tant de mariés,

Nous étions les bienvenus avec tous ceux qui venaient chercher le pardon en toute liberté

Je me souviens des beaux dimanches, où l’on se pressait pour se recueillir et ensemble prier,  

Mais que cela me semble  loin tout ça et  je crois au fond de moi que je n’ai fait que rêver, 

 

 Je croyais voir encore les saints en bois posés sur les murs  avec beaucoup de majesté, 

Cette chère et vieille Eglise que mon âme poétise, ces chacals auraient du la laisser en paix,

Mais elle restera toujours pour ceux qui le veulent la maison du bon dieu à tout jamais, 

Malgré tous ses murs délabrés elle restera dans nos cœurs  notre vieille église sans clocher 

Et là toute seule comme un oiseau blessé, elle serait   tombée en ruine  avec  notre passé, 

Je revois encore tout l’amour qui brillait dans ses yeux, ou sur le porche elle m’a embrassé, 

 

Laissant notre Eglise blessée a jamais je pris la route qui menait sur les lieux de mes amours, 

Dans cette belle maison nous aurions voulu vivre ensemble jusqu'à la fin de nos vieux jours, 

La vie était  si belle, sur notre père moi pendu a son cou, mes frères assis sur ses genoux, 

Qu’il fasse chaud, qu’il fasse froid ou qu’il grêle mes  amis vous l’auriez aimé comme nous,

C’était la maison du bonheur, nous y vivions heureux et  nous l’aimions comme des fous,

Ses murs n’ont pas vieilli car elle se rit du temps elle regarde passer les trains chaque jour, 

Mais quelques pas plus loin je me rends compte que je n’ai fait que rêver comme un fou, 

Hélas mon esprit s’est reprit, la réalité m’envahi, elle était devenue fade pour toujours,

 

Hélas ma   maison n’était plus qu’un amas de murs de parpaings construits avec congruence,

Cachant aux yeux des hommes le va-et- vient et le visage  des femmes évitant la coexistence,

Formant des labyrinthes cachant les choses familières, aux yeux des mécréants la présence, 

Des femmes musulmanes selon la tradition et pour les hommes une élémentaire déférence, 

Ma chère  maison elle  qui avait  gardé mes chers souvenirs  et les anciennes présences,

N’était plus qu’un ramassis de baraques construites de bric et broc en dépit du bon sens, 

Avec  tous ces murs bariolés et sales, presque enfouis sous un énorme bosquet de ronce,

Ma maison ma chère maison celle où je vécu  n’était plus que l’ombre de son ombre,

 

Celle qui avait contenu tant d’amour tant de joie qui avait sut faire battre mon cœur, 

Ou n’existait que de la gloire des rires  des larmes mais aussi des fêtes sans nombre, 

De la voir dans cet état sans vie sans joie  aujourd’hui me rends triste et sombre

Comme un vase antique rouillé et comme quelqu’un qui se meurt de trop de liqueur,  

Quand mes yeux fatigués se portaient sur toutes ces  cabanes crasseuses et  enfumées, 

Par quelle énorme bêtise me l’avait-on changée, elle si belle avec sa tonnelle ombragée,

 

Avec ses grappes de raisins nourries aux sarments de la treille  couleur violette et parfumées

Je revois encore des choses qui me sont familières et semblent enlacer mon âme chagrinée   

Elle  a  gardé en elle tous mes secrets  tous mes souvenirs dans ses murs plus que délabrés, 

Je les garde  tout  au fond de moi, la vie a passé,  mais elle  poura vivre encore une éternité, 

Au jardin de mes souvenirs, j’ai vu mourir pour toujours ma maison et mon rêve enchanté, 

J’aimais cette vielle maison devenue grise et sale  sous les branches de ce vieux noisetier

Celle où les plus doux des rayons de soleil dorait le tout d’une façon grave et maussade, 

Celle où les vitres telles des vitraux  des églises flamboyait sur toute la belle façade, 

La où tous les deux comme sur les cartes l’ange et le roi les deux mains entrelacées, 

Nous mêlions   nos regards, nos souffles nos mains entrelacées unissant nos pensées

Aujourd’hui on peut encore voir les rosiers branches contre branches tendrement enlacés

Je quittais ma maison assagi, raisonné, et  je parti avec mes souffrances toute ma dignité, 

 

Laissant la ma chère maison je pris le chemin du retour vers mon vieux et merveilleux village, 

Lui qui il y a bien longtemps déja, a connu tous mes désirs et mes plus beaux marivaudages, 

Arrivant au centre ville, devant ce grand boulevard qui n’était plus qu’un chemin de traverse, 

Je crois bien que  j’ai pleuré, en pensant à tous ces jeunes qui se sont aimé avec  tendresse,

La grande Place le dimanche prenait des airs de fêtes, les amoureux s’aimaient avec ivresse, 

Le beau kiosque a musique tout  fleuri, où  nous allions danser au son d’un bel orchestre,     

 Il ne reste plus qu’un minable jet d’eau, démuni du moindre liquide a l’allure grotesque, 

Et le souvenir ardent des nos belles villageoises et en ce temps là régnait une insouciance, 

Par notre   jeunesse où garçons et filles se partageaient les joies en leur âme et confiance

 

 

Le souvenir de mes vingt ans sont comme des papillons qui nous emporte sur leurs ailles

Mais ils reviennent toujours ramenant notre passé égayer nos cœurs de tendres nouvelles,  

 Mes  souvenirs sont restés dans cette belle Place, comme un rayon de soleil dans le  cœur,

 De même les baisers que jamais on oublie et que j’ai   gardés  comme un parfum de fleur,

Qui de nous n’a jamais dans ses rêves les plus fous, revu ces soirées merveilleuse de bonheur 

Ou au bras d’une  belle  fille du village nous prenions des airs de bravache et de vainqueur,

Je suis le premier à revendiquer, dans la chaleur d’une nuit où j’ai cueilli la rose de ton cœur, 

Cette place si belle qui a connu tant d’amour et de joie, le tout formant un cadre éblouissant 

N’était plus comme une viande cuite a l’angle d’un vieux mur, qu’une sombre vielle masure, 

Ou après un long séjour monotone exposée au aux ravages du temps arrivait au crépuscule,  

 

Moi même je revois l’amour qui brillait au fond de tes  yeux à  l’instant ou tu m’as  dit oui, 

Souvient toi, chérie souvient toi, nous rêvions tous les deux  heureux d’être unis pour la vie,

Pourquoi a-t-il fallu que l’on parte laissant ce village merveilleux que nos aïeux avaient battit,

C’était le temps des beaux espoirs que l’on faisait à deux de grands projets sur  notre avenir,

Rien ne comptait a nos yeux que nos espoirs et l’amour nous guidaient vers tous nos désirs,

Où est-il ce temps béni où les cœurs heureux, aux  rêves immenses de s’aimer toute une vie,

Ce soir là  nous étions à la fête quand mon regard fut attiré par une jeune fille très distinguée

J’étais devenu tout bête je ne saurais dire pourquoi par ce visage radieux j’en  fus  charmé, 

La serrer dans mes bras je ne saurai quoi dire, ce fut mon désir tant  mon cœur étais troublé,

Ce soir là elle m’a sourit, et ne sachant que sourire je restais là un peu bête comme  pétrifié, 

Aujourd’hui grâce à ces soirées dans mon village nous sommes unis pour la vie enfin mariés,

 

 

Quand jour après jour nos deux  cœurs avec la bénédiction des dieux notre amour à grandit, 

La où  j’ai gardé mon cœur,  j’ai cueilli la fleur de mai et plantée au jardin de mes souvenirs,

Je t’ai vu pleurer, de tes yeux tombaient des larmes de rosée, tu voyais  notre amour mourir,

En quittant ce pays merveilleux  où nous avons été si heureux, ce fut une déchirure de partir, 

Mais en gardant au cœur et   nos esprits  cette idée fixe le grand espoir d’un jour revenir, 

Au comble de notre grand désespoir nous nous sommes trouvés dans l’obligation de partir,

A cause d’hommes peu scrupuleux et avides de gloire funeste on  aurait pu tous  mourir, 

Mais nous sommes tenaces en parlant de notre  village et par pudeur on ne sait que l’écrire, 

Et  dire ou  écrire ce que l’on pense de ce  village il faut aller le voir la chose n’est pas triste 

Avec un peu d’imagination et fermant les yeux vous verrez notre cher village avec le sourire,

Que dire des écoles,  de la mairie et de tous les édifices publics,,  il faudrait plusieurs pages, 

Vous dire simplement que tout cela était a l’identique de  l’état actuel de notre cher village. 

 

Je garde le front serein car s’il  fait bon vivre en Provence la plus belle des régions  de France,

Je ne puis oublier mon pays son soleil sa mer bleu là où mes souvenirs resteront en évidence

J’emporte comme un talisman au fond de mon cœur, avant qu’il ne se fane comme une fleur

Tout ce que mes yeux ont pu voir et gardé au fond de moi pour ne pas gâcher mon bonheur, 

D’avoir revu mon pays, mon village, ma maison  et tous les paysages aux multiples couleurs,

J’emporterai comme un rayon de soleil  dans mon cœur avec  le souvenir à mes yeux éblouis, 

Et quoi que l’on dise quoi que l’on fasse c’est dans mon  cher village que je suis venu à la vie.

  

FIN DU VOYAGE 

Mon voyage s’arrête car je sais que mes rêves mes désirs fous ne reviendront plus jamais, 

Mais c’est le miroir de mon enfance, de ma jeunesse, de mes amours et mes tendres années, 

Dans ce village antique, cette grande allée, se promenant sous les ficus si chastes et voilés

Que j’ai revu après tant de bonheur et que vous aimeriez si comme nous vous y étiez nés,

Partout  je retrace mes pas comme une lumière au fond de la nuit qui éclairent mes pensées, 

Je reviendrai j’en suis sur même si mon cher village ne restait que l’ombre de son ombre, 

Si par inadvertance on le rendait pour toujours  ce que je ne crois pas, triste et bien sombre,

Mais hélas avec ce que sont les hommes ce que nous croyons être et ce que nous sommes, 

Qu’ils aient la richesse  la beauté, les honneurs, ils font tous ce que rêvent les hommes, 

Pêle-mêle a travers les sarcasmes et les huées ils seront emportés dans un oubli profond  

Mais je me dis bien des fois a l’heure ou le vent et le voyageur cheminent tout en rêvant

Ou pareil comme jadis tous ensemble cet amour de village nous l’avons laissé

Mais  si dieu me prête vie et un peu de  chance  seul ou accompagné  bientôt je reviendrai.

 

François QUESADA

 

CAGNES sur MER  le 28 Septembre 2010

 

Voir les commentaires

VINS CORTES

Publié le par La Sénia

 

VINS CORTES

 

J V CORTES

 

Joseph Victor CORTES dit VICTOR, décédé en 1969

époux de Marie CHAPARTEGUY, Soeur de Michel CHAPARTEGUY de La Sénia

Frère de Alfred CORTES dit Alfredo, Bar de l’AVIATION à La Sénia

Viticulteur, Négociant

Cave et Vigne à LEGRAND à proximité de SAINT CLOUD

 

En rentrant d'Algérie a crée un dépôt de Fuel et Charbon à 64 COARRAZE et ensuite une entreprise de transport de matériaux pour le bâtiment,

Merci à Guy CHAPARTEGUY pour la photo de la bouteille et les informations

Cliquer sur les images pour les agrandir

 Les étiquettes sont abîmées, les années en sont responsables

 

VINS CORTES

Nous avons souvent apprécié son « Rosé » lors de nos casse croûte le dimanche matin ou pendant les vacances scolaires entre copains, Sardinades, Brochettes et Paella chez Serge BOUSQUIEL,Paul AZORIN à la Ferme .

Quelques photos ci dessous :

 

Voir les commentaires

FRANCOIS QUESADA - 2

Publié le par La Sénia

 

A MA GRAND-MERE FRANCISCA,

 

 

QUE JE N’OUBLIERAIS JAMAIS

 

Avant-propos,

 

 

Contrairement à ce que racontent certaines personnes mal renseignées, j’ai gardé de ma

 

 

chère Grand- Mère un très merveilleux souvenir, dont je voudrai vous parler. Ayant

 

 

perdu notre mère lorsque j’avais dix ans, elle a su la remplacer avec courage et

 

 

abnégation, car nous étions, notre père, Sept enfants a la maison, sans la compter

 

 

elle-même et notre Cher Grand Papa, c’est la raison qui me pousse à vous

 

 

en parler amplement.

 

 

 

A MA GRAND- MERE ADOREE

 

 

Très chère Grand-Mère,

 

 

Chère Grand-Mère, je me souviens,

 

 

Lorsque j’étais encore un jeune enfant,

 

 

Et qu’avec mon frère et mes sœurs,

 

 

Tu nous as élevés très dignement,

 

 

Et quelques ai été tes ressources,

 

 

Sans murmures et sans boniments,

 

 

Il ne manquait jamais rien à la maison,

 

 

Tu avais pourvu tout cela évidemment,

 

 

Car tu as su nous guider dans la vie,

 

 

Autant que la vie te l’a permis,

 

 

Pour cela mon cœur te dit merci, mille fois merci,

 

 

 

Chère Grand-Mère, je me souviens,

 

 

Qu’avec Papa et sept petits-enfants,

 

 

Tu as fait de nous des gens biens,

 

 

Nous t’en remercions tendrement,

 

 

Car tu étais si belle avec ton foulard noir,

 

 

Que tu ne quittais que lorsqu’ arrivait le soir,

 

 

Pourtant un jour je fus surpris et heureux,

 

 

Tu avais ôté ton foulard devant moi,

 

 

Et j’ai pu apercevoir les plus beaux des cheveux,

 

 

 

Chère Grand-Mère, je me souviens,

 

 

J’étais ébahi de te voir décoiffée,

 

 

Avec de très longues tresses dénouées,

 

 

Elles retombaient à hauteur de tes hanches,

 

 

Les cheveux brillants et soyeux en abondance

 

 

En les lissant chaque jour en permanence,

 

 

Ce souvenir dans mon cœur est gravé,

 

 

Car je ne pouvais jamais deviner,

 

 

Que sous ce beau foulard très noir,

 

 

Tes cheveux brillaient ondulatoires,

 

Chère Grand-Mère je me souviens,

 

 

A la rentrée des classes nous étions excités,

 

 

Malgré mes espadrilles avec les bouts troués,

 

 

Un pantalon bien propre mais très rapiécé,

 

 

Une chemise sans col légèrement usée,

 

 

A force de les laver et de les frotter, 

 

 

Avec l’eau de la fontaine qu’il fallait chercher,

 

 

Avec des sceaux lourds pour remplir les baquets,

 

 

Le premier servait pour le linge à savonner,

 

 

Le deuxième d’eau claire pour pouvoir rincer,

 

 

  

Chère Grand-Mère je me souviens,

 

 

Lorsque l’on revenait de l’école un peu fatigués,

 

 

Tu avais les mots qu’il fallait pour nous consoler,

 

 

Les devoirs de l’école tu nous les faisais réviser,

 

 

Tu nous donnais ensuite du pain rassis ou frais,

 

 

Des tartines au goûter, tu nous avais préparées,

 

 

Du pain garni de saindoux, jamais du pâté,

 

 

Nous savions que tu ne pouvais faire mieux,

 

 

Nous avions appris à nous contenter de peu,

 

 

Malgré ton âge j’ai su, le mérite que tu as eu,

 

 

A la mort de notre mère, nous élever tu as su,

 

 

Chère Grand-Mère je me souviens,

 

 

Malgré toutes ces chimères nous étions heureux,

 

 

La vie n’était pas facile, il y avait des plus malheureux,

 

 

Qui avaient juste de quoi vivre et souvent rien à manger,

 

 

Juste un quignon de pain, avec de l’huile nappé,

 

 

Ou frotté à la tomate, et un petit bout de petit salé,

 

 

On ne faisait pas de chichi, nous n’avions pas les moyens,

 

 

De nous payer autre chose, ou alors ne manger rien,

 

 

Et le soir c’était la soupe et le bon ragoût quotidien,

 

 

Chère Grand-Mère je me souviens

 

 

Qu’avec Pépé, quelques années auparavant,

 

 

Tu avais très bien élevé tes quatre grands enfants,

 

 

Qui plus tard dans la vie sont devenus nos parents,

 

 

Alors lorsqu’à mes oreilles, poussés par le vent,

 

 

Arrivent de paroles de gens qui non pas été présents,

 

 

Refusant de croire tout ce que tu as fait à ton âge,

 

 

Je leur tourne le dos avec mépris, je les laisse à leur bavardage,

 

 

Tout ce que tu as fait pour nous tu l’à fait avec courage,

 

 

Avec ma grande sœur Adeline pour t’aider à l’ouvrage.

 

 

Et à tous ceux qui n’y croient pas je leur dis sans outrage

 

 

Que ma Grand-Mère était une perle, la plus belle des Mamans,

 

 

Laissant hurler au vent, tous ceux qui dénient ton grand dévouement.

 

 

  

Chère Grand-Mère je me souviens,

 

 

Tout cela je ne pourrai jamais l’oublier,

 

 

 

Avec tes longs cheveux blancs dénoués,

 

 

A mes yeux tu m’as parue encore plus belle

 

 

Avec tes vêtements noirs et foulard en dentelle,

 

 

Jamais dans mon cœur tu ne m’as parue si belle,

 

 

Mais Il est autre chose que je ne peux pas oublier,

 

 

Tous les jeudis de la semaine papa avait son congé,

 

 

Il fallait que la table soit garnie pour pouvoir manger,

 

 

Ce n’était pas chose facile avec très peu pour cuisiner,

 

 

Le Pot-au-feu traditionnel, j’avais l’os à moelle à grignoter,

 

 

 

Chère Grand-Mère je me souviens

 

 

Aujourd’hui fête des mères comme pourrai-je t’oublier,

 

 

Tu as été pour nous plus qu’une mère, nous ne pouvons l’oublier,

 

 

Mais moi je n’oublie rien, car si mes souvenirs ne me trahissent pas,

 

 

A la naissance de mon petit frère né le 14 Octobre 1939,

 

 

Une de nos tantes sous le prétexte de t’aider à nous élever,

 

 

Sans ambages et sans gêne est venu chez nous s’installer,

 

 

Ce qui fait que nous étions seize à table pour manger,

 

 

Nous avions de la chance, notre Papa caco, avait un beau potager,

 

 

Il élevait des lapins, des volailles qui nous donnaient des œufs frais,

 

 

Seulement à la cuisine, personne ne venait pour t’aider,

 

 

Je dois en ce jour te dire en leurs noms, merci Grand-maman,

 

 

Je prie pour tous ceux qui ont profité pendant tout ce temps,

 

 

Qui à durer je m’en souviens bien, beaucoup plus de deux ans,

 

 

En de simples mots, tu as supporté tout cela avec abnégation,

 

 

Et rien que pour cela, tous te doivent de grands remerciements,

 

 

Je veux au nom de tous te dire que depuis, nous tous nous t’aimons,

 

 

Et un regret vit en moi de ne point pouvoir te le dire évidemment,

 

 

Je demande à Dieu au prés de qui ta place tu l’à mériter amplement,

 

 

De le faire pieusement à ma place, car je ne puis le faire autrement,

 

 

Et je te quitte aujourd’hui, avec joie et tristesse, à bientôt Grand-maman.

 

 

 

3 Juin 2O12, Fête des mères.

 

 

Tu méritais amplement les éloges posthumes, que je viens de raconter.

 

 

Ton petits fils, QUESADA François.

 

 

 

Voir les commentaires

FRANCOIS QUESADA

Publié le par La Sénia

 

LA SENIA, 

MON VILLAGE,  ETAIT LE PLUS BEAU 

 

Mon village, La Sénia, était le plus beau,

Je me souviens encore des moments si proches, 

Quand volait dans le jour nouveau, 

A l’Eglise le son joyeux de ses cloches,

Car mon village était le plus beau, 

Je me souviens aussi du bruit de l’enclume,

 Du vieux forgeron  et son chapeau, 

Dont j’entends encore les échos, 

Vibrant joyeux comme un manteau d’écume, 

De jours comme de nuit sous le clair de lune, 

Et la voix des feuilles des vieux faux poivriers, 

Jamais, jamais je ne pourrai l’oublier, 

J’ai tant de souvenirs dans ma tête engloutie,

Mes amours, mes amis, ces filles si jolies,  

Dormant là, dans ma tête, occupant mon esprit, 

 Mais à  cause d’un grand échalas maudit, 

Qui à broyé pour toujours le restant de ma vie, 

Ne me laissant a jamais dans ma tête, 

Les plus beaux des souvenirs  tous en fêtes, 

J’ai du quitter mon village perdu a tout jamais,

Mes amours, mes emmerdes, que je ne reverrais jamais,  

Mais mon village était le plus beau, 

Je me souviens encore de ces filles  si jolies, 

D’un grand amour vécu sous les ormeaux,  

Et qui restera dans mon cœur pour toute ma vie, 

Mais a  présent qu’à l’infini  sonne le glas, 

Cet amour est mort avec lui, fut-il volage ? 

Et je reste là, si  triste et bien las,

Avec le  cœur pareil a mon vieux village, 

Mais  mon village était le plus beau, 

Et  seul dans la nuit comme un marteau,  

Résonnent  dans ma tête, les soupirs  et les sanglots, 

De tous mes amis et tous les tourtereaux

Rêvant de  mon village,  La Sénia, qui était le plus beau.   

François QUESADA

Voir les commentaires

Décès de Simone BERNAD

Publié le par La Sénia

M. Lucien Bernad, son époux ;
Francis et Yves Piot, ses fils ;
Ses petits-enfants et arrière-petits-enfants
Ont la tristesse de faire part du décès de
Madame
Simone PIOT
épouse BERNAD
La cérémonie religieuse se déroulera le mercredi 6 janvier 2021, à 14 h 30, en l'église Saint-Louis, suivie de l'inhumation au cimetière de La Ritorte. 83400 HYERES

Voir les commentaires

ROBERT NOGUERA

Publié le par La Sénia

ROBERT NOGUERAROBERT NOGUERA

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Bonjour à tous

Pour suivre nos traditions et pour se remonter le moral, 

mon épouse et moi avons commencé à pétrir et cuire 

les Mantécaos et gâteaux à la noix de coco et pour demain se sera les croquets aux amandes.

Heureusement il me reste encore un peut d'anisette 

Nous ne seront pas nombreux mais cela va nous remonter le moral 

aller bonnes fêtes à tous et toutes

MAÏTE et ROBERT NOGUERA

Voir les commentaires

<< < 1 2 3 4 5 6 > >>